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Heeley revisite avec noblesse le Cuir de Russie

James Heeley est un compositeur de parfums autodidacte d’origine britannique et vivant à Paris où il a appris les codes et le savoir-faire de la parfumerie traditionnelle française avant de créer sa propre marque éponyme pour interpréter olfactivement ses envies et exprimer son style en toute indépendance, gage de liberté de création.

Aujourd’hui, la Maison de parfums Heeley revisite le Cuir de Russie, un thème classique de la parfumerie traditionnelle qui tient son nom des soldats russes qui dans les années 20 entretenaient leurs bottes avec du goudron de bouleau à l’odeur fumée.

Un réinterprétation qui assouplit cet accord cuir de Russie pour évoquer la finesse de la pleine fleur de cuir, la partie la plus noble du cuir.

Pour révéler ce cuir souple et luxueux, le maître-parfumeur a ajouté des notes florales de mimosa, d’aubépine, de rose et de chèvrefeuille aux traditionnels accords de castoréum, de vétiver et de bouleau.

Ce parfum d’exception qui réveille le magnifique Gatsby sommeillant en chaque homme, s’ouvre sur une envolée fraîche de feuille de violette et de bergamote d’Italie adoucie par la volupté de la cannelle.

Le bouquet floral fait ensuite son apparition en cœur où il s’enrichit de miel et d’un accord daim pour laisser apparaître enfin un fond sensuel de vétiver, de castoréum et de bouleau réchauffé par du bois de cèdre de l’Atlas.

Intemporel, le flacon de verre laisse découvrir son jus doré et épouse une forme sobre, floquée d’une fleur de lys stylisée et parée d’une typographie rétro annonçant le nom de cette eau de parfum. Un capot de bois vient rehausser et parfaire ce très bel objet.

(Eau de Parfum Cuir Pleine Fleur, Heeley. Disponible chez Nose, Jovoy et sur www.jamesheeley.com. Vaporisateur 100ml ; ppi : 120 €)


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Destination Russie avec la collection Tsarina de L’Oréal Paris

Pour sa collection de maquillage Noël 2014, L’Oréal Paris s’inspire de l’élégance majestueuse d’une impératrice russe et nous plonge dans les romans de Tolstoï avec une Anna Karénine des temps modernes.

Une collection où joyaux, carats opulents et pierres précieuses des Romanov ont la part belle pour affirmer le caractère slave au chic ostentatoire de cette Tsarine qui sommeille en chaque femme.

La royauté étant désormais à portée de toutes, les yeux se parent d’améthyste, les ongles se sertissent d’or et de perles et la bouche exhibe l’intensité d’un rouge Bolchoï.

Dans cet esprit de haute joaillerie du maquillage évoquant les brillances et les éclats de l’Empire de Catherine II, Karim Rahman, le makeup designer de la marque a réinterprété cette ambiance et imagine deux looks de fêtes complémentaires.

Pour un look Poupée Russe, on accentue le teint de porcelaine, on fait ressortir les pommettes, on joue sur la couleur claire de l’œil grâce à des ombres nacrées et surtout on met en avant la bouche avec la puissance du rouge BolchoÏ.

Et pour un make-up de Tsarine Impériale, le regard s’accentue grâce aux jeux d’ombres à paupières, au mascara et son top-coat afin de devenir totalement envoûtant. Concernant le reste du visage, les pommettes se creusent et les lèvres gagnent en texture tout en se parant d’une teinte quasi nude.

Enfin, les ongles se teintent d’or, d’émeraude ou d’améthyste et s’offrent un nouveau geste de nail artistry grâce au premier Dazzle Shaker pour ongles les sertissant d’effets diamants et d’une texture perlée.

Découvrez à travers ce tutos toutes les astuces de Karim Rahman pour réaliser ces looks Tsarina :

(Collection Tsarina, L’Oréal Paris. Disponible en GMS et sur www.loreal-paris.fr. Prix indicatif : à partir de 5,70 € le Vernis Color Riche)


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Lutte contre l’alcoolisme: la Russie va augmenter le prix de la vodka

Pour lutter contre l’alcoolisme qui la ronge, la Russie va augmenter le prix de la vodka, rapporte The Moscow Times. Entre janvier et août, la boisson verra son prix grimper de 30%. Par exemple, la bouteille d’un demi-litre la moins chère du marché passera de 170 roubles à 200 roubles (3,75 euros à 4,40 euros) au 1er janvier, puis à 220 roubles, soit 4,80 euros, au mois d’août.

L’âge minimum légal pour acheter un alcool fort pourrait lui aussi être relevé et passer de 18 ans à 21 ans.

Si la consommation d’alcool des Russes a baissé depuis vingt ans, comme le rapportait Forbes en octobre 2013, elle n’en est pas moins toujours dramatique. Dans ce pays de 143 millions d’habitants, 30% des décès sont directement liés à l’alcool (et les accidents de la route ne sont pas comptabilisés). L’espérance de vie des hommes en Russie, 59 ans, n’atteint même pas l’âge de la retraite, fixé à 60 ans.

La hausse des prix des alcools forts, déjà expérimentée en 2010 en même temps que l’interdiction de la publicité, pourrait effectivement en faire baisser la consommation. Cependant, comme s’en inquiète Vadim Drobiz, vice-président de l’union nationale des producteurs et distributeurs d’alcool auprès de WebManagerCenter.com, elle pourrait aussi mécaniquement augmenter la consommation de vodka «maison» et autres tord-boyaux frelatés, qui tuent plus de 40.000 Russes chaque année.

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