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Grippe saisonnière : tous les pharmaciens pourront vacciner dès l’automne 2019

Grippe saisonnière : tous les pharmaciens pourront vacciner dès l’automne 2019

Le 26 avril 2019

Dès l’automne 2019, vous pourrez vous faire vacciner contre la grippe saisonnière dans n’importe quelle pharmacie.

La possibilité de se faire vacciner contre la grippe saisonnière en pharmacie étendue

Afin de faciliter le parcours de soins et renforcer la couverture vaccinale, la possibilité pour les pharmaciens de vacciner contre la grippe saisonnière, testée depuis octobre 2017 dans quatre régions, est étendue à l’ensemble des pharmaciens. Jusqu’au 1er mars dernier, seuls les pharmaciens d’Auvergne Rhône-Alpes, de Nouvelle-Aquitaine, des Hauts-de-France et d’Occitanie en avaient en effet l’autorisation.

« Les pharmaciens d’officine, des pharmacies mutualistes et de secours minières peuvent administrer la vaccination contre la grippe saisonnière » : l’arrêté fixant la liste et les conditions de la vaccination par les pharmaciens d’officine a été publié au Journal officiel le jeudi 25 avril

Les pharmaciens autorisés à vacciner contre la grippe sous certaines conditions

« Cette vaccination s’adresse aux personnes majeures, ciblées par les recommandations vaccinales en vigueur, à l’exception des personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l’ovalbumine ou à une vaccination antérieure » précise l’arrêté. 

Pour pouvoir vacciner contre la grippe saisonnière, les pharmaciens doivent toutefois respecter un certain nombre de conditions, comme la déclaration de cette activité de vaccination auprès des directeurs généraux des agences régionales de santé, un entretien préalable avec le patient ou encore la transmission des informations au médecin traitant de la personne vaccinée.

Aurélie Giraud

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Grippe saisonnière : les pharmaciens pourront de nouveau vacciner

Grippe saisonnière : les pharmaciens pourront de nouveau vacciner

Le 27 septembre 2018.

Le ministère de la Santé pense déjà à la prochaine épidémie de grippe et cette année, comme l’année dernière, les pharmaciens de certaines régions seront autorisés à vacciner leurs patients.

Les pharmaciens pourront de nouveau vacciner contre la grippe

Comme chaque année à la même époque, le gouvernement peaufine sa campagne de sensibilisation au vaccin contre la grippe. Pour contenir l’épidémie et limiter le nombre de décès liés à cette maladie hivernale, les autorités sanitaires misent sur de nombreux moyens pour convaincre les personnes les plus sensibles de se faire vacciner. Parmi ces moyens : la vaccination par les pharmaciens.

Déjà l’année dernière, ces derniers avaient été mis à contribution en recevant l’autorisation de vacciner certains patients depuis leur officine. Cette année, l’opération est reconduite dans plusieurs régions et à une catégorie de personnes plus large encore.

Dans quatre régions, les pharmaciens pourront vacciner certains patients

Cette deuxième expérimentation concernera les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Nouvelle-Aquitaine, Hauts-de-France et Occitanie. Selon le dispositif annoncé, les pharmaciens pourront vacciner les patients dits à risque, soit ceux qui ont plus de 65 ans, ceux dont les pathologies peuvent être aggravées par une simple grippe et, contrairement à l’année dernière, les femmes enceintes et les personnes qui n’auront encore jamais été vaccinées.

Selon les chiffres officiels, l’expérimentation qui a été menée en Nouvelle-Aquitaine et Auvergne-Rhône-Alpes l’année dernière a permis la vaccination de 160.000 personnes. Au cours de la saison 2017-2018, sur les plus de 12 millions de personnes qui ont été invitées à se faire vacciner, près de 5,5 millions en ont fait la démarche.

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Rhinite allergique saisonnière : efficacité modeste des désensibilisations et risques (Prescrire, conseils)

Dans la rhinite allergique saisonnière, alias « rhume des foins », « l’efficacité des désensibilisations sous-cutanées et sublinguales est modeste », indique la revue Prescrire dans son numéro d’août. Et, « elles exposent à des réactions d’hypersensibilité graves ».

« La rhinite allergique saisonnière est une affection gênante mais bénigne. Ses symptômes diminuent au cours de la vie chez la moitié des patients. »

Pendant la saison des pollens, rappelle la revue, « appliquer certaines mesures visant à réduire l’exposition à l’allergène semble limiter les symptômes » :

  • fermer les fenêtres,
  • limiter les sorties dans la journée par temps sec et chaud, ou après un orage, fermer les vitres en voiture,
  • changer de vêtements et se doucher, y compris les cheveux, après être sorti,
  • éviter de faire sécher le linge à l’extérieur.

« Lorsque la gêne est importante, le cromoglicate de sodium en pulvérisation nasale (Lomusol ou autre) est une option de premier choix. »

« Quand la gêne persiste malgré les traitements symptomatiques, une désensibilisation est parfois proposée si le ou les pollens en cause ont été identifiés.

La désensibilisation consiste à administrer, par voie sous-cutanée ou par voie sublinguale, des doses croissantes de l’allergène ou des allergènes en cause, pour réduire les symptômes du patient lors de l’exposition à cet allergène.

La désensibilisation par voie sous-cutanée est contraignante, et son efficacité est faible pour réduire les symptômes et diminuer la consommation de médicaments. Elle expose à des réactions d’hypersensibilité graves parfois mortelles. Même si ces réactions sont exceptionnelles, il n’est pas justifié de prendre de tels risques pour une affection bénigne.

L’efficacité de la désensibilisation par voie sublinguale est au mieux modeste. Elle expose aussi à des effets indésirables graves. Quand elle est envisagée, les patients ou l’entourage des enfants ont à être avertis du risque de réaction grave et de la conduite à tenir lors de la survenue d’une telle réaction. »

Les symptômes spécifiques des allergies croisées pollens-aliments

Pour plus d’informations sur les allergies respiratoires, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Prescrire.
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Bronchiolite : début de l’épidémie saisonnière

Attention à la bronchiolite qui fait un retour remarqué en métropole. On enregistre en effet une forte hausse du nombre de cas avec des chiffres qui marquent le début de l’épidémie saisonnière dans toutes les régions métropolitaines à l’exception de la région Grand-Est et de la Corse. Particulièrement touchées les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne- Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire, Nouvelle-Aquitaine, PACA et Pays-de-la- Loire.

Pour les DOM, épidémie en cours en Martinique et Guadeloupe

Parmi les chiffres à retenir notez qu’entre le 20 et le 26 novembre 2017, 3824 enfants de moins de 2 ans sont passés par la case urgence suite à une bronchiolite. 1377 d’entre-eux ont été hospitalisés.

L’occasion de vous rappeler quels sont les gestes préventifs que doivent adopter les adultes afin de réduire les risques de transmission de ce virus aux nourrisson.

Pour cela une brochure « La bronchiolite » a été éditée et mise à disposition du grand public. Vous la trouverez chez les pédiatres, les médecins généralistes mais aussi dans les crèches, les maternités, les CAF, les caisses primaires d’assurance maladie… Vous pouvez également la télécharger gratuitement sur le site de l’Inpes. Elle est destinée à donner aux parents les principales informations sur la bronchiolite : Qu’est-ce que c’est? Comment l’éviter? Que faire si votre enfant est malade?

En quelques mots rappelons qu’un simple rhume de l’enfant et de l’adulte peut être à l’origine d’une bronchiolite chez le nourrisson. Généralement la bronchiolite débute par un simple rhume et une petite toux qui se transforment en gêne respiratoire souvent accompagnée d’une difficulté à s’alimenter Les quintes de toux très fréquentes peuvent alors s’accompagner de sifflements. Le virus se transmet lors des éternuements, de la toux, par la salive, par les mains et les objets souillés d’une personne infectée. En cas de signes de bronchiolite, il faut bien sûr contacter sans délai votre médecin.

Sachez toutefois que quelques gestes du quotidien des proches du nourrisson qui peuvent permettre d’éviter la transmission du virus : lavage régulier des mains avant de s’occuper de bébé, port d’un masque chirurgical en cas de rhume, aération de la chambre de bébé (au moins 10 minutes par jour). Il faut également éviter d’échanger, dans la famille, les biberons, sucettes, couverts non nettoyés ou d’embrasser les enfants sur le visage si vous êtes enrhumé ou en période d’épidémie…

Pour plus d’informations consultez procurez-vous ou télécharger la brochure de l’Inpes en cliquant ici

News Santé

Allergie saisonnière : pas de vacances pour les pollens

Le 15 juillet 2013 à 15h00 – par Catherine Cordonnier

Selon le dernier bulletin d’alerte allergo-pollinique, les quantités enregistrées de pollens de graminées sont encore importantes. Vous n’avez pas fini de pleurer et d’éternuer !

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© Hemera

Selon le dernier bulletin allergo-pollinique du réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), c’est à un véritable feu d’artifice de pollens que l’on assiste en ce moment ! Pas de vacances pour les pollens de graminées qui sont encore très présents sur le territoire… et qui le seront encore la semaine prochaine, selon les prévisions.

Comme l’annonce le réseau de surveillance, les personnes allergiques au pollen ne doivent surtout pas relâcher leur vigilance car le risque allergique associé aux pollens de graminées est encore très élevé du Sud de la Bretagne au Centre et de la Gironde à l’Ouest de l’Auvergne. Les seuls lieux où vous pouvez vous passer de mouchoirs en ce moment sont les hauteurs des Alpes et la Corse !

La semaine dernière, nous vous suggérions de tester les médecines douces pour atténuer les symptômes du rhume des foins. Cette semaine, on vous fait découvrir 9 astuces surprenantes pour arrêter d’éternuer !

Enfin, si les graminées ne vous font pas peur mais que votre bête noire est plutôt l’ambroisie, sachez qu’un bulletin d’alerte national vient d’être lancé pour la période du 14 au 18 août. Les pollens d’ambroisie sont d’une rare violence et provoquent de très graves allergies même chez les personnes non prédisposées. Selon le RNSA, le pic d’ambroisie aura donc lieu, cette année, du 14 au 18 août.


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