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Les capacités cognitives varient avec les saisons chez les séniors avec ou sans Alzheimer

Les capacités cognitives chez les personnes de plus de 70 ans varient considérablement avec les saisons selon une étude publiée dans la revue PLOS Medicine.

Des études précédentes ont aussi montré des variations saisonnières dans les fonctions cognitives chez les jeunes adultes.

Andrew Lim de l’Université de Toronto (Canada) et ses collègues ont analysé des données concernant 3 353 personnes inscrites à trois études de cohortes aux États-Unis, au Canada et en France.

Les participants ont passé des tests neuropsychologiques et, pour certains, des données sur les niveaux de protéines et sur l’expression de gènes associés à la maladie d’Alzheimer ont été recueillies.

Le fonctionnement cognitif moyen était plus élevé en été et en automne qu’en hiver et au printemps. La différence équivalait, en moyenne, à 4,8 ans de déclin cognitif lié à l’âge.

Les chances de répondre aux critères diagnostiques du déficit cognitif léger ou aux critères de la démence étaient ainsi plus élevées en hiver et au printemps.

L’association entre la saison et la fonction cognitive est demeurée significative même en tenant compte dans l’analyse des données de facteurs de confusion potentiels, dont la dépression, le sommeil, l’activité physique et l’état thyroïdien. (L’insomnie varie selon les mois de l’année)

Une association avec les saisons a également été observée dans les taux de protéines dans le liquide céphalorachidien et l’expression de certains gènes liés à la maladie d’Alzheimer.

La persistance d’une plasticité saisonnière robuste de la cognition et de ses corrélats neurobiologiques, même dans le contexte d’une maladie d’Alzheimer, suggère des cibles de traitement ou d’intervention pour aider à améliorer la cognition des personnes âgées avec et sans maladie d’Alzheimer, concluent les chercheurs.

Pour plus d’informations sur le déclin cognitif lié à l’âge, le déficit cognitif léger, la maladie d’Alzheimer, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : PLOS, PLOS Medicine.
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On adore… Le Soin des 4 Saisons chez Romain Colors XXVII

Après dix années de succès avec son premier salon installé au 37 rue Rousselet dans le 7ème arrondissement, Romain a décidé d’investir la Rive Droite et d’ouvrir un nouvel espace dédié à la beauté du cheveu.

Avec son parquet blond, ses beaux volumes haussmanniens, sa lumière naturelle et toujours ces petites touches de féérie si chère au maître des lieux, cette nouvelle adresse est un magnifique écrin pour ce virtuose de la couleur tant apprécié pour ses colorations douces au résultat très naturel.

Mais outre sa passion de la couleur, Romain propose dans ce nouveau salon de partager son amour des plantes et de l’aromathérapie auxquels il a été initié par son grand-père, à travers un protocole de soin capillaire personnalisé baptisé Soin des 4 Saisons.

Prodigué en cabine privée, ce soin capillaire est autant un moment de beauté pour le cheveu qu’une parenthèse de détente pour le corps et l’esprit grâce aux mains expertes de Yelena, sa fidèle collaboratrice.

Pour garantir un soin sur-mesure, c’est un complexe d’huiles essentielles, d’huiles végétales et d’extraits de plantes obtenus par extraction au CO2 supercritique – cette méthode permettant d’obtenir des extraits sous la forme la plus naturelle possible – qui est réalisé sur place, juste au moment du soin.

Et ensuite, on part pour vingt minutes de massage du crâne mais aussi de la nuque, des épaules et des bras qui vous plongent dans une totale détente.

Massés et placés sous vapeur pour une pénétration optimale, cheveux et cuir chevelu bénéficient ainsi pleinement des bienfaits des actifs végétaux qui ciblent un à un leurs besoins précis du moment.

Après la couleur Haute Couture, Romain Colors invente donc le soin capillaire Haute Couture. Un petit luxe à offrir à ses cheveux pour leur redonner beauté et pleine santé.

Romain Colors XXVII
27, rue La Boétie
75008 Paris
Tél. : 01 40 07 01 58
Ouvert du mardi au samedi
De 11h00 à 20h00 les mardi-jeudi-vendredi
Le mercredi de 12h00 à 22h00
Le samedi de 10h00 à 20h00
www.romaincolors.fr
Soin des 4 Saisons, durée 30 minutes, prix : 80 € hors coiffage


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Bien-être: suivez le rythme des saisons avec la médecine chinoise

On connait l’acupuncture, la branche la plus connue de la médecine chinoise. Mais on ignore souvent que la médecine orientale se base aussi sur les saisons pour préserver notre santé et notre énergie.

1. Les 4 saisons du corps

Dans la nature les saisons se suivent dans un ordre immuable : dans la médecine chinoise, il en est de même avec les saisons du corps, chacune démarrant un cycle énergétique qui lie les organes entre eux.
Le cycle démarre avec le foie, l’élément du printemps. Le foie transmet ensuite son énergie au cœur, associé à l’été. Puis le cœur transmet son énergie à la rate (pendant l’été indien) qui la transmet au poumon en automne, qui la transmet enfin au rein quand l’hiver arrive…
Lorsque ce cycle se déroule sans encombre, l’énergie circule et recharge notre organisme. Mais il suffit qu’un organe s’affaiblisse pour que la circulation de l’énergie soit bloquée. La relation entre le flux d’énergie et les saisons est donc l’une des clés de la médecine chinoise.

2. L’énergie changeante du printemps

Dans les végétaux, la sève monte pour aller nourrir les jeunes pousses : dans notre corps l’énergie s’anime dans le foie et la vésicule biliaire.
Dans la médecine chinoise, le foie est chargé de « gérer » l’énergie et d’assurer sa bonne répartition dans notre organisme. Mais c’est aussi le foie qui est chargé de nourrir les tendons, les muscles et les ongles. La vésicule biliaire le soutient dans toutes ces fonctions.

Quand il y a déséquilibre
Un déséquilibre dans la circulation de l’énergie dans les organes du printemps peut provoquer des troubles digestifs, des maux de tête, des douleurs des règles… et puisque l’énergie du foie nourrit les muscles et les tendons, nos muscles sont tendus et nos tendons sont durcis quand le foie est perturbé. Enfin, le foie étant lié au fonctionnement des yeux, le vide d’énergie peut provoquer de la fatigue oculaire, des conjonctivites…

3. L’énergie brulante de l’été

L’été c’est le temps de la maturité, lorsque les fruits sont prêts à être cueillis. Dans notre corps, l’énergie qui circule est puissante et s’anime dans le cœur. De l’énergie du cœur dépend la qualité de tous les vaisseaux par lesquels le sang circule, des artères aux petits vaisseaux capillaires. L’intestin grêle le soutient dans cette fonction.

Quand il y a déséquilibre
Les troubles liés aux organes de l’été se manifestent soit par un excès de chaleur (palpitations, éruptions, troubles circulatoires) soit, à l’inverse, par un ralentissement des fonctions (fatigue générale, hypotension, anémie).

4. L’énergie fraiche de l’automne

La nature prépare la période hivernale de mise en sommeil qui va suivre : le corps se prépare à lutter contre les agressions de l’hiver. C’est l’énergie du poumon qui incarne l’automne à l’intérieur du corps et qui va faire circuler tous les liquides organiques dans le corps. Pour la médecine chinoise, la respiration n’est pas seulement une fonction physiologique mais aussi une fonction énergétique : son flux et son reflux rythment la diffusion de l’énergie dans tous les méridiens. Le poumon est soutenu dans sa tâche par le gros intestin.

Quand il y a déséquilibre
C’est toute l’énergie vitale qui s’en trouve ralentie : les troubles liés au poumon se manifestent par des problèmes respiratoires ou rhinopharyngés, bien sûr, mais aussi des problèmes de peau (psoriasis, eczéma, acné) ou une baisse des défenses immunitaires.

5. L’énergie froide de l’hiver

Dans la nature, c’est une période d’attente, de repos mais pas d’inactivité ; dans notre corps, l’énergie gère ce qui est lié à l’eau à travers les reins et la vessie. Le rein est également responsable de la solidité des os et de la régénération de la moelle, ainsi que de l’énergie de la sexualité, le Jing.

Quand il y a déséquilibre
Le vide de l’énergie du rein se manifeste par de la faiblesse physique, psychique ou sexuelle. Calculs rénaux, cystites chroniques ou néphrites peuvent apparaitre. Mais comme la relation entre le rein et le poumon est étroite, cette baisse d’énergie peut également se traduire par de la toux, un essoufflement, de l’asthme, une angine…