Archives par mot-clé : Santé

Pourquoi le Curcuma est bon pour notre santé ?

Le 23 septembre 2016.

Le curcuma, un aliment miracle ? Cette épice fait de plus en plus d’adeptes et ce n’est pas cette dernière étude qui contredira ses partisans.

Le curcuma lutterait contre la dépression, le cancer ou encore l’eczéma

Le curcuma est une épice qui, dans sa forme brute, ressemble un peu à la racine du gingembre, mais qui, lorsqu’il est broyé, devient une poudre de couleur jaune vive, très populaire dans la cuisine sud-asiatique. Ces dernières années, tout a été dit sur le curcuma et on prête à ce dernier un rôle bénéfique pour lutter contre de nombreux maux.

On trouve pas moins 200 composés différents dans le curcuma, mais celui qui intéresse vraiment les scientifiques dans cet épice, c’est la curcumine. De nombreuses études ont déjà été réalisées sur le sujet et tous vantent les qualités exceptionnelles de cette substance. Mais ces études ont surtout été effectuées sur la souris, en utilisant des doses difficilement compatibles avec une alimentation humaine normale. Pour pallier à cette lacune, Michael Mosley, présentateur de l’émission Trust Me, I’m A Doctor, diffusée sur la BBC, a décidé de mener sa propre étude clinique.

Un gêne miracle retrouvé dans l’organisme des participants

100 personnes ont été volontaires pour participer à cette enquête, durant laquelle elles ont été divisées en trois groupes. Au premier groupe a été demandé de mélanger une cuillère à café de curcuma chaque jour dans leurs repas, pendant six jours. Le deuxième groupe a dû avaler un supplément alimentaire contenant la même dose de curcuma pendant qu’un placébo était donné quotidiennement au troisième groupe.

Au terme de ces six jours, les participants se sont prêtés à différentes analyses menées par le professeur Martin Widschwendter, éminent spécialiste de l’apparition des cancers. Ce dernier a été formel pour assurer qu’il n’y avait aucun changement notable dans les analyses des groupes qui avaient consommé un supplément alimentaire ou un placébo. En revanche, dans le sang des participants qui ont quotidiennement mélangé une dose de curcuma à leurs aliments a été retrouvé un gêne bien spécifique. Ce dernier lutterait notamment contre la dépression, l’asthme, l’eczéma, et le cancer. D’autres études doivent être menées pour confirmer ces résultats, mais ils tendent déjà à prouver que le curcuma pourrait bien être un aliment miracle.

À lire aussi : Le curcuma pour une bonne digestion

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

On veut de la liberté de choix pour notre santé !

Les seniors veulent être libres de choisir leur professionnel de santé

Opinionway a réalisé un sondage sur « Les Français et le libre choix des professionnels de santé », les 24 et 25 aout 2016, auprès de 1 006 individus âgés de 18 ans et plus. Ce sondage a été réalisé pour LJCORP, une agence de stratégies d’information et de relations publiques.

Plus les assurés vieillissent plus ils veulent être libre de choisir

Si les réseaux de soins ont été mis en place pour proposer un meilleur remboursement des soins aux assurés, 66 % des personnes interrogées déclarent préférer quand même choisir librement leur professionnel de santé, alors que 19 % se contentent d’une liste limitative proposée par leur réseau de soins.

Si les Français sont attachés au libre choix de leur professionnel de santé, c’est d’autant plus vrai plus ils prennent de l’âge :

  • 63 % chez les 25/34 ans
  • 67 % chez les 35/49 ans ou les 50/64 ans
  • 70 % chez les 65 ans et plus

La très grande majorité des personnes interrogées (95 %) estiment que l’on devrait pouvoir choisir par qui on se fait soigner.

88% pensent que le niveau de remboursement devrait être le même quel que soit le professionnel de santé choisi.

Qui est le mieux placé pour conseiller un professionnel de santé ?

Le médecin traitant est en tête de classement avec 70 % des répondants, tandis que seuls 19 % des gens font confiance à leur entourage.  Enfin, les mutuelles n’ont pas la confiance de beaucoup de Français sur le choix d’un professionnel compétent puisque seul 1 Français sur 10 déclare avoir confiance en sa mutuelle.

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à cliquer !

Produits contenant de l’acétaminophène : des mises en garde plus claires exigées par Santé Canada

Santé Canada exige que l’emballage des produits contenant de l’acétaminophène (paracétamol) comporte des instructions plus claires et des mises en garde plus précises afin de réduire le risque de dommages au foie.

L’acétaminophène, qui est notamment l’ingrédient actif du Tylénol, « est un médicament utilisé dans un large éventail de produits en vente libre ou délivrés sur ordonnance, notamment dans des remèdes contre les maux de tête, la douleur, les allergies et le rhume ainsi que dans des analgésiques opioïdes. »

Chaque année, on compte environ 4000 hospitalisations reliées à l’utilisation du médicament, rapporte La Presse canadienne.

Les améliorations apportées à la norme d’étiquetage sont les suivantes :

  • « l’emballage doit comporter des instructions plus claires qui soulignent l’importance de prendre la dose efficace la plus faible, de s’en tenir à la dose maximale recommandée par période de 24 heures (qui est de 4 000 mg pour les adultes), d’utiliser ces produits pendant au plus cinq jours en cas de douleur ou trois jours en cas de fièvre et de limiter la consommation d’alcool à deux boissons par jour » ;

  • « la mention “contient de l’acétaminophène” doit figurer en caractères gras rouges dans le coin supérieur droit du devant de l’emballage pour que les consommateurs puissent facilement savoir si un produit contient ce médicament » ;

  • « l’emballage doit arborer un nouveau tableau de renseignements sur le médicament qui fournit des instructions sur le produit, des mises en garde et d’autres renseignements sur la sécurité, présentés d’une manière uniforme et facile à consulter » ;

  • « il est recommandé de fournir un dispositif doseur étalonné avec tous les produits liquides destinés aux enfants pour que les parents et les soignants puissent s’assurer d’administrer la bonne dose à l’enfant ».

Les changements s’appliquent immédiatement aux nouveaux produits. Quant aux produits déjà commercialisés, les entreprises ont 18 mois pour mettre à jour les étiquettes. Le tableau de renseignements sur le médicament devra figurer sur tous les produits d’ici 2021. »

Santé Canada rappelle aux consommateurs de prendre la dose minimale efficace et un seul produit à la fois contenant de l’acétaminophène.

Psychomédia avec source : Santé Canada.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Quel budget complémentaire santé pour les seniors ?

Plus on vieillit, plus la santé est chère !

En vieillissant, les Français nécessitent davantage de soins…et davantage de soins couteux ! Hors, les revenus des plus de 50 ans ne vont pas en s’améliorant et une fois à la retraite cela ne s’arrange pas ! Voici une étude du Conseil d’orientation des retraités qui explique pourquoi une mutuelle santé est de plus en plus indispensable avec l’âge !

Plus on vieillit, plus la santé est chère !

Soins dentaires importants, soins de l’ostéoporose, prothèses auditives, presbytie, etc. Autant de soins dont les Français de plus de 50 ans nécessitent. Et bien sûr ces prestations médicales sont de plus en plus chères avec l’âge. En effet, les patients nécessitant des prothèses auditives doivent assumer un restant à charge d’environ 1 000 euros.

Selon le Conseil d’orientation des retraités, à 50 ans, un senior dépense chaque année 2 500 euros en santé (avant prise en charge de la Sécu et de la mutuelle santé) ; entre 3 000 et 4 000 euros entre 60 et 70 ans.

D’où l’intérêt d’une bonne mutuelle santé

Pour alléger la facture, les seniors (comme les autres Français) ont tout intérêt à opter pour une bonne complémentaire santé. Ces contrats qui remboursent une partie des soins permettent de faire baisser le restant à charge annuelle à 450 euros en moyenne pour les 56/65 ans.

Le coût de la complémentaire santé est d’environ 100 euros mensuel, soit 1 200 euros annuel.

Il n’y a plus qu’à faire le calcul pour savoir où est l’intérêt des Français !

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à cliquer !

Les dépenses de santé des ménages en baisse cette année

Le 6 septembre 2016.

Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), qui dépend du ministère de la Santé, publiée lundi 5 septembre, la Sécurité sociale prend de plus en plus en charge les dépenses de santé des Français.

En 2015, la Sécurité sociale a financé 76,8 % des soins

En quatre ans, les dépenses de santé des Français ont baissé. Ils ont toujours eu autant besoin de se faire soigner, mais la Sécurité sociale prend en charge une part croissante de ces dépenses. En 2015, elle a financé 76,8 % de l’addition totale, qui s’est élevée à 194,6 milliards d’euros, soit 0,2 point de plus que l’an passé.

Le ministère de la Santé précise que cette hausse s’explique par l’augmentation des affections de longue durée comme le diabète ou le cancer, qui sont prises en charge à 100 %. Depuis 2012, et l’arrivée de François Hollande au pouvoir, la part des dépenses de santé des Français n’a fait que reculer, elle est passée de 9,3 % à 8,4 %. Au total, ils consacrent en moyenne 1,21 % de leur revenu disponible brut à leur santé.

Pas de nouveaux déremboursements

Ce n’est pas une surprise quand on sait que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a promis de ne pas mettre en œuvre de nouveaux déremboursements. Elle a par ailleurs tenu à ce que la Sécurité sociale prenne en charge un certain nombre de soins. Depuis le 1er avril 2016, par exemple, tous les actes liés à une interruption volontaire de grossesse (IVG) sont remboursés à 100 % par la Sécurité sociale. 

Les ménages ne sont pas les seuls à bénéficier de cette prise en charge des soins plus importante de la part de la Sécurité sociale. En deux ans, la part de financement des soins des organismes complémentaires est passée de 13,6 % à 13,3 %. En 2015, les Français ont dépensé près de 195 millions d’euros en consultations, analyses médicales, achats de médicaments et autres biens médicaux.

À lire aussi : Quel pays dépense le plus en matière de santé ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Des produits d'entretien dangeureux pour la santé

Jeudi 1 septembre 2016.

Le dernier numéro de 60 Millions de consommateurs (septembre 2016) révèle qu’un certain nombre de produits d’entretien peuvent contenir des ingrédients dangereux pour la santé. Cela va de simples allergènes, à des composés irritants ou corrosifs. 

Des produits d’entretien qui déclenchent des allergies

Paradoxalement, dans certains cas, c’est parce que le produit est trop efficace que 60 Millions, qui a fait procéder à des analyses par un laboratoire indépendant, le déconseille ! Ainsi, deux produits d’entretien réputés pour leur pouvoir anti-bactérien sont jugés inadaptés pour un usage courant par le magazine.

De même, des produits d’entretien parfumés peuvent déclencher des réactions allergiques. Cela va de la simple gêne respiratoire à la crise d’asthme, en passant par des rhinites, ou encore des réactions sur la peau. 

De l’acide chlorydrique dans des produits ménagers

Enfin, des détergents contenant de l’acide chlorhydrique ou de l’acide formique sont jugés dangereux par le magazine, car ils peuvent brûler la peau de celui qui l’utilise et être très dangereux en cas de projection dans les yeux. De même, les vapeurs qui s’en dégagent ne sont pas anodines pour la santé.

La liste des ingrédients déconseillés dans les produits ménagers a été mise en ligne par 60 Millions de consommateurs sur son site Internet. Les noms des produits déconseillés sont quant à eux listés dans l’article. 

Vous aimerez aussi : 5 produits naturels pour une maison saine

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Réforme Touraine : les mutuelles santé remboursent moins

Le gouvernement a souhaité responsabiliser les dépenses de santé des Français. Depuis le 1er avril 2015, le remboursement de la part des mutuelles est plafonné. Conséquence ? Une facture plus salé qu’avant pour les patients…

Les Français paient plus pour leur santé

Alors que l’heure est à l’accès aux soins, la réforme Touraine qui tendait vers une responsabilisation de la consommation médicale et sanitaire semble provoquer l’effet contraire. Depuis que le remboursement des complémentaires santé est plafonnés dans le cadre des contrats responsables, les Français doivent mettre (encore !) la main à la poche. Ils continuent donc de payer leur mutuelle santé, mais ils ont désormais un restant à charge plus important qu’avant.

Comment cela se fait-il ? Depuis le 1er avril 2015, les dépassements d’honoraires ne sont pris en charge qu’à hauteur d’une fois le tarif fixé par la Sécurité Sociale (contre jusqu’à 3 ou 4 fois le tarif de convention de l’Assurance Maladie avant la réforme). Par conséquence, les patients doivent payer de leur poche ce restant à charge.

Mutuelle responsable : l’erreur du gouvernement ?

Avec cette réforme, le gouvernement souhaitait limiter les abus de la part de certains médecins qui pratiquaient des dépassements d’honoraire sans tenir compte de la règle très floue du « tact et mesure », en limitant la prise en charge. Le gouvernement pensait ainsi inciter les médecins aux honoraires libres à baisser leurs tarifs.

Or, les médecins ne semblent pas avoir baissé leurs honoraires, tandis que les complémentaires santé remboursent moins ces dépassements depuis 8 mois. Les victimes sont une nouvelle fois les Français.

Comment éviter les dépassements d’honoraires élevés ?

Pour éviter d’avoir un restant à charge trop important, nous vous conseillons d’éviter les consultations chez les médecins pratiquant des dépassements d’honoraires. Il faut privilégier les médecins exerçant en secteur 1, ils respectent les tarifs de la Sécurité Sociale.

Enfin, pour les médecins spécialistes, pratiquant souvent les honoraires libres, il suffit de se rendre sur le site annuairesante.ameli.fr, qui permet de trouver facilement un médecin près de chez soi, selon des critères précis (pratique des dépassements d’honoraires, Carte Vitale, carte bancaire, etc.)

Les vacances, c'est la santé !

Les vacances annuelles ont elles un impact positif sur la santé ?

La période des vacances est souvent très attendue par grand nombre de Français. Entre repos et dépaysement, les congés annuels ont-ils un impact positif sur la santé ? Le Figaro a mené l’enquête.

Comment les vacances agient-elles positivement sur notre santé ?

Globalement et sans surprise, les vacances ont bien un impact positif sur le bien-être et la santé physique et mentale de l’Homme. Une enquête du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) révèle d’ailleurs que 74 % des personnes qui s’estiment globalement heureuses sont parties en vacances dans l’année. Seuls 38 % des personnes qui ne sont pas parties en vacances  se sentent heureuses. Il semblerait que les congés aient bien un impact sur le bien-être des Français.

Les vacances auraient un certain pouvoir sur la santé physique, atténuant ou faisant disparaitre certaines pathologies chroniques telles que les allergies ou l’asthme par exemple.

Certaines études tendraient à prouver que les vacances réduiraient le risque de dépression. Pari réussi donc pour le gouvernement français de 1936 qui a instauré les congés payés en France.

Mais quand c’est la fin des vacances…

Attention toutefois aux effets du retour de vacances. Les bénéficies sanitaires apportés par les vacances s’estomperaient rapidement, de 15 jours à 1 mois après la reprise du travail.

Mais relativisons lorsque l’on sait que 40 % des foyers français à faibles revenus ne partent pas en vacances (ne quittent pas leurs logement plus de 4 jours consécutifs) 

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à cliquer !

Pourquoi taper dans ses mains est bon pour la santé ?

Le 24 août 2016.

Parmi les nombreuses astuces existantes pour se maintenir en bonne santé physique ou morale, il en est une à laquelle vous n’auriez sans doute pas pensé de vous même : taper dans ses mains ! Oui, taper dans ses mains est bon pour la santé, d’après des médecins indiens… Voici pourquoi.

Ce que taper dans ses mains procure

Soyons clairs : cette thérapie insolite s’inspire bien évidemment de l’acupuncture et des points de pression censés être bénéfiques pour la santé. D’après les médecins indiens qui la recommandent, elle permettrait d’abord de faire faire de l’exercice à ceux qui mènent une vie par trop sédentaire et qui ne sortent pas, ou peu, de chez eux. Simple, mais il fallait y penser ! 

De facto, cette activité physique, simple à mettre en oeuvre, offre tous les avantages que les autres activités physiques apportent. Elle améliore notamment la pression sanguine et stimule le système immunitaire. 

Une activité sportive comme une autre

Mais les médecins indiens vont plus loin. Ils affirment que taper dans ses mains 20 à 30 minutes par jour peut aussi améliorer la santé de ceux qui souffrent de diabète, d’arthrite, d’hypertension, mais aussi de migraines, d’insomnie, de pertes de cheveux, de problèmes de vue, ou encore… de dépression ! Cela aiderait même les adolescents à mieux se concentrer…  Nous ne reproduisions ici la liste des « bienfaits » supposés de quelques minutes quotidiennes d’applaudissements qu’à des fins informatives, sans aucune garantie sur leur bien-fondé. Notons au passage que les médecins indiens recommandent de taper dans ses mains en les ayant préalablement crémées, histoire d’en prendre bien soin. 

Néanmoins, il est connu et reconnu que toute activité physique, que ce soit marcher dans la rue, monter des marches d’escalier, ou à domicile pour ceux qui ne peuvent pas sortir, monter et descendre d’une marche d’escabeau (step), ne peut que faire du bien.

Pour l’anecdote, on sait cependant que Jean-Baptiste Colbert, ministre de Louis XIV, bourreau de travail, était connu pour se frotter les mains plusieurs fois par jour. Quand on lui demandait pourquoi, il expliquait que ce geste redoublait son énergie à l’ouvrage… 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Déjà-vu : souriez, vous êtes en bonne santé

Le 22 août 2016.

Vous l’avez déjà vu. Vous l’avez déjà vu. 

Cette impression, que sept personnes sur dix disent avoir déjà ressentie dans leur vie, a longtemps été considérée comme étant un signe de fatigue psychique, de stress ou d’émotion. La sensation de déjà vu fait même partie des éléments de diagnostic de certaines pathologies mentales, ou troubles psychiatriques ! 

Le déjà vu, connu dans le monde entier 

Et pourtant, d’après une étude écossaise récente, cette impression définie pour la première fois en 1876 par le philosophe français Émile Boirac n’est en rien un signe de problème mental, au contraire !

Il s’agirait même d’un signe de bon fonctionnement du cerveau, et de son système de mémorisation et validation des souvenirs. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs de l’université Saint Andrews, en Écosse, sont parvenus à créer un protocole permettant de susciter des impressions de déjà vu chez des cobayes.

Déja vu : c’est la mémoire qui envoie un signal

À force d’appliquer ce protocole, ils sont parvenus à la conclusion que le cerveau des cobayes ne faisait que valider les souvenirs récemment acquis, en déclenchant cette impression, le tout sous IRM. En constatant que le cortex préfrontal entrait en activité dans certaines situations, et non l’hippocampe, comme ils s’y attendaient, ils ont pu valider l’hypothèse que c’étaient les zones dédiées à la mémoire et au traitement des souvenirs qui déclenchaient le déjà vu. 

Et si vous ne ressentez plus cette impression de déjà vu, après l’avoir expérimentée plusieurs fois au cours de votre vie, c’est tout à fait normal. Elle s’estompe, puis disparaît, avec l’âge… 

Pour en savoir plus : Phénomène du déjà vu, comment ça marche ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net