Archives par mot-clé : Santé

Le casse-tête de la complémentaire santé senior

L'audioprothèse : une dépense courant chez les seniors

Après la généralisation de la complémentaire santé qui s’adresse aux actifs, le gouvernement s’attèle à mettre en place une complémentaire dont les contours s’adaptent aux besoins des seniors.

Mutuelle senior : des tarifs moins chers sans mettre en danger l’assureur ?

C’est là tout le casse-tête des contrats labélisés pour les seniors. Alors que les seniors sont la tranche d’âge la plus dépensière en matière de soins, ils sont aussi ceux qui paient le plus cher leur complémentaire santé. Or, le gouvernement souhaite limiter les tarifs des mutuelles séniors… sans pour autant mettre en péril l’équilibre financier des assureurs et mutualistes.

Le Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie notait en 2010 qu’une personne âgée de 75 ans dépensait en moyenne 6 000 euros de soins par an alors qu’une personne de 45 ans n’en dépense que 2 000.

Pourtant le gouvernement a fixé des tarifs pour les 75 /79 ans plafonnés à 103 euros par mois. Un chiffre éloigné de la réalité puisque cette tranche d’âge peut débourser jusqu’à 120 euros/mois.

Le problème des mutuelles senior labélisées

Selon la Mutualité, il y a un problème avec les contrats labélisés. Ils ne sont pas adaptés aux besoins des seniors, proposant des garanties inutiles pour cette tranche d’âge comme l’orthodontie et négligeant totalement l’aide aux aidants par exemple.

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Diesel : des effets à long terme sur la santé prouvés

Mardi 2 août 2016.

Des chercheurs français et néerlandais ont exposé des lapines en gestation à un air pollué par des particules fines, du même type que les particules émises par les moteurs diesel. Et ils ont comparé l’évolution des foetus, et l’état de santé des lapines, à l’évolution de foetus et de lapines témoins, respirant de l’air normal. Leur travail a été publié dans Particle and Fibre Toxicology

Diesel : retard du développement du foetus chez le lapin 

Devinez ce qu’ils ont découvert ? Que les placentas des mères exposées aux particules fines – pourtant, seulement deux heures par jour, 5 jours par semaine, pendant 25 jours (sur 30 jours de grossesse- étaient moins vascularisés. Et que les foetus dont la mère était exposée à la pollution se développaient moins rapidement pendant une partie de la grossesse ! 

Plus inquiétant encore : des nanoparticules provenant bien évidemment de l’air vicié ont été trouvées dans le sang des bébés lapins. Et pour les bébés femelles qui, à leur tour, ont donné naissance à des lapereaux, les échanges d’acides gras entre la mère et le foetus étaient modifiés par rapport à la norme, ce qui pourrait prouver que l’exposition à la pollution a des conséquences sur plusieurs générations. 

La pollution de l’air provoque un retard gestationnel chez l’homme

Ces expériences menées sur le lapin, un mammifère, dont le processus gestationnel est très proche de celui des humains, permettent d’envisager que la pollution a aussi des conséquences transgénérationnelles sur nous. Déjà, une équipe de chercheurs de l’Inserm, à Grenoble, a observé que les enfants nés de femmes exposées à la pollution atmosphérique pendant leur grossesse avaient en moyenne un poids, et un périmètre crânien inférieur à la norme. 

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Santé : l'app Hospitalidee pour donner son avis sur l'hôpital

Une application pour laisser un avis sur son passage à l?hôpital

Les idées de nouvelles applications se répandent dans tous les secteurs. La santé n’échappe pas à la règle et la dernière application qui attire l’attention c’est Hospitalidee. Le principe est simple : pouvoir noter son séjour à l’hôpital.

Hôpitaux : une évaluation sur plusieurs critères

Certains passages à l’hôpital peuvent durer et il est important de passer un séjour dans des locaux agréables. Hospitalidee.fr arrive alors pour aider les patients. Avec ce nouveau service ils peuvent ainsi consulter et poster des avis sur leur séjour à l’hôpital.

Le but ici n’est pas de juger son opération ni les aspects techniques mais plutôt l’environnement et tout ce qu’il y a autour dans un souci d’une meilleure prise en charge des patients. Les hôpitaux mais aussi les établissements et les cabinets de santé en général peuvent être soumis aux remarques implacables des particuliers et ainsi voir leur réputation fluctuer. On notera tout de même la possibilité de noter les médecins, point qui agace particulièrement les professionnels de santé tellement la médecine peut être faillible à tout moment.

Des commentaires certifiés sont également réalisables mais pour cela le patient doit fournir une preuve de son hospitalisation. Cet outil peut alors devenir pour les professionnels une plate-forme efficace pour juger la qualité de leurs services et même dégager un classement des meilleurs établissements français. Plusieurs critères de notation interviennent comme l’accueil, l’attente, l’organisation, l’accessibilité ou les relations avec le personnel.

Hospitalidee : des ambitions programmées

Lancé depuis une année, Hospitalidee n’en est qu’à ses débuts mais déjà plus de 50 000 avis ont été récoltés. Une levée de 3 millions est prévue pour accélérer sa croissance. Pour dégager de l’argent, le site pense à placer de la publicité vers les professionnels (et non les patients) et vendre des analyses aux établissements. Enfin, si cette idée vient des Etats-Unis, Hospitalidee estime avoir les bonnes clés pour s’installer dans d’autres pays européens.

Crédit image : Hospitalidee

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Pour rester en bonne santé, il faut marcher au moins une heure par jour

Le 29/07/2016.

Le sport, c’est la santé. Mais certains n’en sont pas très férus et n’exercent aucune activité physique. Pourtant, il est conseillé de pratiquer la marche rapide, pendant au moins une heure par jour.

Marchez et vous resterez en bonne santé

Des chercheurs ont mené une étude sur le nombre d’heures d’activité physique qu’il faudrait pratiquer pour rester en bonne santé. Ils se sont appuyés sur un échantillon d’un million de personne, d’origines australienne, américaine et européenne.

Pour cela, ils ont classé les individus, âgés en moyenne de 45 ans, en quatre groupes, en fonction du temps pendant lequel ils s’adonnent leur sport : moins de 50 minutes par jour pour les moins actifs et jusqu’à 60 à 75 minutes pour les plus sportifs.

Le résultat est sans appel : être actif est primordial. Ils se sont rendu compte que les personnes actives, qui pourtant restaient assises en moyenne 8 heures par jour, avaient moins de risques de mourir d’une maladie chronique. En revanche, les moins sportifs et même s’ils restaient assis moins longtemps pendant la journée, ont un risque plus élevé.

Une activité physique régulière est nécessaire

Les chercheurs en ont donc conclu que même si l’on passe un nombre assez important d’heures assis, le fait de pratiquer une activité physique régulière d’au moins une heure par jour réduit le risque de décéder prématurément.

Il est recommandé par l’OMS aux adultes de faire du sport au moins 150 minutes par semaine. Il a également été prouvé qu’une activité physique faible ou inexistante était liée à un risque accru de développer des maladies cardiaques, du diabète ou un cancer.

Alors, la prochaine fois que vous irez travailler ou faire vos courses, prenez votre vélo ou allez y à pieds !

À lire aussi : Sport – Exercice physique : pas d’excuse !

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Tatouage : plusieurs risques de santé, dont le cancer, pour une couleur en particulier

Certaines encres de tatouage présentent plusieurs risques pour la santé, selon un rapport de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) qui sera prochainement publié. L’ECHA pourrait limiter ou bannir l’usage de plusieurs substances, rapporte le Daily Mail.

« Les préoccupations les plus graves sont les allergies causées par des substances dans les encres et les possibles effets cancérigènes, mutagènes ou les effets toxiques sur la reproduction », rapporte le Daily Mail.

L’encre rouge est considérée comme la plus dangereuse. Le vert, le bleu et le noir seraient également à risque.

Bien que les encres soient injectées dans le corps, elles ne sont pas sujettes aux mêmes règlements que les médicaments et les aliments.

Psychomédia avec source : Daily Mail.
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Complémentaires santé labellisées des seniors : que faut-il regarder ?

Les seniors vont bientôt bénéficier de mutuelles adaptées

A parti du 1er janvier 2017, les retraités de plus de 65 ans bénéficieront de complémentaires santé labellisées afin de leur offrir une meilleure couverture santé sans faire exploser leur budget. Voici ce qu’il faut regarder dans ces futurs contrats pour bénéficier de la meilleure couverture de santé au meilleur tarif.

Contrats santé labellisés : 3 niveaux de garantie

Dès 2017, les seniors de plus de 65 ans bénéficieront de contrats santé labellisés délivrés par le Fonds de financement de la CMU et pourront choisir parmi 3 niveaux de garanties.

Alors que 2 décrets étaient à l’étude, c’est le deuxième qui intéressera le plus la cible de ce dispositif : il fixe les garanties minimales ainsi que les tarifs maximaux.

Ces contrats labellisés proposeront ainsi les garanties suivantes :

  • Remboursement intégrale du ticket modérateur pour les soins de ville,
  • Remboursement facultatif des cures thermales et médicaments à service médical faible,
  • Remboursement du forfait journalier hospitalier sans limitation de durée,
  • Remboursement des dépassements d’honoraires des médecins (plafonnée)
  • Remboursement de la chambre particulière en cas d’hospitalisation pour le contrat de 3e niveau (60 euros / jour dans la limite de 90 jours par an).

Ces contrats santé labellisés proposeront enfin des tarifs qui varieront en fonction du niveau de garantie choisi mais également en fonction de l’âge du retraité :

  • 55 euros, 66 euros et 82 euros / mois entre 65 ans et 69 ans
  • 61 euros, 72 euros, 93 euros / mois entre 70 ans et 74 ans
  • 67 euros, 78 euros et 103 euros / mois entre 75 ans et 79 ans
  • 74 euros, 85 euros et 113 euros / mois entre 80 ans et 84 ans
  • 83 euros, 93 euros et 121 euros / mois entre 85 ans et 89 ans
  • 90 euros, 97 euros et 143 euros / mois à partir de 90 ans

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Une perte de connaissance est parfois causée par un problème de santé sérieux

Des chercheurs canadiens proposent une méthode pour déterminer le risque qu’une perte de connaissance (syncope) soit causée par un problème de santé sérieux.

Une personne sur trois fera une syncope au cours de sa vie. Il s’agit d’une perte de connaissance ne durant que quelques minutes qui serait causée par une baisse brutale de l’apport de sang oxygéné au cerveau, elle-même liée à une chute de tension.

Bien que souvent bénigne, elle peut être causée par des conditions de santé potentiellement mortelles telles qu’une arythmie ventriculaire.

Environ 10 % des personnes qui visitent les services d’urgence pour des évanouissements connaissent un événement indésirable grave dans la semaine ou le mois qui suit.

Venkatesh Thiruganasambandamoorthy de l’Université d’Ottawa et ses collègues ont analysé des données concernant plus de 4000 personnes s’étant présentées aux urgences de six hôpitaux canadiens. De ce nombre, 147 ont connu un événement sérieux dans le mois qui a suivi.

Ils ont élaboré un outil comportant 9 questions, le Canadian Syncope Risk Score (CSRS) pour aider les médecins urgentistes à évaluer le risque d’un événement tel qu’un rythme cardiaque irrégulier, une crise cardiaque et d’autres événements cardiaques, des saignements gastro-intestinaux, et même le décès dans le mois qui suit l’évanouissement.

Les facteurs qui sont considérés dans l’outil sont :

  • la cause présumée de l’évanouissement selon l’évaluation finale des services d’urgence ;
  • si l’évanouissement a été déclenché alors que la personne était dans un endroit chaud ou bondé, debout pendant une longue période ou alors qu’elle subissait une peur, une émotion ou une douleur intense ;
  • les antécédents de maladie cardiaque ;
  • les mesures d’électrocardiogramme anormales ;
  • des niveaux élevés de troponine, une protéine qui indique des dommages au cœur si elle est détectée dans le sang ;
  • une lecture de pression sanguine anormale lors de la visite à l’urgence.

Le risque d’événement grave (infarctus, embolie pulmonaire, arythmie, etc.) dans les 30 jours qui suivent la syncope varie de 0,4 % pour le score le plus bas (-3) à 83,6 % pour le score le plus haut (+11).

Les syncopes comptent pour 1 à 3 % des consultations dans les urgences, indiquent les auteurs. « Si ce score est appliqué avec les mêmes performances dans d’autres hôpitaux, on pourrait rapidement laisser sortir des urgences jusqu’à 70 % des patients qui ont fait une syncope », disent-ils.

Psychomédia avec sources : CMAJ Press release, CMAJ, Le Figaro.
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Les complémentaires santé au comportement : comment ça marche ?

Faire du sport pour obtenir des cadeaux et une meilleure santé ?

Dès 2017, les assureurs et groupes mutualistes proposeront des assurances « au comportement ». Un peu comme en auto, avec le « pay how you drive », en santé, les assureurs moduleront les tarifs en fonction de l’hygiène de vie de leurs clients.

L’assurance au comportement : ça débarque bientôt en France

Alors que les États-Unis expérimentent d’ores et déjà le phénomène avec le bracelet FitBit, que Generali en Allemagne, au Royaume-Uni, en Australie et en Afrique du Sud propose le programme d’assurance santé Vitality, le phénomène assurance au comportement débarquera en France d’ici 2017 pour la santé.

Le principe consiste pour les assurés à suivre un programme de remise en forme ou tout simplement à prendre soin de lui (hygiène alimentaire, sport, etc.) en contrepartie de réductions tarifaires ou de bons de réduction auprès de partenaires. Un développement du secteur de l’assurance santé grâce à l’émergence des objets connectés.

Quelle offre en France à partir de janvier 2017 ?

Generali souhaite lancer le programme Vitality, uniquement via les mutuelles d’entreprises. Les sociétés ne seront pas contraintes de proposer ce programme à leurs salariés.

Les salariés qui le souhaiteront pourront activer l’option dans un objectif de prévention et de bien-être. En fonction des individus, des objectifs individuels sont mis en place contre la remise de bons points. En fonction du niveau de points, l’assuré recevra des bons de réductions valables auprès de partenaires, mais pas d’incidence tarifaire, précise l’assureur. Ce dernier se justifie par le fait que les salariés doivent tous bénéficier du même tarif de mutuelle santé au sein de l’entreprise.  

Generali affirme que cette demande émane souvent des entreprises qui souhaitent améliorer le bien-être de leurs salariés.

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Top 30 de la santé : le classement des complémentaires santé

Quelles sont les complémentaires santé qui dominent le marché ?

Que de changements en 2015 pour la santé ! Complémentaires santé responsables, réforme de l’aide à la complémentaire santé et bien sûr généralisation de la complémentaire santé à destination des salariés du secteur privé. Quels changements dans le  classement des leaders de la santé ? L’Argus de l’assurance apporte des réponses :

Quels acteurs des complémentaires santé dominaient le marché en 2015 ?

L’Argus de l’assurance a réalisé un classement des complémentaires santé qui ont cumulé le plus de cotisations en affaire directes en 2015.

Voici le top 5 :

#1 Unions Harmonie Mutuelles : 2 586,9 (+ 4,4 % par rapport à 2014)

#2 Groupe Istya : 2 412 (+1,5 %)

#3 AG2R La Mondiale : 1 949 (+22,3 %)

#4 Groupama : 1919,1 (+ 2,5 %)

#5 Axa France : 1 893 (- 0,9 %)

Classement 2015 versus 2014

Dans ce classement on retrouve les mêmes acteurs que l’année précédente, mais pas toujours dans le même ordre !

Les 2 premiers du classement restent les mêmes qu’en 2014 alors même que les deux groupes continuent leur procédure de regroupement. Les bouleversements dans le reste du classement relèvent ainsi de la croissance externe :

  • AG2R La Mondiale gagne ainsi 4 places grâce à l’intégration de Réunica explique l’Argus de l’assurance.
  • Macif, en 15e position réussit la plus grosse progression (+ 27,9 %) grâce à l’intégration de mutuelles analyse l’Argus de l’assurance.
  • Quant à Humanis, avec -13,1 % des cotisations, c’est la chute la plus sévère et perd ainsi3 places au classement par rapport à l’année précédente, en raison de la sortie des mutuelles MBA et Latécoère.
  • Grâce à la loi ANI, 2 compagnies d’assurance voient leur progression commerciale s’emballer : Allianz (+11,8 %) et Generali (+13,3 %). En revanche, effet généralisation de la complémentaire santé, Axa et Swiss Life voient leurs résultats à la baisse.

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Complémentaires santé senior : quelles garanties minimales ?

Les seniors mieux couverts par les mutuelles santé ?

A partir du 1er janvier 2017, suite de la généralisation de la complémentaire santé, avec cette fois des contrats santé adaptés aux seniors de plus de 65 ans. Les mutuelles santé étant chères pour cette catégorie de personnes, le gouvernement souhaite leur offrir un accès à ces contrats alliant prestations / cotisations.

Complémentaires santé labellisées : quels niveaux de garantie ?

Le principe consiste à proposer des garanties et primes minimales pour être labellisés et éligibles au crédit d’impôt. Il existe 3 niveaux de garanties pour les seniors de 65 à 69 ans :

  • 41 euros
  • 52 euros
  • 77 euros

Au-delà de 70 ans :

  • 75 euros
  • 87 euros
  • 132 euros

Chaque niveau de garantie devra intégrer la prise en charge intégrale du ticket modérateur et un forfait journalier hospitalier. En matière d’optique, dentaire, audioprothèse ou encore de dépassements d’honoraires, une complémentaire labellisée respectera les plafonds minimums de remboursement.

  • Soins de ville et pharmacie : Dépassements d’honoraires (CAS)             : 0 %, 70 % du tarif de la Sécu, 120 % TS
  • Soins de ville et pharmacie : Dépassements d’honoraires (non CAS) : 0 %, 50 % TS, 100 % TS
  • Hospitalisation : Frais de séjour : 100 %  du ticket modérateur pour les 3 niveaux
  • Hospitalisation : Chambre particulière en cas d’hospitalisation :             0, 0, 60 euros / jour limité
  • Hospitalisation : Forfait journalier hospitalier dans les établissements de santé             100 % sans limitation de durée
  • Optique, monture + 2 verres simples : 150, 200, 300 euros
  • Optique, monture + 1 verre simple et 1 verre complexe : 250,325, 425 euros
  • Optique, monture + 2 verres complexes : 350, 450, 550 euros
  • Soins dentaires prothétiques ou orthopédie dentofaciale : ticket modérateur (TM ) + 100 % du tarif de la Sécu, TM + 200 % TS, TM + 300 % TS
  • Audioprothèse : 450, 600, 750 euros / appareil

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