Archives par mot-clé : Santé

La généralisation de la complémentaire santé pour les seniors, rejetée

Labelliser quelques contrats de mutuelle selon leur rapport qualité prix pour les seniors

Après la généralisation de la complémentaire santé des salariés, le gouvernement entend étendre le dispositif aux plus de 65 ans. Cette tranche de la population doit souvent faire face à des mutuelles santé dont les tarifs augmentent en flèche au-delà de 60 ans. Les acteurs mutualistes sont descendus dans la rue.

Petites mutuelles et assurance santé : 100 000 emplois menacés

La décision du gouvernement de généraliser la complémentaire santé aux retraités est une bonne chose dans l’absolu puisque l’idée est de faciliter l’accès à une mutuelle pour cette tranche de la population qui doit souvent faire face à des tarifs onéreux.

Or, les courtiers en assurances, agents fédéraux ou représentants de petites mutuelles se lèvent vent debout contre ce dispositif qui menacerait environ 100 000 emplois, notamment auprès des petits acteurs de l’assurance. Comment ces emplois sont-ils menacés ? Le gouvernement souhaite labelliser quelques contrats de mutuelle selon leur rapport qualité prix. Une situation qui risque de mettre à mal les petits groupes d’assurance et de mutuelle au profit des grands groupes, capables de casser les prix.

La manifestation des Abeilles

Courtiers en assurances, agents fédéraux et représentants des petites mutuelles se sont ainsi réunis devant le Sénat le 27 octobre dernier, répondant à l’appel du collectif « sauvez les Abeilles », de l’association ADPM et de l’Agéa (fédération nationale des syndicats d’agents généraux d’assurance). Ces acteurs craignent de perdre le marché des seniors.

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Santé: Les régimes pauvres en graisses ne seraient pas plus efficaces que les autres

SANTE – A long terme, les régimes pauvres en glucides feraient perdre davantage de poids, selon une étude…

Quel est le meilleur moyen de perdre ses kilos superflus? Les régimes pauvres en graisses ne seraient en tout cas pas la meilleure solution, affirme une étude.

Il n’existe «aucune preuve pour recommander des régimes pauvres en graisses», souligne l’auteur principal, le Dr Deirdre Tobias, du Brigham and Women ‘s Hospital and Harvard Medical School de Boston, sur la base de cette analyse de 53 études scientifiques, englobant près de 70.000 adultes de plusieurs pays. «La science ne soutient pas les régimes à faible teneur en matières grasses comme la stratégie de perte de poids optimale à long terme», assure-t-il.

>> A lire aussi: Les régimes ne servent à rien

En fait, les régimes à faible teneur en glucides (c’est-à-dire les sucres et autres glucides complexes comme l’amidon des féculents), permettent une perte de poids supérieure, de l’ordre de 1 kilo, à celle obtenue (360 grammes) avec des régimes pauvres en graisses au bout d’un an, d’après ce travail publié vendredi dans la revue spécialisée The Lancet Diabetes & Endocrinology.

Le meilleur régime est de manger moins et faire plus d’exercices

Alors que le surpoids et l’obésité augmente dans le monde de façon alarmante, l’identification de stratégies efficaces pour la maîtrise du poids devient capital. Les graisses alimentaires ont longtemps été la cible des régimes pour diverses raisons, mais les conseils diététiques recommandant d’éliminer les graisses reposent sur «l’idée que la simple réduction de l’apport en graisses va naturellement conduire à une perte de poids», souligne le Dr Tobias, qui estime que son étude apporte de «solides arguments» pour contredire cette thèse.

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«Ce qui semble clair, c’est que l’adhésion au régime alimentaire sur le long (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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Bébés nés en été, adultes en meilleure santé ?

© sonya etchison - Fotolia.com

© sonya etchison – Fotolia.com

Les bébés nés en été seraient en meilleure santé que les autres une fois adultes. Telles sont les conclusions d’une étude britannique menée par des chercheurs de l’Université de Cambridge.

Avant cela, ils ont analysé les données de 450 000 personnes nées en Grande-Bretagne ! Première constatation : les enfants nés en juin, juillet ou août sont généralement plus grands que les autres une fois adultes.

Mais cette étude a aussi permis de démontrer que les filles nées en été démarrent plus tardivement leur puberté. Or, on sait déjà qu’une puberté précoce peut engendrer des problèmes de santé importants pour les femmes.

Les auteurs de l’étude ont également tenu à souligner que les mères accouchant en été avaient un apport en vitamines D plus important, une différence notable puisqu’elle aurait une influence directe sur la santé future de l’enfant à naître.

Les couples qui envisagent de procréer entreront donc dans quelques semaines dans la bonne période…


News Santé

Bientôt le carnet de santé numérique

A quoi sert le carnet de santé numérique ?

Tout se modernise, et bientôt, vous ne verrez plus le bon vieux carnet de santé bleu profond de votre enfance mais bien sa version numérique. C’est à l’occasion du 70e anniversaire de la Sécurité Sociale que la CPAM a annoncé le lancement du dossier médical partagé d’ici 2 ans.

A quoi sert le carnet de santé numérique ?

Du côté des professionnels de santé, médecins généralistes ou professionnels à l’hôpital, c’est l’occasion de partager sur cet espace personnel les données de santé relatives à un patient donné.

Du côté des patients, c’est un bon moyen de bénéficier de toute l’information de santé les concernant. D’ailleurs, les patients pourront accéder à leur compte personnel depuis une application Smartphone. Depuis cette application, ils pourront accéder à leurs informations de santé (sécurisées), accéder à la liste de leurs prescriptions médicales, à la liste des professionnels de santé qu’ils ont consultés, etc. 

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Mutuelle santé : un remboursement des étudiants en 7 jours ?

Affiche de la campagne militante de la LMDE en faveur des étudiants

La rentrée universitaire, c’est maintenant ! A leur inscription dans un établissement supérieur, les étudiants doivent obligatoirement s’affilier à la Sécurité Sociale étudiante, souvent deux par établissement (une nationale LMDE, l’autre régionale). La LMDE promet des améliorations…

LMDE : des remboursements de santé plus rapides

A partir du 1er octobre, les étudiants qui choisiront la LMDE en tant que sécurité sociale étudiante devraient bénéficier d’un meilleur service que celui proposé jusqu’alors.

En effet, un partenariat entre l’Assurance Maladie et la mutuelle étudiante permettra d’offrir une meilleure qualité de service, avec notamment un remboursement des soins plus rapide. La Sécurité sociale ne gèrerait que la partie obligatoire, mais de manière plus simple, plus rapide et plus efficace.

Dans le détail, l’Assurance Maladie propose un délai de remboursement inférieur à 7 jours avec présentation de la carte vitale chez le professionnel de santé. En plus, elle promet une relation client optimisée avec échange de courriel en moins de 48 heures, ainsi que la mise à disposition d’une ligne téléphonique, ainsi que la distribution rapide de carte européenne pour les étudiants qui voyagent.

Rien ne change pour les étudiants, l’inscription se faisant toujours lors de l’inscription. Ces derniers peuvent ensuite, s’ils le souhaitent, souscrire la partie facultative que représente la mutuelle étudiante pour complémenter les remboursements de santé.

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Hypnose médicale : quand est-elle efficace ? (rapport remis au ministère de la Santé, France)

Dans un rapport remis à la Direction Générale de la Santé, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont évalué l’efficacité de l’hypnose dans le traitement de plusieurs pathologies.

L’hypnose, précisent-ils, n’est ni un état de vigilance ni un état de sommeil, mais un état modifié de conscience. À l’échelle biologique, des techniques d’imagerie cérébrale ont mis en évidence des modifications de l’activité de certaines régions cérébrales lors de suggestions chez une personne sous hypnose.

Sont distingués trois types d’hypnose médicale : l’hypnoanalgésie qui est utilisée comme méthode antalgique, l’hypnosédation qui couple l’hypnose à des produits anesthésiques et enfin l’hypnothérapie à visée psychothérapeutique.

En plus de ces pratiques, le rapport s’intéresse à la technique de l’EMDR – « Eye Movement Desensitization and Reprocessing » ou « désensibilisation et retraitement par mouvements oculaires » – car elle fait intervenir certaines pratiques issues de l’hypnose. Elle a été développée pour traiter le syndrome de stress post-traumatique.

En France, le terme d’hypnothérapeute n’est pas protégé et les formations à l’hypnose sont dispensées autant par les universités (diplômes non reconnus par l’ordre des médecins) que par des associations ou des organismes privés.

L’étude menée par Bruno Falissard et ses collègues (1) a analysé 52 essais cliniques portant sur l’hypnose ainsi que 17 essais concernant l’usage de l’EMDR.

Les études, concluent-ils, confirment le potentiel de l’hypnose pour le traitement du syndrome du côlon irritable. Des séances régulières d’hypnothérapie limiteraient les symptômes digestifs.

Elles montrent aussi que, grâce à l’hypnose, l’usage de médicaments antalgiques ou sédatifs peut être réduit lors d’interventions chirurgicales sous anesthésie locale ou générale.

Les données actuelles, rapportent-ils, n’assurent pas l’avantage de l’hypnose par rapport aux traitements classiques du syndrome de stress post-traumatique, mais l’EMDR aurait fait ses preuves. Les thérapies cognitivo-comportementales centrées sur le traumatisme et l’EMDR seraient même les plus efficaces des psychothérapies dans ce cas.

Mais les données actuelles sont insuffisantes pour la majorité des autres applications de l’hypnose telles que la prise en charge de la douleur pendant l’accouchement, la prévention de la dépression post-partum, la schizophrénie, le sevrage tabagique et les soins dentaires chez l’adulte et l’enfant.

Aucun effet indésirable grave ne paraît attribuable à l’hypnose.

Le rapport recommande la « création d’un système de surveillance pour recueillir les données issues du terrain, mais surtout pour éviter le risque inhérent à tout recours alternatif aux thérapeutiques non conventionnelles : celui de retarder ou d’entraver l’accès à des soins conventionnels qui seraient par ailleurs nécessaires ».

(1) Juliette Gueguen, Caroline Barry et Christine Hassler

Psychomédia avec sources : Inserm (communiqué), Inserm (rapport).
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1 844 FIQ-AIDE pour dénoncer les situations inacceptables dans le réseau de la santé du Québec

La Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ) a lancé, le 24 août, une ligne téléphonique pour inviter la population à dénoncer les « situations inacceptables » dans le réseau de la santé (hôpitaux, CHSLD et autres établissements).

En pleine négociation avec le gouvernement, l’organisation syndicale veut démontrer que les compressions dans les établissements de la santé ont une incidence directe sur les services aux patients. La FIQ regroupe « plus de 65 000 professionnelles en soins infirmiers et cardiorespiratoires ».

« (…) chaque jour, il y a des situations dans le réseau de la santé qui mettent en péril la qualité et la sécurité des soins », dit Régine Laurent, présidente de la FIQ.

« Ça fait longtemps que nous le disons au ministre de la Santé et au Premier ministre qu’il y a des situations qui mettent en danger les patients et les professionnelles en soins. Mais, malheureusement, Gaétan Barrette et Philippe Couillard sont insensibles et vivent dans une tour d’ivoire. Ils ne se préoccupent que des structures et des salaires de leurs amis médecins. (…) », a poursuivi Régine Laurent.

« (…) Presque à toutes les fois où nos membres ont eu le courage de dénoncer des situations inacceptables, elles ont subi des représailles, parfois allant jusqu’au congédiement, de la part des gestionnaires des établissements. Tout cela doit changer et la population peut nous aider à le faire comprendre au gouvernement », conclut-elle.

La FIQ souligne qu’elle ne veut pas se substituer aux recours existants et que les gens doivent continuer d’interpeller les comités de plaintes au besoin, rapporte Le Devoir.

La ligne téléphonique 1 844 FIQ-AIDE, est sans frais et les personnes qui y rapporteront des situations pourront le faire en toute confidentialité. Elle sera opérationnelle 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et ce, pour les trois prochaines semaines, précise le communiqué de la FIQ.

Il est également possible de communiquer avec la FIQ par courriel à l’adresse [email protected] ou via le site Internet au www.fiq-aide.info.

Illustration : Capture d’écran, site de la FIQ.

Psychomédia avec source : FIQ (communiqué), Le Devoir.
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Les insectifuges à choisir et à éviter selon Santé Canada

Santé Canada a publié, le 31 juillet, un communiqué rappelant l’importance d’utiliser les insectifuges pour éviter les piqûres de moustiques, de mouches et de tiques de façon sécuritaire.

Les insectifuges aident à réduire les risques, tels que le virus du Nil occidental et la maladie de Lyme, rappelle Santé Canada, « mais il ne faut pas oublier que ce sont des pesticides qui doivent être utilisées en respectant le mode d’emploi. »

Conseils de sécurité :

  • Porter des vêtements qui couvrent le plus possible et utiliser un insectifuge approuvé par Santé Canada (portant un numéro d’homologation sur l’étiquette).

  • Choisir les produits qui répondent le mieux à vos besoins. Par exemple, pour un bref séjour à l’extérieur, choisir un produit contenant une plus faible concentration et répéter l’application uniquement au besoin. (Plus la concentration est élevée, plus la protection est longue.)

  • Avant d’utiliser un insectifuge, lire et respecter à la lettre les directives sur l’étiquette. De nombreux insectifuges sont assortis de restrictions quant à l’utilisation sur les enfants et au nombre maximal d’applications permises en une journée.

  • Appliquer le produit en petite quantité et seulement sur les régions exposées et sur les vêtements. Ne jamais vaporiser d’insectifuge directement sur le visage. Vaporiser le produit sur vos mains et l’appliquer sur le visage. Ne répéter l’application qu’au besoin et selon les instructions figurant sur l’étiquette.

  • Maintenir tous les contenants d’insectifuge hors de la portée des enfants et des animaux de compagnie et superviser l’application d’insectifuge sur les enfants. Éviter d’appliquer de l’insectifuge sur les mains d’un enfant pour éviter qu’il s’en mette dans les yeux ou la bouche.

Produits recommandés par Santé Canada

  • DEET : « Les produits homologués contenant du DEET sont sécuritaires, à condition de bien respecter le mode d’emploi », indique notamment Santé Canada sur son site. Plus la teneur en DEET est élevée, plus la protection sera longue. Bien que le DEET protège à la fois des piqûres de moustiques et de tiques, la protection contre les moustiques est plus longue. Si vous voulez vous protéger contre les piqûres de tiques, utilisez un produit spécialement conçu à cet effet. »

    • Adultes et enfants de plus de 12 ans : concentration maximale en DEET de 30 % ; chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 6 heures.

    • Enfants de 2 à 12 ans : concentration maximale de 10 % et jusqu’à 3 applications par jour. Chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 3 heures.

    • Enfants de 6 mois à 2 ans : concentration maximale de 10 % et une seule application par jour. Chaque application devrait offrir une protection efficace contre les moustiques pendant 3 heures.

    • Enfants de moins de 6 mois : pas d’insectifuge contenant du DEET sur un nourrisson de moins de 6 mois. Installez plutôt une moustiquaire autour du berceau, du parc ou de la poussette.

  • P-menthane-3,8-diol : jusqu’à 2 heures de protection contre les moustiques et jusqu’à 5 heures contre les mouches noires. Éviter de les utiliser sur un enfant de moins de 3 ans. On peut les appliquer 1 ou 2 fois par jour.

  • Huile de soya : les insectifuges inhibiteurs contenant 2 % d’huile de soya offrent 3 heures et demie de protection contre les moustiques et jusqu’à 8 heures contre les mouches noires. Aucune restriction concernant l’âge ou la fréquence d’utilisation ne s’applique à ces produits.

  • Citronnelle : protection contre les piqûres de moustiques de 30 minutes à 2 heures. À éviter sur les nourrissons et les jeunes enfants. Certains de ces produits comportent des limites quant au nombre d’applications par jour. Lire le mode d’emploi sur l’étiquette avant de les utiliser

  • Produits à éviter

    « Les produits suivants sont déconseillés, soit parce qu’ils sont peu efficaces ou que leur effet est de trop courte durée, soit parce qu’ils peuvent être nocifs » :

    • les dispositifs électroniques ou à ultrasons ;
    • les dispositifs d’électrocution de type « bug zapper » ;
    • les bracelets, colliers et bandes aux chevilles imprégnés d’insectifuge ;
    • les pièges qui attirent les moustiques par l’odeur ;
    • le pélargonium odorant ou géranium citronnelle ;
    • la vitamine B1 prise par voie orale ;
    • les produits combinant hydratant pour la peau et insectifuge.

    Psychomédia avec sources : Santé Canada, Santé Canada (Insectifuges).
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    Des ongles en pleine santé avec Dr. Rescue


    Que les nailistas se rassurent face à leurs ongles sur-sollicités par les top coats et les changements de vernis, Gemey-Maybelline a imaginé pour elles la gamme Dr. Rescue, une gamme courte de cinq soins pour les ongles conçue pour une routine simple, ludique et à prix très doux.

    Les adeptes de vernis à effets, trop souvent difficiles à enlever, adopteront désormais la Base Peel Off qui s’applique comme une base classique et qui dépose un film souple sur l’ongle qu’il suffit de décoller pour retirer le vernis en un seul geste.

    Le Top-Coat Effet Gel vient quant à lui optimiser la brillance et le galbe des ongles grâce à sa formule innovante qui associe dérivés de cellulose et polymères pour créer une matière transparente et ultra-brilla…
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