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Hypertension artérielle : un lourd bilan, selon l’Organisation mondiale de la santé

L’hypertension artérielle contribue chaque année à la survenue de près de 9,4 millions de décès par maladie cardiovasculaire, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé à l’occasion de la Journée mondiale de la Santé célébrée ce dimanche 7 avril 2013.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle à redoubler d’efforts pour prévenir et combattre l’hypertension artérielle. Plus d’un adulte sur trois serait hypertendu à partir de l’âge de 25 ans, selon les chiffres de l’OMS.

Pour prévenir et combattre l’hypertension artérielle, il faut d’abord la détecter. La Journée mondiale de la Santé de cette 2013 est l’occasion pour l’Organisation mondiale de la santé d’exhortertous les adultes dans le monde à faire mesurer leur tension artérielle. Une personne qui connaît sa tension artérielle peut agir pour la maîtriser.

Le Dr Margaretr Chan, Directeur général de l’OMS, veut « que les gens comprennent qu’ils doivent connaître leur tension artérielle, prendre le problème de l’hypertension au sérieux et agir en conséquence ».

70% de décès causés par l’hypertension artérielle au CHU de Brazzaville

Le ministre congolais de la Santé, François Ibovy, a annoncé dimanche à Brazzaville que 70% des décès survenus au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville (CHU) seraient causés par l’hypertension artérielle.

HTAConscient de la menace que constitue l’hypertension artérielle, le gouvernement de la République a profité de la célébration de la Journée mondiale de la santé, sur le thème de la tension artérielle, pour lancer une campagne de dépistage de cette maladie à travers toute l’étendue du territoire congolais.

Cette campagne qui se poursuivra jusqu’à la fin de ce mois d’avril 2013 permettra de sensibiliser les populations sur les risques de l’hypertension artérielle, ses manifestations et ses conséquences, et les moyens de l’éviter.

En Algérie, les praticiens tirent la sonnette d’alarme

L’hypertension artérielle (HTA) est devenue la première maladie en Algérie, bien avant le diabète et le cancer. Le professeur Ouchtati Mohamed, directeur du Laboratoire de qualité des soins au CHU de Constantine et membre de la Fondation internationale HTA et Diabète, a déclaré au cours d’une émission spécialisée de la radio régionale que l’hypertension artérielle touche environ 35 % de la population algérienne, avec une prévalence de 50 % chez les sujets âgés de 45 à 75 ans.

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Les risques d’ESB sont faibles aux USA, selon l’Organisation mondiale de la santé animale

L’organisme scientifique chargé des normes internationales en matière de santé animale a recommandé que les États-Unis soient considérés comme un pays à faible risque d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), a annoncé le secrétaire à l’Agriculture, Tom Vilsack, le 20 février.

La recommandation de la commission scientifique pour l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) que le niveau de risque américain passe de « contrôlé » à « négligeable » confirme que les éleveurs et les transformateurs bovins américains, ainsi que le gouvernement fédéral et les gouvernements étatiques maintiennent des normes solidaires afin de protéger la santé humaine et animale contre l’ESB, a déclaré M. Vilsack. L’ESB est également connue sous le nom de la maladie de la vache folle.

Négligeable est la catégorie la plus basse de risques d’ESB et devrait contribuer à l’augmentation des exportations de viande bovine américaine, selon le département de l’Agriculture des États-Unis (USDA).

L’OIE utilise les dernières recherches scientifiques et les connaissances actuelles en matière d’ESB. L’organisation détermine le niveau de risques d’un pays après avoir procédé à un examen complet des actions que celui-ci a entreprises pour gérer les risques d’une maladie. Ces actions comprennent l’interdiction des farines animales dans l’alimentation des ruminants, le contrôle des importations d’animaux et de produits animaux provenant de pays à risque pour contracter la maladie, ainsi que la surveillance, a déclaré l’USDA.

ChienAux États-Unis, « la surveillance et les mesures préventives contre l’ESB sont rigoureuses », a affirmé M. Vilsack.

La recommandation de l’OIE est la dernière influence positive en matière d’exportations de viande bovine américaine. En janvier, le Japon a levé son interdiction sur la viande bovine provenant de vaches âgées de moins de 30 mois, qui avait été imposée en décembre 2003, suite à la détection d’un animal infecté par l’ESB aux États-Unis. Le Mexique a relâché une partie de ses restrictions sur la viande bovine américaine, a dit M. Vilsack lors du Forum annuel sur les perspectives agricoles de l’USDA, le 21 février.

Il a ajouté que les États-Unis « continuent à faire pression pour normaliser le commerce de la viande bovine avec plusieurs pays, de manière scientifique et conformant aux normes internationales ».

« La viande bovine et les produits bovins américains sont de la plus haute qualité, sains et produits selon les normes les plus élevées au monde », a-t-il dit.

L’OIE compte 178 membres, y compris les États-Unis, et est associée à l’Organisation mondiale du commerce.

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«Think Tanks Politique de Santé»

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Les think tanks du Maghreb ont une place négligeable parmi leurs homologues en Afrique, dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Middle East and North Africa, MENA) et dans le monde. Sur la quarantaine d’institutions maghrébines recensées dans le rapport 2012 de «Go To Think Tanks and Policy Advice» de l’Université de Pennsylvanie, seuls cinq figurent dans des classements régionaux, sans grande portée. Les autres, en particulier les neuf think tanks de l’Algérie, sont quasiment hors contexte.

La sixième édition du rapport «Go To Think Tanks and Policy Advice» (2012) de l’Université de Pennsylvanie, recense 6603 think tank dans 182 pays, classés en 38 catégories. Sur ces 6603 think tanks, 1647 ont été nominés, dont 171 figurent dans le top mondial, toutes catégories confondues. Le but de ce rapport est de «comprendre le rôle des think tanks dans les gouvernements et la société civile à l’échelle mondiale». Selon le directeur du programme «think tanks et sociétés civiles», de l’Université de Pennsylvanie, James McGann, la démarche de l’équipe chargée du rapport, est d’établir un classement des organismes étudiés.

«Notre processus de classement, s’appuie sur une définition commune de la recherche sur les politiques publiques, l’analyse, l’engagement des organisations, un ensemble détaillé de critères de sélection, et un processus de nomination ouvert et transparent. (…) Nous croyons que ce processus est d’une utilité considérable pour les think tanks, les décideurs, les donateurs et le grand public.» Les conclusions de l’étude sont fondées sur une «enquête annuelle» menée par quelque 1950 «chercheurs, décideurs, journalistes et experts mondiaux, régionaux et sous régionaux». Les quelques 6603 think tanks «ont été contactés» et «encouragés» à participer au «processus de candidature».

La protéine P 53 : une nouvelle cible thérapeutique pour lutter contre le cancer

OUTILS POUR LES DÉCIDEURS

Qu’est-ce qu’un think tank ? Selon la définition de l’étude, il s’agit de «groupes» ou des «organismes» de réflexion, d’analyse et de recherche, qui peuvent êtres «indépendants» ou «liés à des institutions», dont l’objet est de générer des «conseils» sur les «questions nationales et internationales», et permettre aux «décideurs» et au «public» de «prendre des décisions éclairées sur des questions de politique publique». «Ces institutions agissent souvent comme un pont entre les milieux universitaires et politiques, ainsi qu’entre les États et la société civile, au service de l’intérêt public en tant que voix indépendantes qui traduisent la recherche appliquée et fondamentale dans une langue et une forme compréhensible, fiable et accessible pour les décideurs et le public», précise encore le document.

FAIBLE PLACE MAGHRÉBINE

La quarantaine de think tanks maghrébins, est répartie comme suit : 8 pour l’Algérie, 1 pour la Libye, 11 pour le Maroc, 2 pour la Mauritanie, et 18 pour la Tunisie. Les huit think tanks algériens sont (par ordre alphabétique) : l’Association Algérienne pour la Planification Familiale (AAPF – ONG) ; le Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le Développement (CENEAP) ; le Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), le Centre de recherche sur l’Information Scientifique et Technique (CERIST) ; l’Institut National des études de stratégie globale (INESG) ; l’Agence nationale pour le développement de la recherche universitaire (ANDRU) ; l’Agence Nationale pour le Développement de la Recherche en Santé (ANDRS) ; et le Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement (CREAD). Aucune de ces huit institutions ne figure les classements des 38 catégories mondiales ou régionales du rapport «Go To Think Tanks Report and Policy Advice». L’honneur maghrébin est «sauvé» grâce à la présence de cinq think tanks dont quatre marocains et un tunisien. Dans le top 45 think tanks de la région MENA, le Maroc est ainsi représenté par Centre des Etudes et Recherches en Sciences Sociales (CERSS) et l’Amadeus Center de Rabat, accompagnés par l’Institut Tunisien des Etudes Stratégiques (ITES). Le CERSS marocain apparaît également dans la catégorie «Think Tanks Politique de Santé». Dans la catégorie «Meilleurs nouveaux Think Tanks», figurent également le Casablanca Institute (USA-Maroc), sur l’engagement religieux, et le Centre Africain des Etudes Asiatiques (CAEA).

L’AFRIQUE DU SUD FAIT BEAUCOUP MIEUX

En Afrique, c’est le pays de Nelson Mandela qui domine avec pas moins de 86 think tanks (soit le double des pays du Maghreb), sur un total de 554 organismes recensés dans l’ensemble du continent. Le Kenya vient en 2e position avec 53 think tanks, suivi du Nigeria (46), et du Ghana (36). Des think tanks de ces quatre pays africains occupent pratiquement l’ensemble du top 50 de l’Afrique, et plusieurs figurent dans le top 100 (hors USA). Ils sont également très présents dans les autres classements par catégorie comme les «Affaires de sécurité internationale», le «développement international», «l’environnement», les «politiques de santé», les «politiques économiques nationales», les «sciences et technologies» et la «transparence et la gouvernance». Pour l’Egypte, sur les 34 think tanks que compte ce pays, quatre ou cinq apparaissent régulièrement dans les classements des différentes catégories du rapport. C’est le cas particulièrement du Centre Al-Ahram pour les études politiques et stratégiques (ACPSS – qui figure aussi dans le top 100 hors USA), et le Centre Egyptien pour les études économiques (ECES).

A noter que le numéro 1 mondial des think tanks pour l’édition 2012 du rapport est «Brookings Institution» des USA qui compte 1823 groupes de réflexion.

Abdelkader Zahar

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Sexe : Ses bienfaits pour la santé

Faire l’amour ne fait pas maigrir, mais le sexe a d’autres vertus pour la santé. Le sexe apaise, augmente l’espérance de vie, rend plus intelligent et prévient certains cancers. Faire l’amour 2 à 3 fois par semaine augmenterait l’espérance de vie d’environ 10ans. Chez les femmes, une activité sexuelle régulière a un rôle protecteur sur le sein. En effet, la stimulation des tétons et l’orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique sur le sein. Le sexe nous procure aussi plaisir et jouissance extrême.

– Faire l’amour est bon pour la santé

En plus des sensations intenses qu’il procure, le sexe est bénéfiques pour la santé humaine. Faire l’amour augmente l’espérance de vie, prévient les coups de blues et l’apparition de problèmes cardiaques.

Des chercheurs américains viennent de faire tomber le mythe qui dit qu’un rapport sexuel consomme 300 calories, soit autant de calories qu’on brûle en pratiquant un sport d’endurance. L’étude publiée par le New Journal of Medicine montre que le sexe ne permettrait de brûler qu’une vingtaine de calories. Par exemple, un homme de 70 kilos âgé d’une trentaine d’années peut espérer dépenser 21 calories pour un rapport sexuel de six minutes.

En revanche, des études concernant les effets sur la santé des rapports sexuels soulignent les bénéfices de cette activité sur la durée de vie et la prévention de certaines maladies.

– Le sexe augmente l’espérance de vie

Une activité sexuelle régulière ferait baisser le taux de mortalité chez l’homme. Faire l’amour 2 à 3 fois par semaine augmenterait l’espérance de vie d’environ 10ans, selon des études suédoises et américaines récentes.

Sexe bon pour la santé

Act Psychiatr Scand révèle que le taux de mortalité est plus élevé que la moyenne chez les hommes de 70 ans qui ont cessé depuis décennies leur activité sexuelle. Mais les bénéfices de la sexualité ne concernent pas que les seniors.

Une étude sur la proportionnalité entre le nombre de rapports sexuels et la baisse du taux de mortalité parue dans le British Medical Journal a démontré que le taux de mortalité des hommes avec au moins deux relations sexuelles par semaines est deux fois plus bas que le taux de mortalité de ceux qui en ont moins d’une par mois.

– Le sexe protège le cœur

Les vertus thérapeutiques de l’activité sexuelle concernent aussi le cœur. De nombreuses études ont montré une baisse des risques cardiaques liés à la fréquence des relations sexuelles pour les deux sexes.

Sexe et ménage

Une publication de la revue Epidemiol Community Health souligne que la baisse des risques cardiaques associée à la fréquence des relations sexuelles est en partie liée à l’effort physique des deux conjoints qui permet d’éliminer les toxines, d’activer la circulation veineuse et de muscler le cœur. C’est sa sollicitation qui va directement influer sur sa santé.

La fréquence cardiaque passe de 75 pulsations par minute à plus de 100 pulsations par minute pendant la période d’excitation, voire 180 pulsations au moment de l’orgasme. Faire l’amour est un excellent exercice pour le muscle cardiaque qui a besoin de travailler pour bien se porter.

– Le sexe prévient certains cancers

Une étude américaine portant sur 2 573 Sœurs catholiques âgées de 50 à 84 ans a montré une augmentation chez les nonnes du taux de mortalité lié aux cancers du sein et de l’appareil génital. L’absence de relations sexuelles et de grossesses pourrait expliquer ces chiffres.

La Journée mondiale contre le cancer organisée par Union Internationale Contre le Cancer (UICC) aura lieu le 4 février 2013. A cette occasion, 248 campagnes seront organisées dans une soixantaine de pays à travers le monde.

Le Breast Cancer Res Treat souligne que les préliminaires sont aussi bons pour la santé. Par exemple, la stimulation des tétons chez la femme produit l’ocytocine, une hormone qui prévient l’apparition du cancer du sein.

Les chercheurs ont découvert que cette hormone est libérée en grande quantité lors de l’orgasme et que l’activité sexuelle joue un rôle protecteur contre le cancer du sein.

Faire l’amour pourrait aussi prévenir l’apparition du cancer de la prostate, premier cancer masculin touche 40 000 hommes par an en France. La baisse du risque de cancer de la prostate serait liée à une augmentation de la fréquence des orgasmes, selon une étude japonaise.

Une autre étude parue dans le Journal of the American Medical Association montre que l’acte sexuel répété au moins 3 fois par semaine réduirait de 15 % le risque de développer un cancer de la prostate.

– Le sexe, un antidépresseur naturel

Faire l’amour serait plus efficace que tous les anti-stress disponibles sur le marché, selon une étude menée par le psychologue américain Stuart Brody et publiée par le Biological Psychology.

Maladies psychiatriques

D’après ses travaux, les personnes ayant réalisé un rapport sexuel avec pénétration étaient moins stressées et voyaient leur tension artérielle revenir à la normale plus rapidement que celles qui avaient préféré l’abstinence ou qui avaient eu d’autres types d’activités sexuelles (fellation, masturbation, etc).

« Ces effets ne sont pas uniquement liés à l’apaisement de court terme suivant l’orgasme, mais perdurent pendant au moins une semaine », a déclaré le Dr Brody qui soutient que les bénéfices du sexe sont distincts des traits psychologiques dese individu.

– Le sexe est bon pour le moral

Le sexe est un tranquillisant, un antidépresseur ou un somnifère naturel. Le relâchement physique et psychique observé dans les instants suivant l’orgasme serait dû à la libération d’endorphines durant l’acte sexuel. Des hormones qui ont une influence la gestion du stress et l’humeur.

La phase d’endormissement provoqué par l’orgasme est plus rapide chez l’homme que chez la femme.

La santé de l’ex-président George H. Bush s’améliore

LA SANTÉ DE GEORGE H. BUSH S'AMÉLIOREAUSTIN, Texas (Reuters) – L'ancien président américain George Herbert Bush, 88 ans, reste hospitalisé dans l'unité de soins intensifs de l'Hôpital méthodiste de Houston où son état de santé "continue de s'améliorer", a annoncé vendredi le porte-parole de la famille, Jim McGrath. "Le président est éveillé et a, comme toujours, un excellent moral. Il chante notamment avec ses médecins et infirmières", a-t-il précisé. L'ancien président américain, qui est âgé de 88 ans, a été admis à l'unité de soins intensifs dimanche où il demeure en état d'observation. …



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