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Pour sauver les abeilles, des chercheurs développent un « vaccin »

Pour sauver les abeilles, des chercheurs développent un « vaccin »

Le 17 décembre 2018.

Un vaccin va-t-il sauver les abeilles ? C’est l’ambition d’une équipe de chercheurs finlandais qui vient de mettre au point un traitement pour enrayer la chute vertigineuse de la population d’abeilles dans le monde.

Un vaccin contre le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles

Certains experts ont tiré le signal d’alarme depuis des années déjà, mais il semble que le monde n’en prenne conscience que depuis très peu de temps. Les abeilles sont en danger. Menacées par l’agriculture intensive et les pesticides, elles disparaissent à une vitesse sans précédent. Or elles sont essentielles à la survie de l’humanité puisque c’est par leur travail de pollinisation que 90% de nos cultures se développent. Mais grâce à une récente découverte finlandaise, les abeilles pourraient bien avoir trouvé une chance de survie.

Ces chercheurs de l’université d’Helsinki se sont intéressés au Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles, ce mal incontrôlable qui décime des abeilles par millions sans qu’on en ait vraiment défini la cause. Grâce à ce qu’ils appellent un vaccin, des colonies entières d’abeilles pourraient être sauvées.

Un traitement disponible sur le marché dans cinq ans

Bien entendu, ce « vaccin » ne fonctionnerait pas tel qu’on les connaît. Mais il s’agirait d’administrer un traitement, via un morceau de sucre, à la reine d’une colonie, qui pourrait ensuite le transmettre à sa progéniture grâce à une protéine qui permet de diffuser un signal d’une génération à l’autre.

Reste désormais à commercialiser ce vaccin afin que celui-ci fasse ses preuves le plus rapidement possible. Les chercheurs sont optimistes, mais de nombreuses barrières administratives doivent d’abord être franchies. La mise sur le marché pourrait prendre environ cinq ans, selon les estimations des scientifiques.

Gaëlle Latour

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Un chirurgien français permet de sauver la vie d'un bébé condamné

Un chirurgien français permet de sauver la vie d'un bébé condamné

Le 14 septembre 2018

Un chirurgien du CHU de Toulouse a réalisé une prouesse médicale : il a opéré un bébé de 13 mois, condamné dès la naissance par de multiples malformations cardiaques. Alex est rentré chez lui, désormais hors de danger.

Une opération risquée, inédite mais réussie

Il s’agit d’une prouesse médicale. Un chrirugien toulousain a opération un bébé condamné par une maladie cardiaque rare. Le Dr Fabio Cuttone qui a opéré l’enfant témoigne :  « C’était une opération inédite et très risquée. Mais nous avons privilégié le bénéfice patient à long terme et redonner à l’enfant un cœur sans anomalie », a-t-il déclaré, au micro de France Bleu Occitanie

Sans cette opération ce bébé était condamné à mourir dans les prochains mois. Alex, 13 mois est désormais hors de danger. Il a bien supporté les deux opérations chrirugicales et, après deux semaines d’hospitalisation seulement, il est rentré chez lui avec un cœur totalement sain

De nombreuses malformations cardiaques le condamnaient

Pour mieux comprendre ce dont souffrait le bébé, il faut préciser qu’à sa naissance, en août 2017, cœur d’Alex présentait de nombreuses malformations qui le condamnaient à une mort certaine. Un cas très rare puisque le petit garçon est le troisième cas recensé.

Et pour le sauver, le médecin a réalisé deux opérations : la première quand Alex était seulement âgé de trois jours, sur l’artère pulmonaire gauche, la seconde, en avril 2018,

pour une rotation conotroncale. Il s’agit d’une reconstruction que très peu de centres hospitaliers en France exécutent : un geste qui permet de redonner un cœur normal au patient. C’est le cas pour Alex.

Marie-Eve Wilson-Jamin

Notre fiche complète : Coeur

 

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Une seringue pour sauver des vies en 20 secondes

Le 18 décembre 2015. La seringue Xstat, utilisée sur les champs de bataille pour stopper le sang des blessures par balles vient d’être autorisée en vente libre aux états-unis pour sauver la vie des civils. Qu’en pensez-vous ?

On l’appelle plus communément, la seringue qui stoppe les hémorragies ! Et à en croire les médias américains, elle peut même sauver la vie d’une personne en 20 secondes grâce à l’injection de 92 petites éponges cellulosiques par seringue, qui peuvent absorber jusqu’à un demi-litre de sang.

Ces petites éponges minuscules gonflent seules au contact du sang permettant de stopper l’hémorragie ultra-rapidement.

A savoir, qu’une même personne blessée peut recevoir jusqu’à 3 seringues maximum.

Selon l’Institut Militaire de Recherche Chirurgicale aux États-Unis, on recense 30 à 40% de civils morts par blessures par balles, à cause des hémorragies importantes. La mise sur le marché de la seringue Xstat devrait alors nettement faire baisser ce taux !

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Faut-il saigner un malade et le réfrigérer à 10°C pour tenter de le sauver?

C’est un essai médical sans précédent qui vient de commencer dans le service de réanimation chirurgicale du Presbyterian Hospital de Pittsburgh. Avec l’aval de la Food and Drug Administration (FDA), il concernera, dans un premier temps, dix personnes ayant perdu de grandes quantité de sang après une blessure traumatique, dont on va faire plonger radicalement la température corporelle en remplaçant le sang par une solution saline.

Cet essai est mené sous la direction du Dr Samuel Tisherman, déjà connu pour des travaux spectaculaires dans le domaine de l’hypothermie thérapeutique. Il s’agit là d’une technique mise au point dans les années 1950 mais qui n’a commencé à susciter un véritable intérêt que depuis une quinzaine d’années: dans sa version «modérée», son principe est de faire baisser la température corporelle du malade (entre 32 à 34°C pendant 12 à 24 heures) de manière à obtenir une baisse du métabolisme cérébral et une protection de l’intégrité du cerveau.

Son emploi est devenu systématique dans de nombreuses situations. Plusieurs techniques de refroidissement sont à la disposition des réanimateurs, mais la plus utilisée demeure le refroidissement externe, plus ou moins associé à un remplissage vasculaire avec des solutés refroidis.

Méthode testée sur des cochons

C’est une variante nettement plus agressive qui, pour la première fois chez l’homme, va être expérimentée à Pittsburg. Les responsables de l’essai ont exposé leur protocole expérimental au magazine New Scientist: ils vont ralentir par le froid le métabolisme cellulaire de patients dans un état critique suite à une blessure par balle ou par arme blanche en remplaçant intégralement leur sang par une solution saline.

Au cours de cet essai, nommé «Emergency Preservation and Resuscitation for Cardiac Arrest from Trauma (EPR-CAT)», dix patients admis aux urgences verront donc leur température corporelle abaissée à 10°C, réduisant leurs besoins en oxygène et donnant ainsi un peu plus de temps aux urgentistes pour traiter leurs lésions avant mort cérébrale.

«Les artères coronaires de chaque patient seront clampées, et un cathéter sera posé dans l’aorte pour injecter une solution saline. Le seuil de 10°C de température corporelle devrait alors être atteint en environ 15 minutes. À ce stade, le patient sera cliniquement mort, précise Le Quotidien du Médecin. Les chirurgiens disposeront ensuite de deux heures pour soigner la blessure, puis le corps du patient sera reperfusé avec du sang chauffé. Les bilans cliniques de ces dix patients seront ensuite comparés à ceux de dix autres, admis dans les mêmes conditions mais qui n’auront pas bénéficié de la technique EPR. Cette dernière sera adaptée en fonction des premiers résultats obtenus, puis des nouvelles séries de dix patients seront recrutées jusqu’à ce que les résultats à analyser soient suffisants.»

Le Dr Tisherman est un des pères de la méthode EPR, qu’il a déjà expérimentée chez l’animal avec le Dr Peter Rhee. Leurs premiers travaux, publiés dans la revue Surgery en 2002, avaient été menés sur des porcs du Yorkshire anesthésiés qui avaient été saignés pour simuler une forte perte de sang consécutive à une blessure. Leur sang avait ensuite été remplacé par une solution saline froide ou une solution de potassium.

Une fois leurs blessures refermées, les animaux étaient progressivement réchauffés et leur système sanguin de nouveau irrigué normalement. Au total, les animaux avaient passé 60 minutes en hypothermie. Six semaines plus tard, ceux qui avaient survécus ne présentaient pas de troubles neurologiques et leurs fonctions cognitives semblaient intactes.

Pas de consentement écrit

A Pittsburgh, les dix premiers patients seront sélectionnés selon des critères bien précis: ils devront avoir perdu environ la moitié de leur volume sanguin au moment de leur arrivée aux urgences et être victimes d’une blessure thoracique. Selon les coordinateurs de l’étude, les urgences de l’hôpital reçoivent ce genre de patient environ une fois par mois et leurs chances de survie sont de moins de 7%.

La FDA a considéré que, dans de tels cas, l’absence d’alternative thérapeutique pouvait dispenser les expérimentateurs de consentements écrits. Un dispositif a été mis en place pour que des personnes puissent préalablement s’opposer à être incluses, le cas échéant, dans cet essai.

Cette approche thérapeutique est à très haut risque compte tenu de la température à laquelle le corps se situera et dans la mesure où les tissus (notamment cérébraux) ne seront plus irrigués par du sang. Ceci pourrait d’ailleurs conduire à une redéfinition des critères de la mort, aujourd’hui basés sur l’absence de circulation sanguine et d’activité électrique du cerveau.

La vie sera ici, dans le meilleur des cas, comme «suspendue». Une formule que ne retient pas le Dr Tisherman: il estime que cela pourrait conférer une fâcheuse dimension «science-fiction» à son expérimentation médicale, expérimentation qui n’a rien de commun avec la cryogénisation et les fantasmes de retour à la vie après la mort.

Jean-Yves Nau

Charlene Howard perd 45 kilos pour sauver son petit garçon

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Une jeune maman était prête à tout pour sauver son enfant en attente d’une greffe du foie. Pour ce faire, elle n’a pas hésité une seconde à perdre 45 kilos pour pouvoir être opérée et donner à son petit garçon une partie de son foie. Malgré sa compatibilité, elle ne pouvait en effet être opérée en raison de sa surcharge pondérale et de son diabète, raison pour laquelle elle a commencé un régime draconien. Belle histoire d’amour

Originaire du Royaume-Uni, Charlene Howard ne pouvait rester sans rien faire face à son petit garçon Eliott, qui souffrait de trois maladies différentes et devait être greffé du foie. Elle s’est donc d’emblée portée volontaire pour faire à son enfant une partie de son propre foie, mais sa surcharge pondérale ne permettait pas d’envisager l’intervention.

La vie du petit Eliott a été très tôt difficile. Alors qu’il est tout petit, les médecins diagnostiquent une tumeur au cerveau mais également une fibrose kystique, une maladie génétique qui obstrue les poumons et le système digestif par du mucus. Un traitement lourd (physiothérapie, chimiothérapie) est mis en place. Suite à ce traitement, la famille pensait lever le pied mais à l’âge de 5 ans, le petit Eliott souffre d’une maladie au foie.

Les médecins ayant annoncé que la seule solution est une greffe du foie, et que le donneur idéal est généralement le parent, la jeune mère se porte volontaire. Malheureusement, les spécialistes lui annoncent qu’en raison de son obésité morbide et de son diabète de type 1, elle ne peut être donneur. En juin 2009, la jeune femme, très motivée décide de perdre du poids? se met à faire du sport et modifie considérablement ses habitudes alimentaires. Elle remplace son alimentation grasse à toutes heures de la journée par un régime composé d’un porridge pour le petit déjeuner, une salade pour le déjeuner et un plat comme un risotto le soir. Elle se contente de manger un fruit ou boit un thé aux plantes entre les repas (lorsqu’elle a faim).

Charlène, à force de ténacité et d’obstination, finit par passer de 105 à 60 kilos. Prête pour l’intervention permettant de sauver son enfant, le petit Elliot n’a finalement plus besoin de greffe. La jeune mère espère maintenant maintenir son poids et surtout espère qu’un remède contre la fibrose du petit garçon sera trouvé. Un bel exemple que le témoignage de cette maman, qui était prête à tout pour sauver son enfant.

Charlene Haward perd 45 kg pour sauver son fils

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« Sauver des vies à la naissance »

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Le partenariat international Saving Lives at Birth a récemment annoncé les noms de 22 candidats qui recevront des subventions destinées à financer des moyens novateurs pour sauver la vie des mères et des nouveau-nés dans les pays en développement.

Au départ, plus de 400 candidatures, émanant des quatre coins du monde, ont été recensées. Sur ce nombre, 53 finalistes ont été invités à présenter leurs projets à Washington. Et 22 d’entre eux, plébiscités par le public qui a pu voter en ligne pour le projet de son choix, négocieront avec les investisseurs la somme qui leur sera accordée pour qu’ils mettent leurs projets à exécution.

Leurs noms ont été annoncés le 31 juillet lors de la clôture d’un forum de trois jours au siège de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), à Washington, où des innovateurs issus d’organismes à but non lucratif, d’universités et d’entreprises privées du monde entier, ont présenté leurs idées à des spécialistes du développement et à des investisseurs potentiels. Il s’agissait de la troisième série d’un concours annuel qui a pour titre : Sauver des vies à la naissance : un grand défi pour le développement (Saving Lives at Birth : A Grand Challenge for Development).

Selon le site Saving Lives at Birth, chaque année, 150.000 mères meurent en couches, 1,2 million de bébés sont mort-nés et 1,6 million de nouveau-nés décèdent dans les 48 heures suivant l’accouchement. Quand les femmes enceintes ont un accès limité à l’eau potable, aux services de transport, aux soins de santé et aux fournitures médicales ou encore à l’éducation en matière santé, leurs chances de survie – et celles de leur bébé – se trouvent grandement compromises.

Le partenariat Saving Lives at Birth regroupe l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), le gouvernement de la Norvège, la fondation Bill & Melinda Gates, le gouvernement du Canada et le département du Royaume-Uni pour le développement international.

Les 22 groupes dont les idées novatrices ont été retenues sont les suivants :

• L’ONG Africare/Sénégal, à Dakar, pour l’intégration des services communautaires par le biais de la mise en place de la téléphonie mobile et de la télémédecine afin d’améliorer l’accès aux soins prénatals.

• BILIMETRIX SRL, de Trieste, en Italie, pour un projet de diffusion d’un test rapide et peu coûteux de dépistage de l’hyperbilirubinémie, une forme souvent mortelle de lésions cérébrales provoquées par une jaunisse grave.

• Bioceptive Inc., de la Nouvelle-Orléans, pour son applicateur bon marché et réutilisable de dispositif intra-utérin, lequel simplifie l’usage de cette méthode de contraception et la rend plus sûre.

• Convergent Engineering Inc., de Newberry, en Floride, pour son système bon marché, facile à utiliser et portatif de détection précoce des signes de pré-éclampsie.

• Dimagi Inc. de Cambridge, au Massachusetts, pour un système de distribution « open source » qui intègre la technologie mobile et de localisation GPS afin d’accélérer la fourniture des soins médicaux dans les zones difficiles d’accès.

• Duke University, à Durham, en Caroline du Nord, pour la poche Pratt, une petite pochette qui stocke à domicile les médicaments antirétroviraux contre le sida pendant un an. Cette pochette est destinée à être utilisée dans le cadre de la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant.

• Emory University, à Atlanta, pour un patch micro-aiguille qui facilite l’administration des vaccins contre la grippe et le tétanos aux femmes enceintes et aux enfants.

• Le Centre de recherche épidémiologique en santé sexuelle et reproductive à Guatemala, pour une approche intégrée capable de réduire la mortalité maternelle et périnatale par le biais de la formation et de l’amélioration de la gestion des soins de santé.

• Harvard College, de Boston, pour un moniteur de poche des signes vitaux permettant un diagnostic rapide chez les nouveau-nés fragiles et malades.

• JustMilk, de l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni, pour un moyen peu coûteux d’administrer des médicaments et des nutriments lors de l’allaitement : des comprimés solubles sont placés dans une téterelle spécialement modifiée.

• La faculté des sciences et de la technologie de l’Université de Mbarara à Mbarara, en Ouganda, pour un appareil de réanimation infantile qui prévient les professionnels de santé de la possibilité d’asphyxie à la naissance ou dans le cas d’une naissance prématurée.

• Le Massachusetts General Hospital, à Boston, pour les dispositifs de tamponnement utérin dans le cadre du traitement de l’hémorragie post-partum.

• Nanobiosym Inc., à Cambridge, au Massachusetts, pour une plate-forme qui permet le diagnostic mobile rapide et précis du VIH et, partant, la mise en place rapide d’un traitement antirétroviral afin de réduire la mortalité infantile liée au VIH.

• Le centre hospitalier pour enfants Nationwide de Columbus, dans l’Ohio, pour un test peu coûteux de dépistage précoce de la pré-éclampsie, à partir d’une analyse d’urine au moyen de bandes de papier, afin de réduire la morbidité et la mortalité imputables à cette complication de la grossesse.

• L’Oregon Health and Science University de Portland, dans l’Oregon, pour un applicateur équipé d’une mini-éponge et utilisé dans le cadre du traitement de l’hémorragie du post-partum.

• Population Services International, de Washington, pour un applicateur qui permet l’utilisation de dispositifs intra-utérins dès le début du post-partum, et ce pour accroître le recours à la contraception.

• Program for Appropriate Technology in Health, de Seattle, pour un comprimé d’ocytocine à dissolution rapide à prendre par voie orale, résistant à la chaleur, à prescrire dans le traitement des hémorragies du post-partum.

• Program for Appropriate Technology in Health, cette fois pour un gel de sulfate de magnésium qui simplifie le traitement de la pré-éclampsie et de l’éclampsie.

• L’Université du Wisconsin à Madison, dans le Wisconsin, pour une souche de Lactobacillus casei qui permet la production à domicile de produits laitiers enrichis en bêta-carotène destinés aux mères à risque.

• L’Université de Melbourne, en Australie, pour un concentrateur d’oxygène fonctionnant sans électricité et à faible coût, capable de fournir de l’oxygène, de manière provisoire, aux nouveau-nés.

• L’Université de Toronto au Canada, pour un pré-mélange de fer encapsulé par pulvérisation et destiné à être fixé aux feuilles de thé. L’objectif est de réduire la carence en fer chez les femmes enceintes.

• L’Université de Valence, en Espagne, pour des bandelettes de dépistage précoce et rapide de la septicémie pendant la grossesse et l’accouchement, à utiliser sur place.

En 2012, les États-Unis se sont engagés avec l’UNICEF et les gouvernements de l’Inde et de l’Éthiopie à mettre fin aux décès évitables d’enfants en l’espace d’une génération.

Kathryn McConnell

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Code d’urgence: Un autocollant et une application smartphone qui veulent vous sauver la vie

Un autocollant peut vous sauver la vie. C’est ce que prétend Code d’urgence, un dispositif testé depuis ce lundi dans la Sarthe et la Loire-Atlantique. L’entreprise distribue à ses abonnés un Quick response code (QR code, sorte de code-barres en 2 dimensions) à toujours avoir sur eux, et qui délivrent des informations médicales aux médecins intervenant en cas d’accident. 20 Minutes détaille le principe.

Comment ça marche?

L’abonné remplit un questionnaire médical, le fait valider par son médecin traitant et le renvoie à Code d’urgence qui se charge de la saisie des informations. En retour, et contre la somme de 36 euros par an, la société fournit des autocollants avec un QR code personnalisé et conseille de le coller sur un casque ou au dos d’une montre ou d’un téléphone portable, des objets qu’on prête peu, qu’on a toujours sur soi et que les médecins concernés sont formés à vérifier en premier.

Comment les médecins ont accès aux informations?

Les médecins des Samu/Smur concernés sont formés gratuitement par Code d’urgence et l’application adaptée à leur smartphone leur est fournie (de même que l’appareil, s’ils n’en possèdent pas). Il leur reste à scanner le code trouvé sur l’autocollant en cas d’accident, et le dossier médical d’urgence apparaît sur leur écran.

Quelles informations sont fournies?

Il s’agit d’un dossier d’urgence, précise l’entreprise, et pas d’un dossier médical complet. Il renferme des informations anthropologiques (photo, signes distinctifs) et personnelles (nom, prénom, personne à contacter) pour identifier le patient et des données médicales utiles déterminées par les médecins du Samu de la Sarthe (allergies, antécédents, traitements en cours etc.) L’abonné peut préciser des données supplémentaires (…) Lire la suite sur 20minutes.fr