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Livre « Savoir quoi manger – Enfants » de Stéphanie Côté, nutritionniste

Dans la collection « Savoir quoi manger », les Éditions Modus Vivendi viennent de publier un « Guide d’alimentation pour les enfants de 2 à 12 ans » de la nutritionniste Stéphanie Côté.

Comme tous les livres de la collection, il contient notamment 21 jours de menus et des recettes faciles à réaliser, complétées d’informations nutritionnelles.

Ce guide, selon la présentation de l’éditeur, vous permettra de :

  • connaître les besoins nutritionnels de votre enfant et savoir comment les combler ;

  • lui permettre de développer ses goûts tout en mangeant à sa faim ;

  • répondre à vos préoccupations : des problèmes d’appétit aux caprices à table, en passant par les allergies et les intolérances alimentaires ;

  • bénéficier de recommandations simples et de conseils pratiques pour inculquer de bonnes habitudes alimentaires à votre enfant ;

  • planifier vos repas grâce à des menus et recettes qui conviennent à toute la famille.

« Découvrez de délicieuses recettes, faciles et rapides à préparer : sandwich matinal à l’œuf, tartinade choco-amande, quesadillas végé, tofu poêlé, wraps au saumon, salade d’orzo au poulet, boulettes de viande à la sauce tomate, muffins moelleux à la patate douce, houmous double chocolat… et partagez en famille le plaisir de bien manger ! »

« Viens manger ! », livre gratuit en ligne : trucs et 85 recettes avec vidéos (Université de Montréal)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Groupe Modus.
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Tout ce qu'il faut savoir sur la noyade retardée

Tout ce qu'il faut savoir sur la noyade retardée

Le 9 août 2018

La noyade sèche ou retardée est rare et méconnue. Néanmoins, les enfants y sont particulièrement sensibles. Il est important de s’informer de ses symptômes.

La noyade retardée peut être sèche ou humide

La noyade est la première cause de mortalité chez les mineurs de moins de 15 ans. Si les précautions à prendre en cas de noyade classique sont généralement connues, les symptômes de la noyade retardée le sont moins. Pourtant, il est primordial de savoir les reconnaître pour ne pas réagir trop tard. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la noyade retardée « comme la mort par suffocation suite à une immersion de l’eau ».

L’OMS distingue deux types de noyade retardée : la noyade sèche et la noyade humide. La noyade humide est provoquée par une infiltration d’eau dans le système respiratoire qui n’a pas été évacuée après avoir bu la tasse ou inhalé de l’eau. La noyade sèche prend le forme de spasmes durant lesquels le système respiratoire se ferme en raison de la présence de l’eau.

La noyade retardée nécessite une intervention d’urgence

Alors que la noyade à la suite d’une baignade est évidente et donc traitée immédiatement, la noyade sèche est moins facilement décelable. Elle nécessite néanmoins une intervention d’urgence, ce qui implique d’être capable d’en reconnaître les symptômes avant qu’il ne soit trop tard pour agir et sauver la vie de la victime de la noyade retardée. 

La noyade sèche prend l’apparence d’une crise d’asthme. Généralement, la personne qui est en train de se noyer hors de l’eau tousse beaucoup et peine à respirer après sa baignade. Il est aussi possible qu’elle ait de la fièvre, des maux de ventre ou qu’elle somnole plus que d’ordinaire. Si vous détectez ces symptômes chez un proche après une journée à proximié d’une étendue d’eau, rendez-vous rapidement aux urgences et n’attendez pas une minute avant de signaler votre présence à un médecin pour lui expliquer la situation. 

Flore Desbois

Lire aussi : La noyade : comment l’éviter ?

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Tout ce qu’il faut savoir sur les maladies articulaires

Le 10 octobre 2016.

À l’occasion de la journée mondiale contre les rhumatismes et de l’initiative française « Ensemble contre les rhumatismes » (ECR) qui se dérouleront le 12 octobre prochain, il est temps de faire le point sur les rhumatismes et chasser les idées reçues les concernant.

Les rhumatismes ne touchent pas uniquement les personnes âgées

L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a réalisé une enquête sur « Les Français et les rhumatismes », qui permet de chasser des idées reçues sur des douleurs que nous sommes trop nombreux à négliger. Premièrement, les rhumatismes ne concernent pas uniquement les personnes âgées. Selon les travaux de l’Inserm, 93 % des Français ont déjà souffert de douleurs articulaires.

« En France, près de 600 000 adultes souffrent de rhumatisme inflammatoire et près de 10 millions de Français souffrent d’arthrose », précise l’Inserm dans un communiqué. Mais ce n’est pas tout, les jeunes aussi peuvent souffrir de douleurs articulaires. Selon cette enquête, 1 jeune sur 3, âgé de 18 à 24 ans ainsi que près de 4 000 enfants souffrent de rhumatisme inflammatoire.

Une douleur articulaire ne doit pas être prise à la légère

Autre idée reçue : les douleurs articulaires ne sont pas graves. « Quand on souffre d’arthrose du genou, le risque de mortalité cardiovasculaire est augmenté de 50 % », explique le Pr Francis Berenbaum, président de la Société française de rhumatologie et chercheur à l’Inserm. « Si on veut lutter contre la sédentarité, il ne faut plus considérer les rhumatismes comme bénins. Il faut apprendre à préserver ses articulations comme on préserve son cœur ».

Par ailleurs, les douleurs articulaires peuvent nuire gravement au quotidien. 65 % des des personnes interrogées déclarent en effet que leurs rhumatismes ont eu un impact sur leur sommeil, 30 % ont dû limiter, voire arrêter temporairement leur activité professionnelle et plus de la moitié (56 %) ont dû mettre un terme à leurs loisirs.

Vous pensez que l’on ne peut pas soigner les rhumatismes ? Il existe pourtant des traitements. « Il s’agit des biothérapies telles que les anti-TNF, qui ciblent spécifiquement des molécules de l’inflammation », précise l’Inserm. « Ces découvertes ont révolutionné le traitement des patients ayant une polyarthrite rhumatoïde ou une spondylarthrite. »

À lire aussi : Douleurs articulaires : ce qu’elles trahissent

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En savoir plus sur, la Maladie de Lyme et les Infections froides

Le 08/08/2016.

La France est un pays où la maladie de Lyme se répand en silence. Le nombre de victimes dans l’hexagone est estimé à 27 000 personnes par an, soit 43 cas pour 100 000 habitants. Ces dix dernières années, les cas ont augmenté de 320 %…

Une maladie transmise par piqûres

Aussi appelée « Borréliose », cette maladie nous est transmise par piqûres de tiques, poux ou araignées. Aujourd’hui, elle est considérée comme une maladie chronique et d’après le Docteur Béatrice Milbert, la maladie n’est pas reconnue comme elle devrait l’être. On pourrait la comparer à une véritable épidémie avec 300 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année, dont environ 25 000 en France.

La maladie se traduit par des problèmes neurologiques, cutanés, des douleurs articulaires, des problèmes cardiaques, pulmonaires, intestinaux. Transmise de l’insecte à l’Homme, cette maladie s’avère également génétique. Ainsi, la mère peut la transmettre à son enfant. Chez beaucoup d’humains, elle est certainement déjà préexistante et reste silencieuse dans l’organisme. Dite « froide », la Lyme est sournoise et ne montrera aucun signes de vie avant son explosion.

La maladie se déclenche lorsque l’organisme est plus vulnérable

D’après le Docteur Philippe Bottero, « certaines formes microbiennes ont la capacité de persister de nombreuses années dans l’organisme et de déclencher, si le système immunitaire devient moins performant, des pathologies avec atteinte générale ». Le stress peut donc amener la maladie à se réveiller après de nombreuses années.

D’après Béatrice Milbert, pour soigner cette maladie, il est d’abord conseillé d’adopter une bonne hygiène de vie et de supprimer le sucre, le lait de vache, la viande et le poisson cru. Des traitements à base de plantes existent aussi et d’après Richard Horowitz, 90 % des cas montrent des résultats encourageants en mixant lors du traitement des produits naturels et des antibiotiques.

À lire aussi : Maladie de Lyme : une plainte contre l’État et les laboratoires

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Quelle quantité de sucre mange-t-on au quotidien sans le savoir ?

Le 19 novembre 2015C’est un compte Instagram, celui de @dealerdesucre, qui révèle en images l’équivalent en morceaux de sucre de nombreux produits consommés dans notre quotidien. Un compte qui a le mérite de nous en apprendre beaucoup sur notre alimentation en quelques coups d’œil !

C’est un utilisateur d’Instagram qui a eu l’idée très simple de photographier des aliments que nous consommons au quotidien, avec à côté leur équivalence en morceaux de sucre.

Une façon claire et rapide d’informer les internautes sur leur consommation souvent excessive de sucre et de prendre conscience que le sucre est omniprésent dans notre alimentation quotidienne.

Des exemples qui surprennent ? Une canette d’oasis représente l’équivalent de 6 morceaux de sucre. Un muffin au chocolat équivaut à 5 morceaux de sucre. Et n hamburger qu’on imagine salé représente 2 sucres et demi.

Pour rappel, la consommation excessive de sucre entraîne des risques de surpoids et d’obésité, facteurs de maladies cardiovasculaires et de diabète.

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Assurance obsèques : que faut-il savoir sur ces contrats ?

Publi-éditorial 

Organiser des obsèques requiert un budget conséquent. D’après la CPFM (Confédération des professionnels du funéraire et de la marbrerie), il faut compter pas moins de 4000en moyenne pour une inhumation et 3500€ pour une crémation.

Une somme conséquente à assumer pour l’entourage qui vient s’ajouter à la douleur de la perte.

Les contrats d’assurance obsèques ont pour but initial de protéger financièrement vos proches au jour de votre décès. Dans certains cas, ils permettent aussi d’anticiper l’organisation de vos funérailles. Nous vous guidons pour effectuer le bon choix.

Assurance obsèques : plusieurs formes de contrat 

Il existe deux types de contrats obsèques bien distincts qu’il est important de différencier. 

Contrat obsèques en capital : régler les frais funéraires

Les contrats en capital (ou « contrats de financement ») offrent la possibilité de prévoir un capital qui servira à financer ses obsèques.

Comme leur nom le laisse présager, ils se limitent à garantir, lors du décès du souscripteur, le versement du capital garanti (en moyenne entre 3500 et 5 500€) au bénéficiaire désigné et n’interviennent à aucun moment dans l’organisation des obsèques.

Représentant environ 75% des souscriptions selon la FFSA, ces contrats avant 2013, présentaient un inconvénient majeur : rien dans ses clauses n’obligeait le bénéficiaire à utiliser le capital pour les frais d’obsèques de l’assuré.  La personne désignée comme bénéficiaire pouvait donc utiliser la somme cotisée comme bon lui semblait. Grâce à la loi Sueur, ce souci est dorénavant réglé. 

Contrat obsèques en prestations personnalisées : payer et organiser ses funérailles

Appelé aussi convention obsèques, ces contrats offrent la possibilité, en plus de financer les funérailles, d’en gérer l’organisation.

Deux contrats en un :

  • Un contrat d’assurance géré par une compagnie d’assurance voué au financement ;
  • Ainsi qu’un contrat en prestations géré par un opérateur funéraire qui sera chargé d’organiser les obsèques.

Grâce à ce type de contrat, l’assuré peut choisir très précisément les prestations souhaitées lors de ses funérailles. Avec son conseiller funéraire, le souscripteur décide des options voulues et obtient un devis personnalisé précisant le montant du capital à garantir. Il peut alors choisir de signer le devis ou pas.

L’entourage et alors ainsi déchargé du coût des obsèques mais également de leur organisation. Il ne leur restera que le choix de la décoration, des lectures et des chants éventuels (si l’assuré n’en a pas déjà fait mention dans le contrat).

Choisir la bonne assurance obsèques parmi la grande quantité d’offre n’est pas toujours facile. Des sites spécialisés dans le secteur comme www.lassurance-obseques.fr vous guident dans votre choix et vous permettent de comparer les prix et les prestations des différents contrats. 

Conventions obsèques : quels types de prestations ?

Généralement, les prestations sont sensiblement les mêmes selon les différents opérateurs funéraires (liste non-exhaustive) :

  • Choix du type cercueil (prix, type, gravures, moulures…) ;
  • Choix entre inhumation ou la crémation ;
  • Le type de cérémonie (religieuse ou laïque) et son déroulement ;
  • Possibilité d’opter pour un soutien familial (psychologue, aide-ménagère…) ;
  • Prendre ou non une concession ;
  • Désigner des porteurs (combien, tenue…)
  • Le type de fleurs aux funérailles ;
  • Opter pour une pierre tombale personnalisée ;
  • Le rapatriement à domicile du défunt ;
  • Désigner un maître de cérémonie etc.

L’assuré peut donc choisir toutes les options relatives à ses funérailles en étant sûr que celles-ci seront respectées à la lettre.

Même si ces prestations ne sont réellement indispensables, plusieurs d’entre elles peuvent aider considérablement votre entourage durant cette douloureuse épreuve :

  • la prise en charge du trajet des proches au lieu des obsèques,
  • l’assistance psychologique pour faire face au deuil,
  • ou encore l’assistance administrative et juridique guidant toutes les marches à suivre.

A quel âge est-il le plus intéressant de souscrire ?

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, il n’est pas nécessaire d’attendre le « grand âge » pour souscrire une assurance obsèques. Il est d’ailleurs préférable d’y penser tôt (autour de 50, 55 ans) pour bénéficier de cotisations moins importantes.

Aussi, en optant pour des cotisations temporaires (généralement étalées sur 5,10 ou 15 ans), l’assuré peut alors cotiser au cours de sa vie active et ainsi être totalement affranchi de ses mensualités durant sa retraite.

À noter qu’en règle générale, l’âge limite de la souscription est de 80 ans. 

Où souscrire ?

La souscription peut se faire chez un assureur, une banque, une mutuelle ou un établissement funéraire. 

Ce qu’il faut retenir

  • Une assurance obsèques est souscrite pour deux raisons principales : soulager votre entourage des frais de vos funérailles et vous permettre, le cas échéant, d’anticiper l’organisation des obsèques.
  • Le contrat en capital convient parfaitement à ceux ne souhaitant gérer que l’aspect financier de leurs obsèques. Pour les autres, désireux d’anticiper aussi l’organisation, la convention obsèques est alors plus appropriée et conseillée.
  • Bien qu’il existe des solutions avantageuses et adaptée pour souscrire sur le tard, il est préférable de souscrire avant ses 75 ans.   
  • Le prix d’une assurance obsèques est très variable selon le profil, le budget et les souhaits du souscripteur. 

 

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Tout savoir sur le bicarbonate avec Nicolas Palangié

Tout savoir sur le bicarbonate avec Nicolas Palangié Les innombrables vertus du bicarbonate sont une fois encore à l’honneur dans cette nouvelle édition de  » Bicarbonate  » par Nicolas Palangié, scientifique et auteur du blog monbicarbonate.fr.

Cette nouvelle version s’enrichit d’une pléthore d’astuces mettant en évidence les propriétés miraculeuses de ce minéral utilisé dès l’antiquité par les Égyptiens et élaboré tel que nous le connaissons aujourd’hui, pour la première fois en 1791 par le chimiste français Nicolas Leblanc.

Validé par un docteur en pharmacie et en pharmacologie, cet ouvrage compile astuces, recettes, conseils et mode d’emploi pour la santé, la beauté et la maison, tous testés et validés autour d’une approche scientifique et fonctionnelle. L’ouvrage propose, également toute une partie consacrée aux bébés, aux ado et aux seniors.

Pour prendre soin de soi mais aussi pour entretenir sa maison, son jardin, bricoler ou cuisiner, le bicarbonate est par excellence le produit du quotidien.

Et en beauté, que ce soit pour la santé bucco-dentaire, pour neutraliser les odeurs corporelles, pour entretenir la beauté de ses pieds ou encore la qualité de la peau, le bicarbonate se révèle être un allié de taille.

Cette poudre magique est même le secret beauté de Julia Roberts pour entretenir son légendaire sourire et celui d’Emma Stone pour nettoyer sa peau.

Avec cette nouvelle édition, on dépasse plus que jamais le cliché du produit de grand-mère et on s’immisce avec plaisir et intérêt dans cette vision quotidienne et pratique de cette molécule écologique, polyvalente et économique qui a décidément tout bon.

(Bicarbonate, Un concentré d’astuces pour votre santé, votre beauté et votre maison, par Nicolas Palangié. Éditions Eyrolles. Disponible en librairies. 198 pages. Prix indicatif : 5,90 €)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

8 choses à savoir sur les kystes ovariens

Fréquemment sujet d’inquiétude pour les femmes, les kystes ovariens sont le plus souvent bénins. Dans certains cas, ils doivent cependant être enlevés. Le point sur tout ce qu’il faut savoir avec ce sujet.

Un kyste ovarien est une tumeur bénigne

Un kyste ovarien est une tumeur généralement bénigne. Elle s’apparente à une petite poche remplie de liquide, généralement de moins de 5 cm. Rarement, un kyste peut dégénérer en tumeur maligne et entrainer un cancer de l’ovaire.

Il existe deux types de kystes ovariens

Les kystes ovariens peuvent être de 2 types : fonctionnel ou organique. Le kyste fonctionnel représente 90 % des cas. Il évolue au cours du cycle menstruel, souvent influencé par une perturbation hormonale. Généralement sans gravité, il peut disparaître spontanément en quelques mois ou à l’aide d’un traitement. Le kyste organique est plus rare et doit la plupart du temps être opéré.

Les kystes fonctionnels ovariens évoluent en fonction du cycle

Chaque mois, après l’ovulation, le follicule dans lequel se trouvait l’ovocyte sécrète de la progestérone et devient le corps jaune. Mais parfois, le follicule grossit anormalement au lieu d’éclater et de libérer l’ovule. C’est alors qu’un kyste apparaît.

Le kyste provoque des douleurs au bas-ventre

Douleurs, tiraillements, sensation de pesanteur, saignements en dehors des règles : ces symptômes peuvent être révélateurs d’un kyste ovarien. Pour le déceler, le gynécologue procède à une échographie pelvienne, par voie abdominale ou endovaginale.

La plupart du temps un kyste fonctionnel régresse spontanément

Lorsqu’un kyste de l’ovaire est de petite taille, une simple surveillance est suffisante et aucun traitement n’est nécessaire. Dans la plupart des cas, le kyste va en effet diminuer ou disparaître spontanément après trois à six mois.

La pilule peut favoriser la régression des kystes fonctionnels

Si le kyste de l’ovaire est assez gros ou s’il est douloureux, la prise d’un contraceptif hormonal peut être proposé par le gynécologue pour tenter de réguler les troubles hormonaux à l’origine de la formation du kyste.

Le kyste de l’ovaire nécessite parfois d’être retiré

S’il ne régresse pas ou s’il est trop gros et douloureux, (…) Lire la suite sur Topsanté

Kyste à l’ovaire: on n’opère pas toujours
Un kyste ovarien, c’est grave ou pas ?


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