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La Sécurité Sociale étudiante expliquée aux étudiants !

Dossiers mutuelles

Définition d’une mutuelle

La mutuelle santé prend en charge tout ou partie de vos dépenses santé non couvertes par votre régime obligatoire.

Pourquoi souscrire une mutuelle ?

La Sécurité Sociale ne prenant pas toutes les dépenses à sa charge, une mutuelle santé comblera alors la différence.

Résiliation suite à une augmentation de votre prime

Suite à une augmentation de votre prime, vous désirez résilier votre contrat de mutuelle santé. La résiliation en cas d’augmentation du montant de la prime doit être prévue dans le contrat.

Que faire face au déficit de la Sécurité sociale ?

Trop nombreux et trop coûteux : les infirmiers libéraux et les masseurs-kinésithérapeutes sont ciblés par un rapport de la Cour des comptes. Sont-ils l’arbre qui cache la forêt du déficit de la Sécurité sociale ?

Christophe Ramaux, du groupe Les économistes atterrés, insiste d’abord sur l’espérance de vie qui a progressé de 30 ans au XXe siècle. « Grâce à la Sécu, on a fait des progrès considérables. Dans ce monde accablant, on a enfin une bonne nouvelle », déclare le premier invité du duel éco de France 3. Pour lui, le déficit est « limité » par rapport aux enjeux.

Augmenter les cotisations ?

Etienne Lefebvre, journaliste des Echos, nuance : « Ces résultats, on les obtient par de la dette ». Et cette situation devrait durer pendant plusieurs années. « Ce déficit n’est pas incurable. Le modèle français fonctionne, mais à condition de faire des efforts », ajoute-t-il.

Pour Christophe Ramaux, « le problème, ce sont les recettes ». Il préconise d’augmenter les cotisations. Etienne Lefebvre penche plutôt pour « ralentir les dépenses » et pour une répartition plus équitable des professionnels de santé sur le territoire.

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Sécurité Sociale étudiante : comment ça marche ?

Inscription à l'université : lumière sur la Sécu étudiante

Chaque étudiant (sauf boursiers) doit s’acquitter d’une somme pour s’affiler au régime obligatoire de la Sécurité Sociale étudiante, et ce qu’il s’inscrive dans une université ou dans une grande école. Cette année, l’inscription à la Sécu étudiante s’élève à 215 euros.

La Sécurité Sociale étudiant : à quoi ça sert ?

La Sécurité Sociale étudiante est donc obligatoire et assurer une partie des remboursements des soins en cas de maladie ou d’accident et court du 1er octobre de l’année au 30 septembre de l’année suivante Une partie seulement.

C’est à l’inscription dans l’établissement supérieur que l’étudiant doit s’acquitter de sa cotisation annuelle. Cela concerne les étudiants âgés de 16 à 28 ans.

La Sécurité Sociale étudiant est gérée par les mutuelles étudiantes, mais ces dernières ne sont pas obligatoires. L’étudiant doit choisir un centre de remboursement pour la Sécurité Sociale, et peut seulement s’il le souhaite, souscrire la complémentaire santé pour optimiser ses remboursements de santé.

Sécurité Sociale étudiante : qui peut être dispensé ?

  • Les étudiants âgés entre 16 et 19 ans, ayants droit d’un parent affilié à un régime spécifique de la Sécu
  • Les étudiants âgés de 20 ans et plus, ayants droit d’un conjoint n’ayant pas le statut d’étudiant
  • Les étudiants âgés de 20 ans et plus, salariés permanent (activité salariée d’au moins 60 heures par mois), déjà affilié au régime général obligatoire.
  • Les étudiants de plus de 28 ans

Dans d’autres cas, l’affiliation est effective mais pas le règlement de la cotisation :

  • Les boursiers
  • Les étudiants en situation financière difficile sur demande écrite à la commission désignée par le conseil d’administration de l’université auprès de la CPAM (caisse primaire d’assurance maladie)
  • Les étudiants dont l’affiliation n’est pas obligatoire

Une mutuelle étudiante ou autre pour compléter

La Sécurité Sociale ne prenant en charge qu’une partie des remboursements de santé, il est prudent de souscrire une bonne complémentaire santé pour optimiser les remboursements. Ce n’est pas obligatoire mais cela semble indispensable au regarde de la part de remboursement de la Sécurité Sociale.

Il est possible de souscrire une mutuelle étudiante, directement le jour de l’inscription ou plus tard dans les locaux des mutuelles (le plus souvent installés sur les campus) ou de souscrire une mutuelle traditionnelle, en procédant à une comparaison de mutuelle par exemple !

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B.Smile, la solution dents blanches en toute sécurité

Dietworld révolutionne le blanchiment dentaire avec B.Smile, un kit de nettoyage à l’effet dents blanches immédiat en deux minutes chrono.

Cette nouvelle méthode consiste en la simple action de sa gomme brevetée utilisée avec de l’eau laquelle permet de désincruster les taches de tabac, de thé et de café de la surface des dents et de réduire la plaque dentaire, facteur jaunissant de la dentition, et ce sans aucun risque pour la qualité de l’émail.

Fruit des dernières nano-technologies, la gomme B.Smile est en effet une combinaison de particules microscopiques qui absorbent rapidement les taches présentes à la surface des dents.

Il suffit donc pour l’utiliser d’humidifier la gomme blanche et de frotter ses dents pendant deux minutes en pratiquant des mouvements de bas en haut, en tenant le stylet le plus à la verticale possible et en réhumidifiant la gomme régulièrement.

Pour obtenir un résultat optimal, la marque préconise d’utiliser ce concept de nettoyage des dents pendant trois jours consécutifs la première semaine et deux fois la semaine suivante.

Ultimes conseils d’utilisation : ne jamais frotter les dents avec une gomme détériorée, cette dernière doit être changée après chaque utilisation. Enfin il est souhaitable de faire un bain de bouche après chaque utilisation.

(B.Smile, Dietworld. Disponible en pharmacies et parapharmacies. En savoir plus sur www.dietworld.eu. Prix indicatif : 24,90 €)

Le Viagra® aurait pu être remboursé par la Sécurité sociale

Branle-bas de combat dans le marché des érectiles: depuis le 22 juin le géant pharmaceutique Pfizer n’a plus l’exclusivité pour sa spécialité Viagra® à l’exception des Etats-Unis où la multinationale américaine est parvenue à faire courir son brevet jusqu’en 2019. Pfizer précise qu’il va continuer à commercialiser son Viagra® vintage (pilule bleue) et mettre à disposition le «Sildénafil Pfizer», son propre générique (pilule blanche). Les deux versions continueront à sortir des chaînes du site français de production situé à l’ombre du château d’Amboise (Indre-et-Loire) où la multinationale américaine assure depuis quinze ans l’essentiel de la production mondiale de son érectile à base de citrate de sildénafil.

Parmi les nouveaux concurrents, la multinationale israélienne Teva est en première ligne: elle  a pris soin d’obtenir une autorisation de mise sur le marché dès 2009. Les industriels du générique ont prévu des formulations à 25 mg, 50 mag et 100 mg par comprimé. On attend des chutes notables des prix, le comprimé devant passer de 8 euros en moyenne à une fourchette comprise entre 2 euros et 3 euros. Ceci devrait bouleverser le marché, puisque les deux principaux concurrents (le Cialis® de Lilly et le Levitra® de Bayer) ne sont pas encore tombés dans le domaine public.

Il faudra peut-être aussi bientôt compter avec une autre arme de Pfizer: un Viagra sous la forme galénique assez originale du chewing-gum. «La commercialisation de “Viagra à mâcher” n’est pas à l’ordre du jour en France», a toutefois précisé à Slate.fr le service de communication de Pfizer.

Pouvoir parler ainsi du Viagra®  dit à quel point cette spécialité pharmaceutique n’en est plus une. Marque devenue nom commun, le Viagra est disponible dans 120 pays. Chaque seconde, six comprimés sont consommés. Près d’un milliard de comprimés ont été commercialisés et quarante millions d’hommes dans le monde (un million en France) ont expérimenté avant, ou non, d’adopter. Cette mondialisation des érections médicamentées a eu un effet paradoxal: démédicaliser le dysfonctionnement érectile. Si ces médicaments ne demeurent, en France, officiellement accessibles que sur prescription médicale, il s’agit dans la plupart des cas d’une prescription sans véritable interrogatoire ni examen clinique.

Une question posée par Bernard Kouchner

L’affaire est généralement tacitement entendue et la prescription bien souvent rapidement effectuée. Il en va de même des produits concurrents. Quant aux nombreux flux commerciaux via Internet, ils contournent par définition le filtre préventif des consultations médicales. Jusqu’à Pfizer qui vient de développer Viagra.com, un circuit de vente en ligne de sa spécialité pour s’opposer aux ventes illégales de contrefaçons.

Cette démédicalisation paradoxale des dysfonctionnements de la fonction érectile masculine était écrite dès le milieu des années 1990 et l’annonce du lancement prochain de la pilule bleue. Elle tient pour une bonne part à l’ambivalence de ce médicament souvent plus perçu comme un stimulateur-améliorateur des performances que comme un palliatif des insuffisances réelles ou tenues pour telles. Les érectiles masculins ont libéré la parole sur l’érection de la même manière que trente ans plus tôt la légalisation de la pilule contraceptive féminine a facilité un nouveau discours sur la sexualité. Il en est d’ailleurs allé de même, à compter du début des années 1980, avec les campagnes officielles incitant à l’usage des préservatifs masculins comme méthode officielle de prévention de l’infection par le virus du sida.

Quant à la difficulté à encadrer médicalement cette prescription elle tient à celle, consubstantielle, de situer (sauf les lésions organiques majeures) le normal et le pathologique de la fonction érectile masculine. Comment bâtir une grille uniforme d’évaluation en termes de fréquences, de satisfaction? Quelle place donner à la(le-les) partenaire(s)? Comment, de l’extérieur, faire la part entre la correction d’une «insuffisance» et la quête d’une meilleure «performance»? Médicament ou produit de confort? Moins souffrir ou plus jouir?

Ces ambiguïtés étaient au cœur de la question posée par Bernard Kouchner au Comité national consultatif d’éthique (CCNE). C’était il y a quinze ans, le 23 juin 1998. Secrétaire d’Etat chargé de la Santé (sous le gouvernement Jospin), Bernard Koucher saisissait le CCNE et demandait si la prise en charge financière par la collectivité de ce médicament innovant était envisageable. Le CCNE lui répondit en novembre 1999, soit un an après le début de la commercialisation. 

«La présentation du sildénafil a d’emblée pris la forme d’une réponse thérapeutique à une pathologie individuelle nouvelle, comme si le dysfonctionnement érectile était indépendant de tout contexte relationnel et affectif. Or la population ciblée était celle affectée d’un affaiblissement physiologique de la sexualité associé à l’âge, ce qui laissait penser que des hommes plus jeunes n’étaient pas confrontés à ce problème.  En visant une clientèle particulière aux revenus souvent aisés, le discours à connotation médicale amplifiait aussi la logique de la performance qui depuis une génération entoure les questions de sexualité.»

Mais quid d’un remboursement par la sécurité sociale?

«La réduction d’un acte sexuel à une érection mécanique est certes fréquente mais risque d’induire le recours à ce produit devant toute panne sexuelle, observaient les sages du Comité national d’éthique. Or les difficultés d’érection se situent dans un contexte qui nécessite souvent une approche pluridisciplinaire bénéficiant selon les cas de l’avis d’urologues, de sexologues, de gériatres, d’endocrinologues, de psychologues, de psychiatres, de cardiologues, d’internistes. Sans cette approche, l’échec éventuel du Sildénafil placerait le malade dans une situation de responsabilité psychique comportementale difficile à accepter alors que des paramètres organiques sont en cause.»

L’âge n’est pas une pathologie

Les mêmes sages notaient que le partenaire est également impliqué dans la prise en charge thérapeutique mais aussi que «l’accès à une sexualité relationnelle est de toute évidence un élément important pour le bien-être». Ne cachant pas un certains embarras devant la question qui leur était posée, ils notaient eux-mêmes que la diversité des positions adoptées par les pays européens vis-à-vis du remboursement témoignait de l’embarras ou de la diversité culturelle de cette prise en charge. Ils soulignaient:

«Dans l’ensemble, la plupart des pays occidentaux considèrent légitime qu’une pathologie reconnue comme étant à l’origine de la dysfonction érectile puisse bénéficier de la prise en charge de la prescription de quelques tablettes (4 à 6) par mois.»

Au final ils conclurent à la «légitimité» d’une aide au remboursement par la société du Viagra®; et ce dans les cas «où il est évident que la dysfonction érectile est organiquement perturbée (affection chirurgicale ou médicale)». En revanche, pas question de voir la société «prendre en charge toute perturbation de la vie sexuelle d’un individu ou d’un couple, en l’absence de pathologie identifiée connue». Etant bien entendu et rappelé que «l’âge ne d(oit) pas être assimilé à une pathologie».

Quinze ans plus tard, le Viagra® a perdu des parts de marché et ni la sécurité sociale ni les assurances complémentaires ne semblent avoir été sollicitées. Elles ne l’ont pas été non plus pour le premier médicament mis sur le marché pour lutter contre l’éjaculation précoce. Le Priligy® (dapoxétine) est depuis quelques semaines commercialisé en France par les laboratoires pharmaceutiques italiens Mérarini. Ces derniers font d’autre part de la publicité grand public pour la pathologie que leur produit est sensée soigner, l’éjaculation précoce. On trouve sur Internet le comprimé en dessous des deux euros. En pharmacie d’officine il est, sur ordonnance, vendu autour de huit euros. La question, très fréquemment évoquée, de l’association Priligy® + Viagra® n’a pas été officiellement tranchée. Une étude serait en cours, mais des sexologues laissent déjà entendre que chacun peut, s’il le veut, expérimenter. A ses frais.

J.-Y.N.

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Aspartam : un édulcorant sans danger selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments

Aspartam : un édulcorant sans danger selon l'Autorité européenne de sécurité des alimentsAvant un rendu final en mai, l'autorité européenne de sécurité des aliments a livré un pré-rapport public dans lequel elle affirme que les doses maximales journalières d'aspartam en vigueur sont parfaitement suffisantes. Un bémol a été néanmoins mis sur le cas des femmes enceintes atteintes de phénylcétonurie, une maladie qui empêche d'assimiler la phénylalanine, un des composants principaux de l'édulcorant controversé.



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Semaine de la sécurité des patients 2012

La 2ème édition de la semaine de la sécurité des patients aura lieu du 26 au 30 novembre 2012.

La 1ère édition de cette opération, qui s’est tenue du 21 au 25 novembre 2011, a remporté un vif succès dans toute la France. Cet événement a su créer une véritable dynamique associant patients et professionnels de santé : ainsi, plus de 2000 professionnels se sont engagés dans l’opération (établissements de santé, officines de pharmacie, agences régionales de santé, maisons de santé…) dans toutes les régions de France et d’outre-mer. Plus de 1 900 événements ont été organisés auprès des professionnels de santé et des patients, 15 000 affiches et 800 000 flyers ont été distribués. Plus de 16 journées sur le thème de la qualité et de la sécurité des soins ont été organisées en région par les ARS et leurs partenaires

Trois thèmes ont illustré l’événement en 2011 :

  • bien utiliser les médicaments,
  • comprendre les indicateurs qualité,
  • agir sur les situations a risque.

En 2012, 4 thèmes forts autour de la sécurité des patients

Le groupe de travail chargé de la conception et du suivi de la campagne 2012, piloté par la direction générale de l’offre de soins (DGOS), est composé de :

  • représentants des usagers,
  • établissements de santé,
  • agences régionales de santé (ARS),
  • structures régionales d’appui telle que l’observatoire des médicaments, des dispositifs médicaux et des innovations thérapeutiques (OMEDIT),
  • agences sanitaires : agence nationale de sécurité du médicament et de produits de santé (ANSM), haute autorité de santé (HAS),
  • société française de gestion des risques en établissement de santé (SOFGRES) ,
  • fédération des organismes régionaux et territoriaux pour l’amélioration des pratiques et organisations en santé (FORAP),
  • direction générale de la santé (DGS).

4 thèmes ont été retenus par le groupe de travail pour les patients et les professionnels de santé :

bien utiliser les médicaments :

  • le message adressé au patient est axé sur des principes clés relatifs à la connaissance du médicament et à la communication avec les professionnels de santé.
  • pour ces derniers, le support met l’accent sur la sécurisation de la prise en charge médicamenteuse aux points de transitions que sont les entrées, sorties et transferts des patients.

favoriser la communication :

  • le patient est invité à libérer sa parole, à questionner les professionnels de santé, afin de le rendre acteur de sa propre sécurité.
  • le professionnel est incité à favoriser le dialogue avec le patient et à la communication au sein de l’équipe. Il est également sensibilisé au signalement et à l’analyse des événements, pour faire progresser la culture de sécurité.

soulager la douleur :

  • l’objectif est d’inciter le patient à exprimer sa douleur auprès des professionnels. Le patient est informé de ses droits et de l’intérêt à parler de sa douleur.
  • le professionnel est sensibilisé à l’écoute et à considérer la parole du patient comme un signal pouvant faire évoluer la prise en charge.

renforcer l’hygiène des mains : cette année, la journée sur l’hygiène des mains ou « mission main propre » est intégrée dans la semaine de la sécurité des patients.

  • l’objectif est de démontrer au patient comment, grâce à l’hygiène des mains, il peut agir sur sa sécurité et prévenir les infections.
  • le message adressé aux professionnels décrit le pourquoi, quand et comment utiliser les produits hydro-alcooliques.
  • par ailleurs, un message est spécifiquement adapté aux infirmiers libéraux.

Le ministère chargé de la santé invite l’ensemble des professionnels de santé, hospitaliers et libéraux, les agences régionales de santé, les structures régionales d’appui (OMEDIT , CCLIN-ARLIN etc.), les unions régionales des professionnelles de santé, les ordres professionnelles et les associations d’usagers à s’engager dans l’opération et à mener des actions d’information et de sensibilisation.

En appui de ces actions, le ministère propose des documents d’édition sur les 4 thèmes prioritaires, avec une déclinaison par patient ou par professionnel de santé, et une affiche aux couleurs de l’événement.