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Varicelle : le grand retour de l’épidémie dans sept régions

Varicelle : le grand retour de l’épidémie dans sept régions

Le 25 juillet 2018.

La varicelle gagne du terrain dans de nombreux territoires. Comment se protéger et quels réflexes adopter si un enfant est touché ?  

Les Pays de la Loire très fortement touchés

Le réseau Sentinelles, l’organisme chargé de la veille des maladies infectieuses en France, vient de mettre en garde les parents contre l’avancée de l’épidémie de varicelle en France. Le virus aurait en effet fortement progressé dans les départements de la région Grand-Est, notamment dans le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Moselle, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, les Ardennes, la Marne et une partie des Vosges.

Selon son dernier bulletin, dans ces départements on compte près de 40 cas pour 100.000 habitants. Mais la région Grand-Est n’est pas la seule à être touchée par cette maladie qui touche en grande majorité les enfants de moins de 10 ans. « Une activité forte » a en effet été identifiée en Pays de la Loire (75 cas pour 100.000 habitants). Dans les régions Hauts-de-France, Centre-Val de Loire et Bourgogne-Franche-Comté, l’épidémie est « modérée ».

Que faire en cas de varicelle ?

La varicelle se manifeste par une apparition de fièvre accompagnée d’une poussée de petits boutons rouges sur le ventre, sur le visage, puis sur tout le corps. Ces lésions cutanées provoquent des démangeaisons. Mais il faut empêcher l’enfant de se gratter pour éviter de causer des cicatrices. En temps normal, la varicelle disparaît au bout de 15 jours. Chaque année, près de 700.000 cas de varicelle sont recensés.

Quand il fait très chaud, comme c’est le cas en ce moment en France, les démangeaisons peuvent être plus importantes avec la transpiration. Les parents sont donc invités à se rendre chez leur médecin ou leur pharmacien pour obtenir soit un traitement antihistaminique, soit une lotion à appliquer sur les boutons pour qu’ils sèchent plus vite. Astuce plus naturelle : pensez également à faire prendre à votre enfant des bains d’eau tiède dans lesquels vous aurez ajouté une petite quantité de bicarbonate de sodium.

Marine Rondot

Lisez notre dossier complet : La varicelle

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo)

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo). Il y a près d’un an, c’était déjà dans le magazine de TF1 “Sept à huit” son témoignage avait ému des millions de Français. Un an plus tard, les équipes du magazine sont allées prendre de ses nouvelles. Aujourd’hui, et même si son quotidien reste encore très compliqué, il nous offre une vraie leçon de vie face à la maladie.

Il y a un an, il faisait l’objet du portrait de la semaine. Alors âgé de 8 ans, on le découvrait dans l’attente d’une greffe de rein. Une greffe dont il bénéficiera quelques semaines plus tard, grâce au rein de son papa.

Quitter son pays, voyager, lutter contre la maladie, avoir peur de mourir… Dans un entretien très touchant, Imad avait raconté à sa manière les épreuves qu’il traversait.

Cette semaine, dans le numéro inédit de “Sept à huit” diffusé ce dimanche 24 décembre 2017, le petit Imad a donné de ses nouvelles. Et même si elles ne sont pas forcément très bonnes –  une infection s’est récemment déclarée – il a surtout retenu le meilleur de cette année passée.

“J’ai fait mes premières vacances. Je suis parti à Marseille et voilà c’était formidable. J’ai découvert la mer pour la première fois et j’ai même bu un peu d’eau salée c’était trop bien” s’est-il ainsi souvenu alors que les médecins pensent avoir découvert une tumeur.

Un mot qui ne lui fait absolument pas peur. “Il ne va pas me tuer le mot tumeur (…) Je combats, je combats. Chaque maladie que j’aurais, je combattrai, coûte que coûte. Je ne lâche pas, je lâche rien” a déclaré Imad devant les caméres

Toujours aussi optimiste, il a rajouté “il y a toujours une solution”. Quelle belle leçon de vie…

Plus courageux et battant que jamais, Imad veut maintenant découvrir l’Amérique et espère pouvoir devenir pompier car il n’a désormais qu’une envie : pouvoir sauver des vies.

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo)

Découvrez maintenant la vidéo replay de ce reportage


News Santé

Forte augmentation des cas de maladie de Lyme en Estrie au 1er sept. 2016 (Québec)

La Direction de santé publique de l’Estrie rapporte une augmentation du nombre de cas de maladie de Lyme déclarés par rapport l’an dernier. Au 1er septembre, plus d’une cinquantaine de cas ont été identifiés ou sont actuellement en enquête, comparativement à 30 pour la même période l’an passé.

Comme la tique, vectrice de la maladie de Lyme, est encore active à l’automne, il est toujours pertinent de se protéger, souligne le communiqué.

De 2014 à 2015, le nombre de cas de maladie de Lyme en Montérégie et en Estrie avait aussi presque doublé, passant de 28 à 54 cas.

« En cas de piqûre, il faut immédiatement retirer la tique », indique le communiqué du CIUSSS de l’Estrie. « Plus elle est enlevée rapidement, plus les risques de transmission de la maladie sont réduits. Pour retirer une tique accrochée à la peau, utilisez une pince fine, comme une pince à sourcils. Évitez d’utiliser vos doigts ou vos ongles, car vous pourriez écraser la tique et favoriser la transmission de la bactérie responsable de la maladie de Lyme. »

« Si vous présentez un ou plusieurs des symptômes de la maladie de Lyme dans les 3 à 30 jours après avoir été piqué, appelez Info-Santé au 8-1-1 ou consultez un médecin. »

« Si vous avez été piqué par une tique dans les MRC de la Haute-Yamaska ou de Brome-Missisquoi, un traitement préventif par antibiotiques pourrait vous être prescrit dans certaines situations », indique le communiqué. Pour plus d’information, contactez Info-Santé 8-1-1.

Plus d’informations sur le site du CIUSSS de l’Estrie .

Psychomédia avec source : CIUSSS de l’Estrie.
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Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

BEH: près de sept couples sur dix ont un enfant après une tentative de FIV

En France, sur dix couples qui franchissent un jour la porte d’un centre d’assistance médicale à la procréation, sept finissent par avoir un enfant grâce aux traitements, mais aussi à la suite d’une conception naturelle ou en adoptant un enfant, selon les résultats d’une étude paraissant mardi dans le « Bulletin épidémiologique hebdomadaire » de l’Institut de veille sanitaire (InVS).
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