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Quel sera notre avenir avec le COVID-19 ? (Dr Dupagne)

Le Dr Dominique Dupagne fait le point, sur son blog atoute.org, sur les scénarios d’avenir envisageables de la COVID-19, à la lumière de l’arrivée du variant Omicron.

« L’espoir d’éradiquer la maladie n’est plus qu’un lointain souvenir », écrit-il.

« Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle maladie infectieuse qui est installée pour longtemps. »

L’hypothèse la plus probable, explique-t-il, est celle de « vagues épidémiques » qui vont se succéder mais qui « seront associées à un taux de formes graves de plus en plus faible », pour plusieurs raisons qu’il décrit.

« Lorsque l’épidémie sera stabilisée sous forme de vagues saisonnières associées à une mortalité en nette diminution, nous devrons nous adapter à cette nouvelle situation. »

« En attendant, n’oubliez pas de faire votre 3e injection, cet article parle d’avenir, mais le présent ne rigole pas… », conclut-il.

Article du Dr Dominique Dupagne : Quel va-t-être notre avenir avec le COVID-19 ?

Pourquoi se faire vacciner ? Synthèse des informations fiables (Dr Dupagne)

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L’homéopathie ne sera bientôt plus remboursée

L’homéopathie ne sera bientôt plus remboursée

Le 8 juillet 2019

Emmanuel Macron a finalement tranché en prenant la décision de dérembourser les produits homéopathiques comme le préconisait Agnès Buzyn. L’annonce officielle aura lieu en fin de semaine.

Une efficacité insuffisante

Après avoir longtemps hésité, le président de la République se range finalement du côté de la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Malgré la popularité de l’homéopathie, la Haute Autorité de santé (HAS) a jugé son efficacité insuffisante. Selon elle : « Ces médicaments n’ont pas démontré scientifiquement une efficacité suffisante pour justifier d’un remboursement ».

Le remboursement des produits homéopathiques est également coûteux pour l’Assurance maladie. Ces granules sont remboursées à hauteur de 30% actuellement. Cette décision devrait permettre au gouvernement de réaliser 127 millions d’euros d’économie. Toutefois, le sujet fait débat. Pour certains, l’homéopathie permet d’éviter une surconsommation de médicaments. De son côté, le laboratoire Boiron a annoncé, qu’une telle décision menacerait environ 1.000 emplois dans son laboratoire.

Deux scénarios possibles

Deux scénarios sont toujours à l’étude concernant l’arrêt du remboursement des médicaments homéopathiques. La première option serait de mettre en place un déremboursement total de l’homéopathie. Toutefois, ce dispositif entrerait en vigueur dans un an afin de laisser le temps aux laboratoires fabricants d’anticiper les pertes de chiffres d’affaires.

Une autre solution serait de rembourser partiellement les granules à hauteur de 15% seulement. En 2003, les modalités de remboursement avaient déjà connu une baisse en passant de 65% à 35%. Elles sont ensuite passées de 35% à 30% en 2011. Cette deuxième option permettrait d’éviter une perturbation des laboratoires pharmaceutiques pour qui ce déremboursement est un réel enjeu. Toutefois, elle réduirait les économies envisagées par le gouvernement.

Stéphanie Haerts

À lire aussi : Homéopathie, un champ d’action plus large qu’on ne croit !

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L'ancienne formule du Levothyrox sera disponible en 2019

L'ancienne formule du Levothyrox sera disponible en 2019

Le 6 novembre 2018.

Après le passage devant le Tribunal de Toulouse de 42 patients concernés par les effets secondaires liés à la nouvelle formule du Levothyrox, les choses bougent. Des boîtes de l’ancienne formule seront disponibles en 2019.

L’ancienne formule du Levothyrox à nouveau disponible ?

Le changement de formule du médicament traitant les patients présentant des troubles de la thyroïde a provoqué de nombreuses réactions négatives. Perte de cheveux, insomnies, douleurs articulaires, vertiges, maux de tête, évanouissements… La liste des effets secondaires liés au médicament serait longue.

Un groupe 42 patients avait justement rendez-vous devant le Tribunal de Grande Instance de Toulouse pour réclamer des dédommagements. Sur le plan financier, ils ne seront sans doute pas exaucés, mais le laboratoire Merck a annoncé que des boîtes de l’ancienne formule seraient à nouveau disponibles en France en 2019.

50.000 boîtes pas mois en 2019

 « Ces boîtes (50.000 par mois) seront destinées aux patients qui n’ont pas encore trouvé de solution pérenne. Il s’agit d’une décision temporaire de transition ». L’ancienne formule, en provenance d’Allemagne, et commercialisée sous le nom de Euthyrox, arrivera en France dès 2019.

La décision semble bien tardive pour les milliers de patients qui attendaient une réponse depuis 2017, mais sera sans doute un début pour résoudre cette crise. Le TGI a par ailleurs réclamé une expertise médicale sur chaque patient pour déceler si, oui ou non, les symptômes sont définitivement liés à la nouvelle formule du Levothyrox. 

Maylis Choné

À lire aussi Nouveau Levothyrox : des anomalies dans la composition ?

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La consultation chez le psychologue sera remboursée en Belgique

En Belgique, la ministre de la Santé, Maggie De Block, a annoncé un budget annuel de 22,5 millions d’euros pour le remboursement des soins psychologiques dès le 1er octobre, dans un entretien accordé au Soir le 21 avril.

« D’ici la fin de l’année, nous allons mettre en place le premier système de remboursement des soins psychologiques. C’est le résultat d’un très long travail avec le nouveau Conseil fédéral des soins de santé mentale, avec les mutuelles, avec l’Inami », a-t-elle déclaré.

« Il s’agira de rembourser un traitement de courte durée chez un psychologue ou un orthopédagogue clinicien au sein d’un cadre multidisciplinaire », a-t-elle précisé.

La ministre reconnaît qu’il s’agit « d’un premier pas », et ajoute qu’il « faudra rapidement injecter plus d’argent ».

« Le remboursement prévu pourra venir en complément de ce que les assurances complémentaires des mutuelles prennent parfois en charge », a-t-elle précisé.

En mars, a été validée une réforme de la psychothérapie qui limite le droit d’exercice aux diplômés universitaires en médecine, en psychologie clinique et en orthopédagogie clinique.

« Il faut un certain niveau – c’est-à-dire, comme en France, un master de niveau universitaire – pour prodiguer des soins de santé mentale », explique la ministre. « Dans le cas contraire, c’est dangereux pour les gens. »

Pour plus d’informations sur la psychothérapie, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Le Soir, Journal du médecin.
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Fumer du cannabis sera désormais puni de 300 € d’amende

Fumer du cannabis sera désormais puni de 300 € d’amende

Le 5 avril 2018.

Le gouvernement a tranché en faveur d’une amende forfaitaire pour les fumeurs de cannabis. Celle-ci a été fixée à 300 €.

Une amende forfaitaire de 300 € en cas de consommation de cannabis

Si la dépénalisation de la consommation de cannabis a été au menu de certaines discussions gouvernementales, elle n’est pas à l’ordre du jour. Les autorités veulent toutefois désemplir les tribunaux des cas de simple consommation, et pour punir sans trop de bureaucratie, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a annoncé la création d’une amende forfaitaire.

Désormais, les personnes surprises à fumer du cannabis seront punies d’une amende forfaitaire de 300 €. En cas de minoration, cette amende sera réévaluée à 250 € et elle pourrait atteindre 600 € si elle était majorée.

Les Français sont de plus en plus nombreux à fumer du cannabis

Si cette mesure n’est pas spécifiquement dédiée à la lutte contre l’addiction au cannabis, le gouvernement met également en place de nombreuses mesures pour lutter contre la consommation de cette drogue qualifiée de « douce », mais qui n’en est pas moins très dangereuse pour la santé. Le 22 mars dernier, la Sécurité routière ont notamment lancé une campagne pour sensibiliser aux dangers du cannabis au volant. Selon les messages martelés par l’organisme, la consommation de cannabis, avant de prendre la route, augmente le risque de provoquer un accident en raison d’une mauvaise évaluation des distances, d’une perte de vigilance et de contrôle et d’une diminution de la concentration.

Les autorités rappellent par ailleurs que le cannabis augmente le risque de développer certaines maladies comme la schizophrénie ou la dépression. Ces faits ne semblent pourtant pas faire peur aux Français, notamment les jeunes, qui sont toujours plus nombreux à en consommer. Selon une étude de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) menée en 2016, 28 % des 18-25 ans, ont fumé du cannabis au moins une fois dans l’année. Les Français sont par ailleurs 700.000 à en consommer quotidiennement, ce qui fait de la France une des plus grosses consommatrices de cannabis en Europe.

À lire aussi Cannabis : sommes-nous bien informés ?

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La PMA sera bientôt accessible à toutes les femmes

La PMA sera bientôt accessible à toutes les femmes

Le 13 septembre 2017.

L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes était une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Cette mesure devrait entrer en vigueur en 2018.

Lutter contre une forme de discrimination

Dans une interview sur BFM TV, Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, a fait savoir que le gouvernement allait proposer d’ouvrir la PMA à toutes les femmes en 2018. Il s’agit, selon elle, d’une question de « justice sociale » qui permettra de mettre fin à une « forme de discrimination à l’égard des femmes lesbiennes et célibataires » qui n’y ont actuellement pas accès.

Actuellement seules les femmes en couple, qui souffrent d’une infertilité médicalement constatée ou qui risquent de transmettre une maladie grave à leur enfant, y ont accès. Les femmes lesbiennes et célibataires qui veulent avoir un bébé doivent donc se rendre à l’étranger ce qui créé une « inégalité », selon Marlène Schiappa, entre celles qui ont les moyens de s’offrir le voyage et celles qui ne peuvent pas.  

Une PMA ouverte à toutes en 2018

« En termes de calendrier, nous serons sur l’année qui arrive, 2018, probablement avec les révisions de la loi bioéthique », a-t-elle ajouté. Avant de se lancer, le gouvernement attendait l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), qui s’est prononcé, fin juin, pour l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires. Il n’y a donc plus rien « qui nous empêche de rendre la PMA légale pour toutes les femmes », a-t-elle ajouté.

Déjà certaines voix se sont fait entendre pour dénoncer les dérives qu’une telle mesure pourrait entraîner. « Il faut bien comprendre l’engrenage dans lequel on rentre », a lancé Laurent Wauquiez sur France Info. « On va donc ouvrir la procréation médicalement assistée pour les femmes qui sont en couples », et automatiquement « les couples d’hommes, qui sont ensemble, feront évidemment une revendication d’égalité ». La PMA entraînera-t-elle immanquablement la gestation pour autrui (GPA) ? Le débat est lancé.  

À lire aussi : 5 choses à savoir sur la PMA 

Marine Rondot

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Médicaments codéinés : une ordonnance sera désormais nécessaire

Médicaments codéinés : une ordonnance sera désormais nécessaire

Le 13 juillet 2017.

Un arrêté « à effet immédiat », signé par la ministre de la Santé, vient d’inscrire tous les médicaments contenant de la codéine, du dextrométhorphane, de l’éthylmorphine ou de la noscapine sur la liste des médicaments disponibles uniquement sur ordonnance.

Stopper l’usage détourné de ces médicaments

Les médicaments contenant de la codéine ne pourront plus être disponibles en vente-libre dans les pharmacies. Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, vient en effet de signer un arrêté pour que des ordonnances soient exigées des pharmaciens pour l’achat de médicaments qui en contiendraient. Le gouvernement souhaite ainsi « mettre un terme à des pratiques addictives dangereuses et potentiellement mortelles ».

De nombreux jeunes achetaient jusqu’alors ces médicaments contenant de la codéine et d’autres dérivés de l’opium pour faire des expériences euphorisantes. « Des demandes suspectes de délivrance de codéinés, des cas d’abus, voire de dépendance, chez des adolescents et jeunes adultes ont continué de faire l’objet de signalements avec une multiplication de cas à partir de 2015 », avait noté l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).

Un problème de santé publique

L’usage de la codéine pour fabriquer des cocktails euphorisants est connu aux États-Unis sous le nom de Purple drank. Ces boissons vantées par les rappeurs américains ne sont pourtant pas sans risque pour la santé. Selon le ministère de la Santé, depuis le début de l’année, ces cocktails ont provoqué la mort de deux adolescents. Chez les moins de 25 ans, 30 cas graves liés au Purple Drank auraient par ailleurs été recensés ces deux dernières années.

Parmi les deux victimes, Pauline, une jeune fille de 16 ans, originaire de Beynes, dans les Yvelines. Elle est morte d’une overdose de médicaments à base de codéine le 10 mai dernier, après 10 jours dans le coma. Sa mère avait alors voulu sensibiliser l’opinion publique en lançant une pétition visant à interdire cette « nouvelle drogue des ados ». Elle avait recueilli 50 000 signatures. 

Marine Rondot

À lire aussi : Sexe, drogues, alcool : les étudiants négligent leur santé

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Une application mobile sera bientôt capable de diagnostiquer un mélanome

Une application mobile sera bientôt capable de diagnostiquer un mélanome

Le 8 février 2017.

Une application mobile pourra bientôt vous dire si le grain de beauté que vous trouvez suspect est en effet cancéreux. Des chercheurs américains se sont penchés sur le projet et les premiers résultats sont prometteurs.

Une technologie développée par Google pour détecter des mélanomes

Votre téléphone portable pourra bientôt faire le travail de votre dermatologue, ou en tout cas préparer son examen. Des chercheurs de l’université de Stanford, aux États-Unis, viennent de mettre au point un algorithme capable de détecter, parfois mieux que des spécialistes, des mélanomes ou autres grains de beauté malins.

Leurs travaux viennent d’être publiés dans la revue Nature et offrent une réelle avancée technologique dans le dépistage de cette forme de cancer de la peau très agressive. Pour parvenir à cette innovation, ces chercheurs ont utilisé un outil déjà développé par Google et qui permet au moteur de recherche de reconnaître des catégories d’objets. Cette technologie, baptisée « machine learning » a été détournée de son objectif principal pour servir à la médecine.

L’algorithme a enregistré plus de bons diagnostics que les dermatologues

Les auteurs de cette étude ont enregistré pas moins de 130 000 images dans une base de données qui a permis à l’algorithme « d’apprendre » à reconnaître un grain de beauté sain, d’un mélanome ou d’une autre lésion maligne. Pour tester ses facultés, cet outil a été mis en concurrence avec 21 dermatologues et tous ont se sont prêtés à un test durant lequel ils ont dû classer des images de grain de beauté en fonction de leur diagnostic.

Conclusion, la machine semble avoir gagné sur l’homme et l’algorithme a enregistré 69,4 % de précision dans ses réponses contre 65,8 % pour les dermatologues. Ces premiers résultats positifs doivent toutefois être confirmés sur des patients réels et ce n’est qu’ensuite que pourra naître une application mobile dédiée, qui aidera les patients à établir un premier diagnostic pour anticiper une visite chez le dermatologue.

À lire aussi : Grains de beauté : pourquoi faut-il surveiller sa peau ?

Sybille Latour

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Vue : réparer la cornée sera bientôt possible

Le 18 août 2016.

Des chercheurs australiens ont mis au point une méthode permettant de cultiver en laboratoire des cellules de cornées sur une mince couche de film.

Pénurie de donneurs de cornées

La cornée, pour rester efficace, doit être humide et transparente. Mais le vieillissement, et certains traumatismes, peuvent conduire à des lésions, comme le gonflement, qui se traduisent par une détérioration de la vision. Actuellement, le moyen le plus efficace consiste en une greffe. Mais il y a pénurie de donneurs pour satisfaire la demande mondiale. Sans oublier les risques de rejet et la nécessité de prendre des stéroïdes avec toutes les complications que cela entraîne.

En Australie, des scientifiques ont mis au point une technique pour cultiver en laboratoire des cellules de cornées sur une mince couche de film, qui peut ensuite être greffée pour restaurer la vision perdue suite à des lésions cornéennes. Le film est implanté sur la surface intérieure de la cornée du patient, à l’intérieur de l’œil, par l’intermédiaire d’une très petite incision.

Augmenter l’accès aux greffes de cornée

La méthode, qui a jusqu’à présent été réalisée avec succès sur des animaux, pourrait potentiellement augmenter l’accès aux greffes de cornée et changer la vie de 10 millions de personnes dans le monde.

« Nous croyons que notre nouveau traitement donne de meilleurs résultats qu’une cornée donnée, et nous espérons, à terme, utiliser les propres cellules du patient, ce qui réduit le risque de rejet », explique l’ingénieur biomédical Berkay Ozcelik, qui a dirigé la recherche à l’Université de Melbourne. « D’autres essais sont nécessaires, mais nous espérons voir le traitement mis à l’essai chez les patients de l’année prochaine»

À lire aussi : La vue après 45 ans

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Le corps de Yasser Arafat sera exhumé mardi

LE CORPS DE YASSER ARAFAT SERA EXHUMÉ MARDIRAMALLAH, Cisjordanie (Reuters) – Huit ans après son décès dans un hôpital militaire de la banlieue parisienne, le corps de Yasser Arafat sera exhumé mardi dans le cadre d'une enquête pour déterminer si l'ancien dirigeant palestinien a été assassiné. Taoufic al Tiraoui, qui préside la commission palestinienne chargée de superviser l'enquête, a déclaré samedi à la presse que cette exhumation constituait "une nécessité douloureuse". Les Palestiniens, a-t-il ajouté à Ramallah, détiennent "des éléments tendant à montrer que Yasser Arafat a été assassiné par les Israéliens". …



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