Archives par mot-clé : seront

Les chirurgies de l’obésité seront mieux encadrées en France

Les chirurgies bariatriques seront mieux encadrées et sécurisées, a annoncé la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, le 8 octobre.

Ces chirurgies ont triplé en 10 ans, passant de 20 000 à plus 60 000, ce qui fait de la France un des pays européens où cette pratique est la plus fréquente, indique le communiqué du ministère de la Santé.

Le communiqué précise :

« Des complications peuvent survenir pour près d’un patient sur quatre pour certains types d’opérations : complications digestives, risques liés à la perte de la masse musculaire mais aussi comorbidités telles que des carences nutritionnelles ou des difficultés psychologiques. »

« Dès 2020, la pratique de la chirurgie bariatrique serait soumise à une autorisation des centres pouvant la pratiquer sur la base de seuils d’activité et d’engagement à respecter des critères d’une prise en charge de qualité, notamment en termes de suivi des patients. »

« Entre 200 et 300 établissements, sur 500 aujourd’hui, pourraient se la voir refuser », rapporte Le Figaro.

« Dès 2020 également, chaque patient devra bénéficier d’une évaluation de son dossier dans le cadre d’une réunion de concertation pluridisciplinaire afin que lui soit proposé le traitement le plus pertinent compte tenu de son dossier médical. »

« Pour assurer l’organisation de ces parcours gradués entre la ville et l’hôpital, la ministre en confie le pilotage aux 37 centres spécialisés de l’obésité (CSO). Leurs missions seront renforcées pour assurer dans tous les territoires : la structuration des parcours, la diffusion des bonnes pratiques dès le repérage, l’appui pour la gestion des cas complexes et la tenue des réunions de concertation pluridisciplinaire entre la ville et l’hôpital. »

Pour plus d’informations sur la chirurgie bariatrique, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Ministère de la Santé, Le Figaro.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Homéopathie, acupuncture et autres « pseudo-thérapies » seront exclues des établissements de santé et universités en Espagne

Le gouvernement espagnol a présenté un plan pour exclure ce qu’il appelle les « pseudo-thérapies » des centres de santé et des universités.

Le plan prévoit aussi interdire les allégations de santé non prouvées et la publicité pour ces thérapies alternatives.

Les établissements publics et privés qui offrent des thérapies alternatives non validées scientifiquement ne pourront plus s’identifier comme établissements de santé, ont expliqué les ministres de la Santé et de la Science, citant les exemples de l’homéopathie et de l’acupuncture.

« Leur présence dans ces endroits donne l’idée qu’elles ont un usage thérapeutique. La première chose que nous devons dire clairement, c’est que ce n’est pas le cas. Et si elles n’en ont pas, cela n’a aucun sens qu’elles soient là », a expliqué la ministre de la Santé.

Le gouvernement considère que, en plus de ne pas fonctionner, les pseudo-thérapies « affectent négativement la santé en perpétuant des maladies, en causant d’autres maladies ou même en augmentant le risque de décès » en « encourageant une personne à remplacer ou à retarder la prise d’un médicament conventionnel dont l’innocuité et l’efficacité ont été démontrées ».

Le projet, intitulé « Plan de protection de la santé contre les pseudo-thérapies », s’articule autour de quatre axes d’action :

  1. « Produire et diffuser des informations fondées sur des connaissances et des preuves scientifiques » en soumettant les thérapies alternatives au même niveau d’examen que les médicaments et en publiant les résultats sur leur efficacité.

  2. Interdire la « publicité trompeuse » sur les « pseudo-thérapies ». Le gouvernement prévoit modifier la législation afin d’imposer que les patients soient avertis qu’elles n’ont pas d’efficacité démontrée lorsqu’elles leur sont offertes dans ces centres privés et afin d’interdire la publicité faisant la promotion de services, produits, événements ou toute autre chose ayant trait aux pseudo-thérapies.

  3. Éliminer les pseudo-thérapies des centres de santé et garantir que seuls des professionnels de la santé ayant une « qualification officiellement reconnue » y travaillent.

  4. Retirer tout diplôme incluant des pseudo-thérapies des universités du pays. Un rapport à venir clarifiera quelles « pratiques et méthodes » ne sont pas étayées par des preuves scientifiques et sera utilisé pour exclure les diplômes universitaires qui ne répondent pas aux critères.

Ce plan intervient deux mois après la signature par 400 scientifiques espagnols d’une lettre ouverte appelant à agir contre les pseudosciences suite au décès d’un patient atteint d’un cancer qui avait refusé la médecine traditionnelle.

Pour plus d’informations sur l’homéopathie et l’acupuncture, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : El Pais.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Ces médicaments qui seront désormais moins bien remboursés

Ces médicaments qui seront désormais moins bien remboursés

Le 3 juillet 2018.

Depuis le 1er juillet, plusieurs médicaments ont subi une importante baisse du taux de remboursement par la Sécurité sociale. On vous dit tout.

Des médicaments pas assez efficaces ?

Un article du 19 juin 2018, publié dans le Journal Officiel, nous a informé qu’à partir du 1er juillet, 5 médicaments seraient moins bien remboursés. Parmi eux, on trouve le Dilatrane 1%, sirop 200 ml. Il s’agit d’un traitement à base de théophylline qui est prescrit aux patients qui souffrent d’asthme et de BPCO (Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive). Son remboursement est passé de 60 à 30%.

Les autres médicaments touchés par cette mesure sont l’Andractim® (androstanolone), un gel en tube, prescrit en cas de déficit d’hormones mâles ou de gynécomastie chez la femme ; le Polygynax® et le le Polygynax Virgo® (sulfate de néomycine, sulfate de polymyxine B, nystatine), deux antifongiques et antibiotiques à usage local prescrit en cas d’inflammation du vagin ; et le Tergynan® (métronidazole, sulfate de néomycine, nystatine), comprimé vaginal qui permet également de traiter les vaginites.

4 médicaments prescrits contre la maladie d’Alzheimer déremboursés

Ces quatre médicaments ont vu leur taux de remboursement passer de 30% à 15%. Cette décision fait suite à un avis de la Commission de la transparence de la Haute Autorité de Santé, qui a jugé le service médical de ces médicaments trop faible. Cette mesure intervient après l’annonce du gouvernement de mettre fin au remboursement de 4 médicaments prescrits contre la maladie d’Alzheimer.

La ministre de la Santé Agnès Buzyn a en effet décidé que la Sécurité sociale ne rembourserait plus l’Aricept (du laboratoire Eisai), l’Ebixa (Lundbeck), l’Exelon (Novartis) et le Reminyl (Janssen). De nombreuses études ont montré que ces médicaments pouvaient entraîner des risques inutiles, voire sévères, sans bénéfice cliniquement significatif pour les patients. En ce qui concerne l’homéopathie, il faudra attendre encore pour connaître la décision des autorités de santé. 

Marine Rondot

À lire aussi : Comment fonctionne le remboursement d’assurance maladie ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les perruques seront bientôt mieux remboursées

Les perruques seront bientôt mieux remboursées

Le 22 juin 2018.

De nombreuses femmes touchées par un cancer portent une perruque. Le reste à charge pour les patientes est très élevé mais les choses vont bientôt changer.

Le quotidien difficile des femmes atteintes d’un cancer

Être touchée par un cancer réclame la mise en place de lourds traitements, qui ne sont hélas jamais exempts d’effets secondaires. Parmi eux, la chute des cheveux et les désagréments physiques et psychologiques qui y sont liés. 

Difficile de se regarder dans la glace, de sortir de chez soi et de reprendre une vie sociale normale. La perruque devient souvent la meilleure solution pour aller mieux et accepter sa maladie. Problème, une perruque coûte très cher et était jusqu’à présent mal remboursée par l’Assurance-maladie.

Agnès Buzyn veut changer la donne

Depuis le Plan cancer 3 mis en place en 2014, les perruques devaient être mieux remboursées, afin que le reste à charge des patientes baisse fortement. Malgré tout, aujourd’hui, une perruque coûte environ 400 euros et seuls 125 euros sont remboursés. Certaines malades ne peuvent se payer une perruque de bonne qualité et respectueuse de leur cuir chevelu fragilisé par les traitements.

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, anciennement à la tête de l’Institut national du cancer, a annoncé le 21 juin sur Cnews que les choses allaient changer et qu’elle souhaitait mieux rembourser les femmes s’achetant une perruque. La Haute Autorité de santé a été saisie car c’est à elle de déterminer les caractéristiques d’une perruque pour qu’elle soit remboursée. 

Maylis Choné

En savoir plus sur le cancer

 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Allergies : les pollens de graminées seront toujours en première ligne !

allergies

cenczi/Pixabay

Allergies aux pollens, ça continue. Ne vous fiez surtout pas aux conditions météo actuelles ! Si les nombreuses averses orageuses nous offrent quelques courts moments de répits, les concentrations de pollens seront fortes à la moindre éclaircie. Et tout comme les semaines précédentes, ce sont les graminées qui seront en première ligne. Le risque allergique associé à ces pollens sera majoritairement élevé à très élevé sur la quasi totalité des régions.

Mais les pollens de graminées ne seront pas les seuls à gêner les allergiques. Sur la côte méditerranéenne, il faudra aussi compter sur les pollens d’olivier,  de pariétaires et de chêne, avec un risque d’allergie moyen.

Pour le reste pas grand chose à signaler cette semaine. Pollens de plantains, d’oseille et d’urticacées seront bien présents mais avec un risque allergique généralement faible.

Et comme on se plaît à le répéter chaque semaine, les allergiques ne doivent pas oublier leurs traitements pour respirer correctement.

N’oubliez pas que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique vous offre la possibilité de recevoir chaque semaine par e-mail les prévisions du risque allergique des départements de votre choix. Pour cela vous pouvez vous inscrire en cliquant ici

Suivez vos symptômes d’allergies en remplissant le questionnaire journalier sur www.pollendiary.com

Source : Bulletin Allergo Pollinique – Réseau National de Surveillance

Réduire les symptômes d’une allergie aux pollens

Pour réduire les symptômes d’une allergie aux pollens, le Ministère de la Santé recommande d’éviter de fréquenter des lieux infestés ou de pratiquer des activités de plein-air lorsque les concentrations de l’air en pollens sont élevées. D’autres recommandations peuvent être formulées comme d’éviter de tondre la pelouse ou de ramasser des végétaux (feuilles…), de protéger ses yeux avec des lunettes de soleil, de se changer et de se doucher régulièrement, d’éviter le contact avec d’autres irritants pouvant amplifier les symptômes d’allergies tels que la fumée de tabac.

Symptômes de l’allergie pollinique

L’allergie est une réaction d’hypersensibilité initiée par une réaction immunitaire spécifique à une substance étrangère à l’organisme humain et appelée « allergène ». Il existe différents types d’allergènes (acariens, dans certains aliments, moisissures…). Certains pollens peuvent entraîner des réactions allergiques appelées « pollinoses » au niveau des zones de contact : muqueuses respiratoires et oculaires. Plus rarement, ils peuvent être responsables de réactions cutanées, telles que l’eczéma ou l’urticaire. L’allergie respiratoire se présente sous deux formes principales : la rhinite allergique et l’asthme allergique.

– La rhinite allergique

Dans le cas des pollens, la rhinite est dite saisonnière, on parle aussi de « rhume des foins », bien que cette appellation ne fasse référence qu’à la rhinite par allergie au pollen de graminées.

La rhinite allergique résulte d’une inflammation des voies aériennes supérieures (nez, rhinopharynx et larynx) qui provoque une congestion nasale obstructive et sécrétante qui peut atteindre différents niveaux de sévérité (faible, modérée et sévère). Les voies lacrymales et la conjonctive peuvent être atteintes de manière associée à la rhinite. Il s’agit alors de rhino-conjonctivite allergique, qui se traduit par des symptômes de démangeaisons des yeux, rougeur conjonctivale, larmoiement, paupières enflées et collées. Ces manifestations peuvent être intenses, répétées et donner lieu à des conjonctivites fréquentes. La rhinite allergique est par ailleurs un facteur de risque important de survenue de l’asthme, elle le précède souvent, contribuant aussi au contrôle insuffisant de l’asthme.

– L’asthme allergique

L’asthme allergique est une maladie inflammatoire des bronches (gonflement de la paroi des conduits aériens), conséquence de l’inhalation des allergènes en suspension dans l’air inhalé. Cette inflammation induit aussi une augmentation de la sensibilité des voies aériennes à d’autres stimuli. Cette maladie chronique se manifeste par des troubles respiratoires (dyspnée), avec une respiration sifflante (à l’expiration), un sentiment d’oppression thoracique, des épisodes récidivants de toux, un essoufflement après un effort, parfois une fatigue anormale brutale, une pâleur. Différents stades de l’asthme de gravité variable peuvent être identifiés, d’intermittent à persistant sévère. L’asthme est une maladie potentiellement mortelle.

Les études épidémiologiques montrent que les deux affections -rhinite allergique et asthme allergique- coexistent souvent chez un même individu. Au moins 80% des asthmatiques souffrent également de rhino-conjonctivite allergique, tandis qu’environ 20% des patients ayant une rhinite allergique sont également asthmatique. La rhinite allergique multiplie le risque d’apparition de l’asthme d’un facteur 4 environ.

Source : Ministère de la Santé

Le saviez-vous

Vous souffrez d’asthme ou d’allergies ? Alors préférez vivre à la ferme ! Selon une très sérieuse étude, dont les résultats ont été publiés il y a quelques mois dans la revue spécialisée « Science », les enfants vivant dans cet environnement seraient davantage protégés contre l’asthme et les allergies respiratoires.

L’un des auteurs de l’étude, le professeur Bart Lambrecht, a déclaré à ce sujet «A ce stade, nous avons mis en évidence un lien entre la poussière dans les fermes et la protection contre l’asthme et les allergies».

Puis d’expliquer comment ils sont arrivés à cette conclusion «Pour ce faire, nous avons exposé des souris à de la poussière prélevée dans des fermes en Allemagne et en Suisse. Les tests ont ensuite révélé que ces souris étaient totalement protégées contre l’allergie aux acariens, le cas d’allergie le plus courant chez les humains».

Les scientifiques ont aussi analysé les données de santé de près de 2000 personnes ayant grandi ou pas dans une ferme. Verdict : une grande majorité de celles ayant vécu dans une ferme n’étaient pas enclins aux allergies ou à l’asthme.

Et les les autres alors ? Ils souffraient d’une carence en protéine A20. Cette étude a aussi permis de révéler que cette protéine permettait de «rendre la muqueuse des voies respiratoires moins réactive aux allergènes comme les acariens». Et c’est l’inhalation régulière des poussières présentes dans les fermes qui permettrait justement à cette protéine d’être produite naturellement par le corps humain

News Santé

Revenu de base : ceux qui seront admissibles devront patienter 66 mois (Québec)

Dans son Plan d’action gouvernemental pour l’inclusion économique et la participation sociale 2017-2023, Québec établit un revenu de base qui atteindra 18 000 $ en 2023. « Mais ceux qui se qualifieront devront être bénéficiaires de l’aide sociale depuis 65 mois avant de pouvoir obtenir ce soutien », souligne Le Devoir.

« Il n’y aura pas d’exception, avertit la garde rapprochée du ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais », précise le quotidien.

« Cela signifie que toute personne handicapée devra patienter 66 mois afin de bénéficier du nouveau programme, et ce, peu importe la nature et la gravité de son handicap physique, mental ou psychologique. »

« Il y a désormais les “mauvais pauvres” [ceux sans contraintes sévères à l’emploi], les “bons pauvres” [ceux ayant des contraintes sévères à l’emploi reconnues par le ministère depuis moins de 66 mois], puis les “bons pauvres plus, plus” [ceux ayant des contraintes sévères à l’emploi reconnues par le ministère depuis plus de 66 mois] », se désole le porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté, Serge Petitclerc.

Au 31 mars 2017, sur les quelque 400 000 prestataires de la solidarité sociale, 128 320 avaient des contraintes sévères à l’emploi. Plus de 44 000 d’entre eux (35 %) seraient inadmissibles au Programme du revenu de base puisqu’ils n’ont pas été inscrits « au moins 66 mois au cours des 72 derniers mois.

Le plan prévoit, en 2023, un revenu disponible de 18 000 dollars par année — 5280 $ de plus qu’aujourd’hui — aux personnes seules souffrant de contraintes sévères à l’emploi. En 2018, celles-ci toucheront 13 625 $ — 876 $ de plus qu’aujourd’hui.

Alors que pour les bénéficiaires de l’aide sociale n’ayant pas de contrainte reconnue à l’emploi la prestation de base des personnes seules passera de 9389 $ à 9929 $ en 2023, ce qui représente 55 % du seuil de pauvreté.

Dans Le Devoir :

Sur Psychomédia : Près de 300 professeurs d’université dénoncent la réforme de l’aide sociale (Québec, 2016)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

11 vaccins infantiles seront obligatoires dès le 1er janvier

11 vaccins infantiles seront obligatoires dès le 1er janvier

Le 1er septembre 2017.

Voilà une nouvelle qui risque d’entraîner une levée de boucliers : la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, vient d’annoncer que l’entrée en vigueur des 11 vaccins obligatoires pour les enfants sera effective au 1er janvier 2018.

Les vaccins recommandés deviennent obligatoires

C’est décidé, à partir du 1er janvier, les enfants devront être vaccinés contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), mais aussi contre la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque et le méningocoque C. Ces huit derniers vaccins étaient jusqu’à présent uniquement recommandés mais pas obligatoires.

« Nous laisserons évidemment le temps aux familles de se mettre en ordre de marche car il est hors de question de pousser les gens à vacciner dans l’urgence », a avancé la ministre de la Santé, au micro de CNews. « L’idée c’est que les 15 % des enfants qui mettent en danger les autres et qui favorisent la réémergence d’épidémies pour lesquelles il y a des morts aujourd’hui se mettent en ordre de marche pour protéger le reste de la population ».

Un lien entre la vaccination pédiatrique et l’autisme ?

Des propos qui ont réveillé la colère de nombreuses associations et de parents qui préfèrent avoir la liberté de choisir. Certains estiment qu’il existe un lien entre la vaccination pédiatrique et l’autisme, d’autres dénoncent la pression des laboratoires pharmaceutiques qui seront les grands gagnants d’une telle décision. Déjà, l’association Autisme vaccinations a lancé des actions en justice contre 4 laboratoires pharmaceutiques.

Mais que risquent concrètement les parents qui refuseront de faire vacciner leurs enfants ? Si jusqu’à présent les condamnations ont été rares, l’article L3116-4 du code de la santé publique prévoit une peine de six mois d’emprisonnement et 3 750 € d’amende en cas de refus de vaccination. Quant au code pénal, il estime que le fait de se soustraire à ses obligations légales en matière de santé peut valoir jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.

Marine Rondot

À lire aussi : Vaccination : idées et débats actuels

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Deux psychologues seront jugés pour leur contribution à la torture de la CIA

Deux psychologues qui ont aidé à concevoir et à administrer le programme d’interrogatoire de la CIA après le 11 septembre subiront un procès en septembre.

Un tribunal fédéral de l’État de Washington a autorisé, le 7 août, la tenue d’un procès devant jury, rejetant ainsi les tentatives du gouvernement d’obtenir un règlement négocié afin d’empêcher un procès public.

La poursuite, engagée par l’American Civil Liberties Union (ACLU) au nom de trois anciens prisonniers, vise deux psychologues, James Mitchell et Bruce Jessen, recrutés par la CIA en 2002 pour concevoir et aider à mener des interrogatoires.

Les deux premiers prisonniers, le Tanzanien Suaniman Abdullah Salim et le Libyen Mohamed Ahmed Ben Soud, ont été libérés après plusieurs années de détention, alors que le troisième, Gul Rahman, est mort d’hypothermie dans une cellule de la CIA en 2002.

Les psychologues auraient reçu 80 millions de dollars pour leur travail, selon l’AFP.

« La décision du tribunal signifie que pour la première fois les personnes responsables du programme brutal et illégal de torture de la CIA seront confrontées aux conséquences judiciaires de leurs actes », a déclaré l’avocat de l’ACLU, Dror Ladin, dans un communiqué.

Les deux psychologues ont notamment souligné que la décision d’utiliser ces méthodes de torture a été prise par la CIA et approuvée par le ministère de la Justice et, qu’ils ne peuvent donc pas être tenus responsables.

Torture : après des années de mensonges, l’American Psychological Association s’excuse pour sa collaboration (2015)

Psychomédia avec sources : Le Devoir (AFP), Washington Post (Associated Press)
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Vaccin contre la grippe : qui seront les pharmaciens habilités ?

Vaccin contre la grippe : qui seront les pharmaciens habilités ?

Le 16 juin 2017.

À l’automne prochain, vous pourrez être vacciné contre la grippe par votre pharmacien. Mais comment cela se passera-t-il ? On vous dit tout.

Améliorer la couverture vaccinale

Selon un arrêté publié en 2017, les pharmaciens de deux régions pourront vacciner contre la grippe saisonnière dans le cadre d’une expérimentation. Mais comment saurons-nous qui est habilité à le faire ? Le Haut Conseil à la Santé Publique (HCSP) a recommandé aux pharmaciens habilités d’être « repérables par le public ». Vous verrez donc dans les vitrines des slogans du type : « Votre pharmacien vous vaccine contre la grippe », ou « Ici on vaccine ».

Cette expérimentation a pour objectif d’améliorer la couverture vaccinale. Si 75 % des personnes à risque (femme enceinte, personnes âgées ou malades) devraient être vaccinées chaque année, moins de 50 % se rendent chez leur médecin pour le faire. Il fallait donc rendre la vaccination plus accessible. Le dispositif sera expérimenté pendant trois ans en régions Auvergne Rhône-Alpes et Nouvelle-Aquitaine.

Qui pourra être vacciné par son pharmacien ?

Dans quelles contions cette vaccination pourra-t-elle se faire ? Le HCSP a dévoilé les contours de ce dispositif. Tout d’abord, les pharmaciens ne pourront pas vacciner les personnes immuno-déprimées, ainsi que celles qui ont présenté une réaction allergique lors d’une vaccination antérieure, celles qui sont sous traitement anticoagulant ou sous anti-agrégants plaquettaires, ainsi que les enfants et les femmes enceintes.

Ces différents patients devront se rendre chez le médecin qui pourra déterminer si la vaccination est nécessaire. En clair, les pharmaciens ne pourront vacciner que les adultes de 18 ans et plus ayant déjà été vaccinés une fois contre la grippe saisonnière. Par ailleurs, cette vaccination sera automatiquement communiquée au médecin traitant. Enfin, le pharmacien devra faire signer aux patients un acte de consentement éclairé.

Marine Rondot

À lire aussi : La prévention de la grippe

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les 12 coups de minuit seront féériques avec Lolita Lempicka

Lolita Lempicka, un nom dont la simple évocation invite à un voyage vers un monde merveilleux.

Et pour ne pas faillir à sa réputation de créatrice d’enchantement, pour les fêtes de fin d’année la marque revient cette année encore avec une nouvelle Eau de Minuit en édition limitée. Tout simplement féérique.


L’Eau de minuit 2013,
déclinaison du Premier Parfum, se veut sublime ambassadrice d’une nature envoûtante où l’imaginaire est roi.

Comme aucune autre, l’Eau de Minuit nous transporte dans un conte, au cœur de la nuit où seule la lumière d’un ciel étoilé nous éclaire. On se laisse alors guider par ses notes douces et sucrées de fleur de réglisse, de vanille de myrrhe, de jasmin et d’iris.

Une nouvelle variation très sensuelle du Premier Parfum dont le flacon sombre teinté de mystère et d’or se fait plus désirable que jamais.

(Premier Parfum, Eau de Minuit, Lolita Lempicka. Disponible en parfumeries, grands magasins et en ligne sur le site Lolita Lempicka : www.parfumslolitalempicka.com. Vaporisateur 100 ml, Prix indicatif : 92 €)

Publié le 20 décembre 2013

Commander les produits LOLITA LEMPICKA sur Internet :

Sephora 7€ de remise dès 70€ d’achat sur Sephora.fr

Beauty Success Cette marque est commercialisée
chez Beauty Success

Marionnaud Cette marque est commercialisée
chez Marionnaud

Douglas Cette marque est commercialisée
chez Douglas

Nocibé Cette marque est commercialisée
chez Nocibé

D’autres articles à propos de LOLITA LEMPICKA pouvant vous intéresser

LOLITA LEMPICKA  
Mon Rouge de Lolita Lempicka, nouvel objet de désir

Lolita Lempicka, après le succès de ses parfums, se lance à présent dans le maquillage. Sa première création ? Un lipstick…

Elle L'Aime, le nouveau parfum de Lolita Lempicka

Dans quelques jours sera lancé Elle l’aime, le nouveau parfum de Lolita Lempicka. Un floral blanc incandescent, un hymne à l’amour en majuscules.

Noir Couture, une nouvelle édition collector de l'Eau de Minuit signée Lolita Lempicka

Pour ce rendez-vous de fin d’année tant attendu, Lolita Lempicka ne va, encore une fois, pas décevoir ses addicts avec Noir…

D’autres articles du Magazine pouvant vous intéresser

A chaque besoin son Aqualia Thermal par Vichy

Pour aller encore plus loin et répondre au plus près aux besoins de la peau, Vichy décline…

Natasha Poly, un nouveau visage pour L’Oréal Paris

A 25 ans, Natasha Poly se distingue par son parcours insolite. Originaire de Perm, petite ville de…

Une collection hommage à Guy Bourdin en exclusivité chez Sephora

Avec ses mises en scène suggestives et non conformistes, Guy Bourdin a révolutionné la…

Rendez-vous chez Nose pour découvrir Une Nuit à Bali

Une Nuit A Bali est une jeune marque de parfums et de cosmétiques dédiés au corps dont les…


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté