Archives par mot-clé : sexe

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Le 11 octobre 2018.

Une étude américaine, réalisée par des chercheurs de l’université d’Utah, révèle une corrélation entre la taille du pénis et l’infertilité.

Un sexe plus court pourrait provoquer des problèmes de fertilité

Cette nouvelle enquête, menée auprès de 815 participants, révèle que la taille du pénis aurait un impact sur les perspectives de fertilité. Ces résultats ont été présentés au cours de la conférence de l’American Society for Reproductive Medicine, qui s’est tenue jusqu’au 10 octobre dernier.

Les scientifiques ont démontré que les hommes présentant des signes d’infertilité avaient un pénis d’environ 12,5 cm en érection, contre une moyenne de 13,4 cm pour les hommes fertiles. Une différence d’1 centimètre seulement changerait ainsi la donne. Selon le directeur de l’étude, le docteur Austen Slade, « ce n’est peut-être pas une différence frappante mais il y a une réelle signification statistique ».

La taille du pénis serait-elle véritablement un handicap pour concevoir ?

Ces résultats sont à interpréter avec prudence. En effet, l’étude ne donne pas d’indication sur la taille « minimale » d’un pénis qui pourrait engendrer l’infertilité, et se garde bien également de donner des explications sur le fait qu’un pénis plus court serait moins fertile.

La fertilité masculine est en baisse constante depuis de nombreuses années. D’autres études révèlent que des facteurs tels que l’environnement, la consommation de tabac ou le stress, auraient également un impact sur la possibilité d’avoir un enfant.

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Le micropénis

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Sexe, drogues, alcool : les étudiants négligent leur santé

La Smerep, une mutelle étudiante, a publié le 29 juin son étude annuelle sur la santé des jeunes. Bilan : alcool, drogues, cigarettes, malbouffe, automédication et manque de sommeil. La santé des Français de 14 à 24 ans se détériore…

45 % des jeunes ont recours à l’automédication pour se soigner

L’an passé, 12 % des jeunes se déclaraient en mauvaise santé. Avec une augmentation de trois points en 2016, cet indicateur a de quoi inquièter les mutuelles étudiantes : près d’un jeune sur 6 se dit en mauvaise santé. En cause, le budget réduit des étudiants ( 379 € / mois) combiné à des habitudes de vie risquées. Or, la santé n’est pas le poste de dépenses privilégié par les étudiants qui, par exemple, favorisent largement leurs sorties à leur alimentation.

Conséquence : 90 % des étudiants française ne consultent pas un médecin aussi souvent qu’ils le devraient. Pire encore, près de la moitié d’entre eux (45 %) assument recourir à l’automédication pour se soigner. Un comportement dangereux, dont la pratique a considérablement augmenté depuis l’an passé (38 %).

77 % des étudiants ne se font pas systématiquement dépister

Par ailleurs, les 14-24 ans semblent majoritairement insensibles aux campagnes de prévention suivies durant leur parcours scolaires. Alors que plus de la moitié des étudiants (54 %) ne se protègent pas systématiquement avec un préservatif lors de leurs rapports, 77 % d’entre eux admettent ne pas se faire dépister à chaque fois qu’ils changent de partenaire sexuel.

Dans la même lignée, 1 étudiant sur 10 pense qu’il est possible de guérir du Sida, tandis qu’encore un tiers d’entre eux ont des croyances erronées sur les différentes manières d’être contaminé par une maladie sexuellement transmissible (MST). Enfin, plus d’un quart des étudiants sont fumeurs et 30 % d’entre eux ont déjà consommé des drogues (cannabis, amphétamines, cocaïne, héroïne).

Les virus s’adapteraient au sexe de la personne qu’ils infectent

Les virus s’adapteraient au sexe de la personne qu’ils infectent

Le 15 décembre 2016.

Les virus s’adapteraient au sexe de la personne qu’ils contaminent, dans un réflexe stratégique de propagation. Une étude britannique vint de révéler cet étrange phénomène.

Les virus détectent le sexe avant d’attaquer

Les virus auraient-ils un faible pour les femmes ? C’est ce que suggère une récente étude publiée dans la revue Nature Communication. Par « instinct de survie » ou par stratégie, les virus auraient la faculté de déterminer le sexe de la personne qu’ils contaminent, afin de réagir de façon plus ou moins virulente.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs Francisco Úbeda et Vincent Jansen, chercheurs à l’École des sciences biologiques de l’université Royal Holloway, à Londres (Royaume-Uni), se sont intéressés à un type de virus en particulier : les HTLV-1 (virus lymphotrope T-1 humain). Ce dernier, peur répandu en France, l’est davantage au Japon, dans les Caraïbes, en Amérique Latine et en Afrique tropicale. Il peut provoquer une leucémie chez ceux qui sont infectés.

Les Japonais ont jusqu’à 3,5 fois plus de risque de mourir d’une leucémie

Or, les chercheurs ont remarqué qu’au Japon et dans les Caraïbes, le virus infectait différemment les hommes et les femmes. Dans les Caraïbes, les deux sexes semblent réagir de la même manière à l’infection et aucune différence notable n’est à signaler. Mais au Japon, les hommes sont davantage susceptibles d’être victimes d’une leucémie que les femmes. Comme si le virus était plus virulent chez eux que chez les femmes.

Les chercheurs ont alors émis une hypothèse : celle de la stratégie d’attaque. Au Japon, les femmes allaitent leurs enfants et, pour la plupart, assez longtemps, contrairement aux Caraïbes, où cette pratique est moins répandue. Si le virus HTLV-1 apparaît de manière moins violente chez les Japonaises, ce serait uniquement pour passer inaperçu et se propager plus rapidement. Résultat, au Japon, les hommes ont 2 à 3,5 fois plus de risque de mourir d’une leucémie provoquée par ce virus, que les femmes.

À lire aussi : Virus : pourquoi ils préfèrent nous attaquer l’hiver…

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

SEXE : ORL 101, le nouveau Viagra féminin

Share Button

L’ORL 101 est le nom du nouveau « Viagra féminin » qui devrait faire son apparition sur le marché en 2015. Ce médicament actuellement à l’étude en Grande Bretagne a été développé par le laboratoire ORLIBID. Ce médicament aurait également un effet coupe-faim.

ORL 101, un viagra nouvelle génération développé à partir de mélatonine de synthèse, une hormone connue notamment pour réguler le sommeil, peut augmenter la libido des femmes pendant environ 2 heures, dès le quart d’heure suivant sa prise, tout en réduisant leur appétit.

Les scientifiques n’expliquent pas entièrement pourquoi cette petite pilule bleue destiné à doper l’appétit sexuel des femmes agit également comme un coupe-faim.

Mike Wyllie, l’un des concepteurs de la pilule du nom de ORL 101, ce médicament en phase d’essai clinique sera pour toutes les femmes, aussi bien celles qui souffrent de dysfonction sexuelle que celles qui veulent simplement améliorer leur vie sexuelle.

Le laboratoire ORLIBID pourra commercialiser l’ORL 101 à partir de 2015 pour la modique somme de 15€ l’unité.ORL 101

Google+

Commentaires


Top Actus Santé

Ne croyez pas l’histoire de la drogue krokodil qui aurait «pourri le sexe» d’une adolescente au Mexique

Quand plusieurs sites américains reprennent la même information venant de médias mexicains en indiquant à chaque fois dans leur titre que celle-ci n’est pas totalement vérifiable ou vérifiée, il y a généralement de quoi être prudent. «Une adolescente mexicaine se serait injectée du krokodil dans les parties génitales», titrait par exemple le Huffington Post vendredi 6 décembre. «Une adolescente affirme que le Krokodil a mangé ses organes génitaux», écrivait Gawker trois jours plus tard.

Vous avez probablement déjà entendu parler de la «drogue crocodile» (krokodil en anglais), cette drogue composée de codéine, de carburant et de diluant pour peinture apparue en Russie au cours des années 2000 que nous évoquions ici-même en septembre. Ses effets dévastateurs marquent généralement les esprits: décomposition de la chair jusqu’à l’os, gangrène, amputation, défaut d’élocution, lésions cérébrales et mobilité réduite. Autre fait effrayant, selon un article du magazine américain Time de 2011: «Un consommateur régulier de krokodil meurt au bout de deux ou trois ans, et ceux qui surmontent leur addiction en ressortent souvent défigurés.»

Après avoir fait d’importants dégâts en Russie, où elle compterait entre 100.000 et 1 million d’utilisateurs, et avoir été plusieurs fois annoncée comme envahissant les Etats-Unis, voilà donc qu’elle se répandrait chez le voisin mexicain. La preuve? Cette citation de José Sotero Ruiz Hernandez, un membre de l’Institut national mexicain de la migration, rapportée par les médias locaux et traduite par le Huffington Post:

«La jeune femme qui a utilisé cette drogue avait une infection qui avait fait pourrir ses parties génitales. Ce n’était pas sexuellement transmissible. Elle a dit qu’elle consommait du krokodil depuis deux mois.»

Pour un cas bien documenté et solide, il faudra repasser. On retrouve ici une autre spécificité du krokodil: le flou médiatique et le manque d’informations fiables qui l’entoure.

Le Huffington Post lui-même souligne qu’il n’y a pas eu de cas confirmé de consommation de krokodil aux Etats-Unis depuis 2004, et écrit:

«Les sceptiques affirment que les cas où des consommateurs de drogue en intraveineuse présentaient des plaies écailleuses ou de la chair pourrie associées au krokodil pourraient être dus à des infections contractées après l’utilisation de seringues sales.»

Jeudi dernier, le magazine Time, décidément très intéressé par la drogue, publiait un reportage photo saisissant sur les dégâts du krokodil dans un repère de drogués de Yekaterinburg en Russie intitulé: «La drogue la plus mortelle du monde: à l’intérieur d’une fabrique de krokodil».

Là encore, le raisonnement du journaliste est difficile à suivre: après avoir écrit qu’il y a «désormais des histoires alarmantes selon lesquelles le monstre serait lâché aux Etats-Unis», il se reprend lui-même en concédant que «les responsables de la lutte contre les drogues estiment que les peurs d’une épidémie de krokodil imminente sont exagérées».

Interrogé récemment par le Colombus Dispatch, le docteur Henry Spiller, directeur du Centre sur le poison de l’Ohio, était lui aussi pour le moins sceptique:

«Il n’y a pas de krokodil aux Etats-Unis. Nous le cherchons depuis quelques temps. Personne n’a d’échantillon vérifié dans son laboratoire. Aucun. Zéro.»

En fait, le seul cas crédible de consommation de krokodil aux Etats-Unis a été rapporté cet automne dans un article sur le site de l’American Journal of Medecine où des docteurs affirmaient avoir traité un patient pour consommation de krokodil en 2012. Quelques semaines plus tard, l’article était retiré temporairement du site parce qu’il avait été «publié prématurément avant d’avoir été entièrement vérifié», selon une porte-parole de l’hôpital où le mystérieux patient aurait été traité. Le retrait de l’article n’a pas étonné certains blogueurs scientifiques qui avaient déjà critiqué sa faiblesse méthodologique, sa terminologie imprécise et sa «grammaire catastrophique».

Cet article est donc à oublier, ce qui nous laisse… aucun cas de consommation de krokodil vérifié aux Etats-Unis. L’article du Colombus Dispatch explique d’ailleurs pourquoi la drogue ne prendra sans doute jamais aux Etats-Unis: elle est utilisée en Russie et en Europe de l’Est parce que la vraie héroïne est rare et que les drogués préfèrent consommer un substitut d’héroïne qui leur dévore la peau plutôt que pas d’héroïne du tout. Mais aux Etats-Unis, l’héroïne est facile à trouver, et les consommateurs n’ont aucune raison d’en arriver à de tels extrêmes.

Faites l’amour trois fois par semaine pour paraître plus jeune

Pour vous sentir et sembler plus jeune, faites l’amour trois fois par semaine ! Adopter ce rythme permettrait en effet de paraître sept à douze ans de moins que son âge, selon les résultats d’une étude menée par le Pr David Weeks, neuropsychologue de l’Hôpital Royal d’Édimbourg, et son équipe. Pour parvenir à cette conclusion, il a fallu observer pendant dix ans 3 500 hommes et femmes âgés de 20 à 104 ans, originaires d’Amérique et d’Europe.

Si faire l’amour plus souvent que ses voisins rend heureux, coucher trois fois par semaine rend donc plus jeune. Mais attention, dépasser ce rythme hebdomadaire n’apporterait aucun bénéfice supplémentaire. Rien ne sert donc de programmer des ébats tous les soirs. Autre précision : le Pr Weeks précise que changer régulièrement de partenaire ou être infidèle ne contribue pas au rajeunissement apparent… Au contraire.

Les nombreux bienfaits du sexe

L’étude démontre également qu’une vie sexuelle intense comporte de nombreux autres bienfaits sur l’organisme.

Ainsi, les hommes qui éjaculent plus de vingt fois par mois voient leur risque de cancer de la prostate réduit d’un tiers par rapport à ceux qui le font moins de huit fois par mois, selon une étude publiée en 2004 dans le Journal of The American Medical Association. Quant aux femmes, une stimulation régulière de leurs seins et de leurs mamelons aiderait à diminuer le risque de cancer du sein, d’après une étude du Pr Murrel, de l’université d’Adélaïde (Australie), publiée en 1995.

La sexualité jouerait également un rôle déterminant dans « la régulation des émotions et le maintien du bien-être psychologique », notamment chez les individus épanouis dans leur couple, selon une étude de 2012, réalisée par le psychologue Tsachi Ein-Dor et son collègue de l’École de psychologie du Centre interdisciplinaire d’Herzliya en Israël.

Et si vous pensez ne pas pouvoir tenir le rythme d’une bonne nuit de sexe trois fois par semaine, le Pr Weeks et son équipe recensent d’autres manière de préserver la jeunesse de notre corps et de notre esprit. Parmi ceux-ci : « avoir des activités sociales avec des personnes de tous âges, être marié ou en couple avec une personne plus jeune, et, pour les femmes, prendre un traitement hormonal de la ménopause le cas échéant ».

Le sexe dans tous les États

INFOGRAPHIE – Les contours de la vie intime évoluent aux quatre coins de la planète, révèle le récent Atlas mondial des sexualités.

Les Grecs sont les champions d’Europe du nombre de rapports sexuels par mois(11,5) devant les Français qui se classent sixièmes avec 10 rapports mensuels. Un Norvégien sur quatre a déjà expérimenté le triolisme (sexe à trois). Ces données peuvent sembler amusantes, voire anecdotiques, d’autant que les déclarations sur l’intimité sexuelle sont toujours à prendre avec des pincettes. Mais ces chiffres ont le mérite de faciliter les comparaisons. L’Atlas mondial des sexualités qui vient de paraître aux éditions Autrement regorge ainsi d’informations efficacement mises en cartes et d’infographies parfois surprenantes. Par exemple sur la prostitution: en Italie, celle-ci est largement dominée par les migrations avec plus de neuf travailleuses du sexe sur dix venant d’un pays étranger, contre une sur cinq en Angleterre.

• Acculturation sexuelle

La dernière étude vraiment robuste au niveau international a été réalisée en 2006 auprès de 27.500 personnes âgées de 40 à 80 ans, issues de 29 pays dont la France, sous la houlette des sociologues de l’université de Chicago. Elle montre que la satisfaction sexuelle est d’autant plus forte que l’égalité des sexes est la règle dans un pays. La France est plutôt bien placée avec la moitié des Français heureux dans leur relation de couple et environ 3 sur 4 satisfaits dans leur relation sexuelle. Les plus mal lotis sur ces deux critères étaient les Japonais (en bas à gauche sur l’infographie) cependant que les Autrichiens étaient les plus heureux en couple et sexuellement (en haut à droite). Il existe aussi des phénomènes d’acculturation susceptibles de modifier le comportement sexuel. A L’université du Texas, le Pr Cindy Meston a montré que les étudiants américains d’origine asiatique avaient des comportements sexuels plus conservateurs que ceux d’origine hispanique. L’étude montrait aussi (…)

Lire la suite sur Figaro.frLes rencontres en ligne font des mariages plus heureux
Diabète : révolution dans le traitement par l’insuline
De plus en plus de médecins étrangers en France
La sueur favorise la coopération entre les hommes
Inscrivez vous à la newsletter du Figaro


News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR

Sexe : Ses bienfaits pour la santé

Faire l’amour ne fait pas maigrir, mais le sexe a d’autres vertus pour la santé. Le sexe apaise, augmente l’espérance de vie, rend plus intelligent et prévient certains cancers. Faire l’amour 2 à 3 fois par semaine augmenterait l’espérance de vie d’environ 10ans. Chez les femmes, une activité sexuelle régulière a un rôle protecteur sur le sein. En effet, la stimulation des tétons et l’orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique sur le sein. Le sexe nous procure aussi plaisir et jouissance extrême.

– Faire l’amour est bon pour la santé

En plus des sensations intenses qu’il procure, le sexe est bénéfiques pour la santé humaine. Faire l’amour augmente l’espérance de vie, prévient les coups de blues et l’apparition de problèmes cardiaques.

Des chercheurs américains viennent de faire tomber le mythe qui dit qu’un rapport sexuel consomme 300 calories, soit autant de calories qu’on brûle en pratiquant un sport d’endurance. L’étude publiée par le New Journal of Medicine montre que le sexe ne permettrait de brûler qu’une vingtaine de calories. Par exemple, un homme de 70 kilos âgé d’une trentaine d’années peut espérer dépenser 21 calories pour un rapport sexuel de six minutes.

En revanche, des études concernant les effets sur la santé des rapports sexuels soulignent les bénéfices de cette activité sur la durée de vie et la prévention de certaines maladies.

– Le sexe augmente l’espérance de vie

Une activité sexuelle régulière ferait baisser le taux de mortalité chez l’homme. Faire l’amour 2 à 3 fois par semaine augmenterait l’espérance de vie d’environ 10ans, selon des études suédoises et américaines récentes.

Sexe bon pour la santé

Act Psychiatr Scand révèle que le taux de mortalité est plus élevé que la moyenne chez les hommes de 70 ans qui ont cessé depuis décennies leur activité sexuelle. Mais les bénéfices de la sexualité ne concernent pas que les seniors.

Une étude sur la proportionnalité entre le nombre de rapports sexuels et la baisse du taux de mortalité parue dans le British Medical Journal a démontré que le taux de mortalité des hommes avec au moins deux relations sexuelles par semaines est deux fois plus bas que le taux de mortalité de ceux qui en ont moins d’une par mois.

– Le sexe protège le cœur

Les vertus thérapeutiques de l’activité sexuelle concernent aussi le cœur. De nombreuses études ont montré une baisse des risques cardiaques liés à la fréquence des relations sexuelles pour les deux sexes.

Sexe et ménage

Une publication de la revue Epidemiol Community Health souligne que la baisse des risques cardiaques associée à la fréquence des relations sexuelles est en partie liée à l’effort physique des deux conjoints qui permet d’éliminer les toxines, d’activer la circulation veineuse et de muscler le cœur. C’est sa sollicitation qui va directement influer sur sa santé.

La fréquence cardiaque passe de 75 pulsations par minute à plus de 100 pulsations par minute pendant la période d’excitation, voire 180 pulsations au moment de l’orgasme. Faire l’amour est un excellent exercice pour le muscle cardiaque qui a besoin de travailler pour bien se porter.

– Le sexe prévient certains cancers

Une étude américaine portant sur 2 573 Sœurs catholiques âgées de 50 à 84 ans a montré une augmentation chez les nonnes du taux de mortalité lié aux cancers du sein et de l’appareil génital. L’absence de relations sexuelles et de grossesses pourrait expliquer ces chiffres.

La Journée mondiale contre le cancer organisée par Union Internationale Contre le Cancer (UICC) aura lieu le 4 février 2013. A cette occasion, 248 campagnes seront organisées dans une soixantaine de pays à travers le monde.

Le Breast Cancer Res Treat souligne que les préliminaires sont aussi bons pour la santé. Par exemple, la stimulation des tétons chez la femme produit l’ocytocine, une hormone qui prévient l’apparition du cancer du sein.

Les chercheurs ont découvert que cette hormone est libérée en grande quantité lors de l’orgasme et que l’activité sexuelle joue un rôle protecteur contre le cancer du sein.

Faire l’amour pourrait aussi prévenir l’apparition du cancer de la prostate, premier cancer masculin touche 40 000 hommes par an en France. La baisse du risque de cancer de la prostate serait liée à une augmentation de la fréquence des orgasmes, selon une étude japonaise.

Une autre étude parue dans le Journal of the American Medical Association montre que l’acte sexuel répété au moins 3 fois par semaine réduirait de 15 % le risque de développer un cancer de la prostate.

– Le sexe, un antidépresseur naturel

Faire l’amour serait plus efficace que tous les anti-stress disponibles sur le marché, selon une étude menée par le psychologue américain Stuart Brody et publiée par le Biological Psychology.

Maladies psychiatriques

D’après ses travaux, les personnes ayant réalisé un rapport sexuel avec pénétration étaient moins stressées et voyaient leur tension artérielle revenir à la normale plus rapidement que celles qui avaient préféré l’abstinence ou qui avaient eu d’autres types d’activités sexuelles (fellation, masturbation, etc).

« Ces effets ne sont pas uniquement liés à l’apaisement de court terme suivant l’orgasme, mais perdurent pendant au moins une semaine », a déclaré le Dr Brody qui soutient que les bénéfices du sexe sont distincts des traits psychologiques dese individu.

– Le sexe est bon pour le moral

Le sexe est un tranquillisant, un antidépresseur ou un somnifère naturel. Le relâchement physique et psychique observé dans les instants suivant l’orgasme serait dû à la libération d’endorphines durant l’acte sexuel. Des hormones qui ont une influence la gestion du stress et l’humeur.

La phase d’endormissement provoqué par l’orgasme est plus rapide chez l’homme que chez la femme.