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AVC de l’enfant : repérer les signes rapidement

AVC de l'enfant : repérer les signes rapidement

Mercredi 6 novembre 2019

L’AVC, plus connu chez les adultes, touche également les enfants. Savoir reconnaître les signes au plus vite est essentiel.

Repérer les signaux d’alerte

Chaque année, un millier d’enfants et d’adolescents sont victimes d’un accident vasculaire cérébral. Comme chez l’adulte, le temps de prise en charge est primordial pour l’AVC, afin d’augmenter les chances de récupération.

Des signes avant-coureurs tels qu’une déformation de la bouche, des troubles de la parole et de la vision, un mal de tête soudain, des vomissements, une faiblesse d’un côté du corps et des crises convulsives doivent alerter. L’arrivée rapide des secours et le transport immédiat de l’enfant à l’hôpital permettent de réduire le risque de séquelles. Plus le cerveau est privé d’oxygène, plus les séquelles seront importantes.

La prise en charge suite à l’AVC

L’accident vasculaire cérébral est la première cause de handicap acquis chez l’enfant. Environ 70% des enfants touchés par l’AVC garderont des séquelles, que ce soit un handicap physique ou une perte irréversible des capacités intellectuelles. Les enfants victimes d’AVC peuvent subir une thrombolyse. Cette technique consiste à injecter un traitement capable de dissoudre le caillot qui bouche l’artère du cerveau causant l’AVC. Cette prise en charge réduit les risques de décès et de handicap de 10%.

Ces risques ont diminué de 20% depuis 2015 par le biais de la thrombectomie mécanique. Cette technique médicale est pratiquée en complément de la thrombolyse pour déboucher l’artère cérébrale responsable de l’AVC. Elle permet d’extraire le caillot sanguin grâce à une sonde introduite dans l’artère en partant de la cuisse. 

Stéphanie Haerts

À lire aussi : AVC : les gestes qui sauvent  

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Quels sont les signes de violence psychologique dans un couple ?

Quels sont les signes de violence psychologique dans un couple ?

Vendredi 31 mai 2019

Plus d’un français sur dix serait victime de violence psychologique au sein du couple. Beaucoup ont le sentiment que seuls les coups ou la violence physique sont des actes de maltraitance. Ils oublient trop souvent les signes de violence psychologique jusqu’à ce qu’ils se retrouvent pris au piège d’une relation ou d’un mariage toxique.

Pourquoi la violence psychologique est-elle difficile à reconnaître?

La violence psychologique est un comportement pervers qui précède souvent à la violence physique, mais qui reste encore taboue. Aussi bien les hommes que les femmes peuvent être à l’origine de maltraitances parfois, sans que le conjoint ne s’en rende compte. 

La violence psychologique peut être difficile à reconnaître, car elle est souvent subtile et parce que l’auteur de maltraitance accuse généralement sa victime. Il peut agir comme s’il n’avait aucune idée de la raison pour laquelle la personne maltraitée se sent agressée. De plus, il arrive que la victime ait déjà subi des maltraitances antérieures, ce qui lui sera encore plus difficile à reconnaître. Avec le temps, l’agresseur parvient à affaiblir l’estime de soi, en culpabilisant son conjoint et en le faisant douter continuellement. 

Les signes de la maltraitance psychologique

Certains signes ne trompent pas sur la maltraitance psychologique subie par la victime. Un partenaire peut, par exemple, refuser l’affection. C’est un moyen de punir le conjoint et d’exercer un pouvoir et un contrôle sur l’autre. Il peut menacer d’exposer son conjoint de manière embarrassante ou de le priver de quelque chose d’important, tel que de l’argent, la maison ou même ses propres enfants.

La maltraitance psychologique est avérée lorsque le conjoint manque de respect pour la vie privée de sa victime. Il peut par exemple vérifier les messages privés et demander les mots de passe des comptes de messagerie et de réseaux sociaux. Ces personnes toxiques utilisent également des ultimatums. L’agresseur peut blâmer son conjoint en lui donnant le choix de rectifier la situation pour obtenir ce qu’il veut. Dans le cas de maltraitance continue, il faut alors envisager une thérapie voire la rupture afin de libérer la victime de ces mauvais traitements. 

Stéphanie Haerts

À lire aussi : Violences sexuelles, plus nombreuses qu’on ne le croit

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Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Le 9 octobre 2018.

Des chercheurs viennent de découvrir plusieurs marqueurs de notre corps pouvant donner des indices sur la probalité ou non de développer un diabète de type 2.

Déceler le diabète de type 2 avant l’arrivée de la maladie

Des scientifiques japonais permettent d’avancer encore un peu plus dans la connaissance du diabète de type 2. Grâce à leurs découvertes publiées dans le Journal of Endocrine Society, il serait désormais possible de déceler quelques indices laissant penser que la personne pourrait développer un diabète de type 2 dans les années qui suivraient

Les chercheurs sont même capables de prédire l’arrivée de la maladie parfois vingt ans avant que celle-ci ne se déclare réellement. Comment cela est-il possible ? Trois marqueurs sont détectables et peuvent alerter les médecins : la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline.

Des symptômes qui ne trompent pas

Si la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline, peuvent être contrôlés avant que la maladie ne se déclare, les chercheurs expliquent néanmoins qu’une fois le prédiabète confirmé, il n’est déjà plus possible de soigner la maladie.

« Nous devrons peut-être intervenir beaucoup plus tôt que le stade de prédiabète, afin de prévenir la progression vers le diabète complet », estime Hiroyuki Sagesaka, auteur principal de l’étude. Aujourd’hui, la Fédération internationale du diabète estime que 425 millions de personnes sont atteintes du diabète dans le monde et rappelle qu’une personne meurt du diabète toutes les secondes. C’est plus que le sida, la tuberculose et la malaria. 

Maylis Choné

À lire aussi : Diabète de type 2, comment faire les bons choix nutritionnels ?

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Gaz hilarant : un risque grave et méconnu de l’utilisation récréative (signes à surveiller)

Le protoxyde d’azote, ou gaz hilarant, utilisé en médecine comme anesthésique et en cuisine pour faire des mousses ou des crèmes, est aussi utilisé de façon récréative pour ses propriétés euphorisantes.

Il y a quelques mois, le service de neurologie de l’hôpital Bichat, à Paris, a reçu un patient de 30 ans atteint de tétraplégie, d’ataxie (trouble de la coordination des mouvements) et d’incontinence, a rapporté la Dre Philippa Lavallée, neurologue, au journal Les Echos.

« Une IRM a montré des lésions assez étendues de la moelle, qu’on constate habituellement lors d’un déficit de vitamine B12. Un des urgentistes pense alors à une intoxication au protoxyde d’azote, ce fameux “gaz hilarant”. Le patient reconnaît en avoir consommé “des dizaines de capsules” chaque soir au cours des deux semaines précédentes. »

Sur 37 étudiants étudiants en médecine interrogés dans différentes villes de France (Nantes, Strasbourg, Toulouse, Lyon, Lille et Paris), la majorité (25) dit avoir déjà tenté l’expérience, certains une ou deux fois, d’autres « trois ou quatre fois par an ». Quelques-uns confient une fréquence beaucoup plus élevée.

Interrogés sur les risques, la moitié de ces étudiants pensait qu’il n’y en a pas, ou ne savait pas en citer. Plusieurs évoquaient tout de même des problèmes respiratoires liés à l’inhalation du gaz, des risques cardiaques en cas d’usage régulier, des troubles de la conscience ou encore une dépendance. Des risques que l’on retrouve effectivement sur des sites d’informations spécialisés comme « Drogues info services », même si le risque de dépendance fait débat, indique Les Echos.

Aucun ne connaissait toutefois le risque de sclérose combinée de la moelle épinière qui a touché le patient reçu à l’hôpital Bichat. « La consommation intense et régulière de protoxyde d’azote vide les stocks de vitamine B12 et la sclérose s’installe rapidement », explique la Dre Philippa Lavallée.

Les risques sont plus élevés pour les personnes déjà carencées en B12, comme les anorexiques ou les véganes.

« Dans le cas du patient que nous avons reçu, il a eu la chance que le diagnostic soit fait rapidement. Il a été supplémenté en B12 et a pu récupérer en une dizaine de jours. Mais si la moelle se sclérose, c’est fini », met-elle en garde.

Ces dernières années, « le nombre de cas rapportés dans la littérature médicale a fortement augmenté », alerte-t-elle. Aucun cas de lésions de la moelle n’était recensé autour des années 2000 jusqu’à un premier pic en 2007 avec 8 cas. En 2017, on en rapportait 11 et, mi-2018, déjà 24.

Sachant que les étudiants n’arrêteront pas leur consommation, la neurologue souligne qu’ils doivent être informés afin d’« évaluer leur consommation et prévenir quand des symptômes apparaissent », comme « des fourmillements ou une faiblesse dans les bras et jambes, voire une paralysie ».

Végétalisme : éviter la carence en vitamine B12

Pour plus d’informations sur la carence en vitamine B12, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Les Échos.
Tous droits réservés.

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Signes et symptômes d’une surdose d’opioïdes ; comment réagir (Santé Canada)

« Les opioïdes affectent la partie de votre cerveau qui contrôle la respiration. Si vous prenez plus d’opioïdes que ce que l’organisme peut supporter (surdosage), votre respiration ralentira », indique Santé Canada.

« Cela peut entraîner la perte de connaissance ou même la mort. »

Les signes et symptômes d’une surdose incluent :

  • « la difficulté à

    • marcher
    • parler
    • rester éveillé
  • les lèvres ou les ongles bleus

  • les pupilles très petites

  • la peau froide et moite

  • des étourdissements et de la confusion

  • une somnolence extrême

  • des bruits de suffocation, des gargouillements ou des ronflements

  • une respiration lente, faible ou inexistante

  • l’incapacité à se réveiller, même si la personne est secouée ou qu’on lui crie après »

Comment réagir à un surdosage d’opioïdes

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Santé Canada (Surdosage d’opioïde).
Tous droits réservés.

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Pour se faire des amis : montrer des signes de richesse et de statut social ou pas ?

Lorsqu’il s’agit de se faire de nouveaux amis, les symboles de richesse ou de statut social rendent une personne moins attrayante, selon une étude publiée dans la revue Social Psychological and Personality Science (SPPS).

« Souvent, nous pensons que les symboles de statut, tels que des produits de luxe, nous rendront socialement plus attrayants aux yeux des autres », note Stephen Garcia, chercheur en psychologie sociale à l’Université du Michigan.

« Mais nos recherches suggèrent que ces signaux de statut nous rendent moins attrayants socialement », rapporte-t-il.

Garcia et ses collègues ont mené six expériences dans lesquelles les participants se présentaient comme des amis potentiels pour les autres, ou bien évaluaient d’autres personnes pour déterminer avec qui ils voudraient être amis.

Les personnes se présentant à un nouveau groupe comme amis potentiels avaient tendance à choisir d’afficher des éléments de statut social plus élevé. Pourtant, elles préféraient être amies avec des personnes affichant des symboles de statut inférieur ou neutre.

Afin de contrôler la possibilité que des produits de luxe particuliers puissent jouer un rôle dans les réactions des participants, les chercheurs ont mené une expérience dans laquelle ils ont demandé aux gens lequel de deux t-shirts ordinaires ils porteraient lors d’un pique-nique pour se faire de nouveaux amis. Un t-shirt portait l’inscription « Walmart », et l’autre, l’inscription « Saks Fifth Avenue ».

76 % des participants qui se présentaient comme nouveaux amis potentiels ont choisi de porter le t-shirt « Saks Fifth Avenue », alors que 64 % ont choisi une personne portant le t-shirt « Walmart » comme ami potentiel.

Les résultats semblent cohérents d’un groupe socioéconomique à l’autre. La seule différence est que ce qui est considéré comme signe d’un statut élevé dépend du statut socio-économique d’une personne.

« Au niveau sociétal, nous gaspillons peut-être des milliards de dollars en symboles de statut coûteux qui, en fin de compte, empêchent les autres de vouloir s’associer avec nous », souligne Kimberlee Weaver Livnat de l’Université de Haïfa, coauteure. « Et dans la mesure où les amitiés proches sont importantes pour le bien-être, il se peut que nous nous fassions du tort par inadvertance ».

Une prochaine étape de recherche consiste à examiner le mécanisme qui explique pourquoi les gens commettent cette erreur, rapportent les auteurs. Est-ce qu’ils échouent à adopter le point de vue des autres qui les évaluent comme des amis potentiels ? Ou bien comprennent-ils exactement le point de vue des amis potentiels, mais pour une raison quelconque, choisissent-ils de toute façon des symboles de statut lorsqu’ils se présentent ?

Les symboles de statut social ne sont pas toujours nuisibles, soulignent les auteurs. Les résultats de cette étude ne s’appliquent qu’à la formation de nouvelles amitiés. Les symboles de statut peuvent très bien être bénéfiques à d’autres moments et dans d’autres contextes, par exemple lorsqu’il s’agit d’établir de nouveaux contacts d’affaires.

Pour plus d’informations sur la psychologie de l’amitié et du statut social, voyez les liens plus bas.

Voyez également :

Psychomédia avec sources : Society for Personality and Social Psychology, SPPS.
Tous droits réservés.

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Alcoolisme féminin : les signes qui ne trompent pas

Alcoolisme féminin : les signes qui ne trompent pas

Le 13 février 2018.

Comment savoir si notre consommation d’alcool est raisonnable ou excessive ? En testant « Le secret de Laurence », un jeu en ligne lancé par le Fonds Actions Addictions, qui permet de déceler les signes d’addiction les plus préoccupants.

De nombreuses femmes touchées en France

Vous buvez un petit verre de vin de temps en temps et vous ne savez pas si cette consommation met votre santé en danger ? C’est le moment ou jamais d’essayer le test « Le secret de Laurence », lancé par le Fonds Actions Addictions. L’objectif de cette plateforme est de sensibiliser le grand public à la situation des femmes qui ne savent pas toujours qu’elles sont concernées par cette question de l’alcoolisme.   

En France, entre 500.000 et un million de femmes seraient dépendantes à l’alcool. Mais comment savoir ? L’alcoolisme se lit sur le visage d’une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L’haleine commence à trahir l’addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d’autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo…

Comment savoir si la consommation est excessive ?

Dans « Le secret de Laurence » (qui se base sur l’histoire vraie de Laurence Cottet, une ancienne alcoolique), on aperçoit dans son appartement de nombreux produits de maquillage pour dissimuler les changements sur son visage, mais également des grains de café dans son sac qu’elle avait l’habitude de mâcher pour couvrir son haleine. Des stratagèmes qu’il faut savoir identifier chez les femmes de notre entourage.

Selon le site alcool-info-service, « ce qui peut vous alerter, c’est lorsque la consommation devient de plus en plus régulière et qu’elle aurait tendance à devenir un besoin et non plus seulement un plaisir ». S’il devient de plus en plus difficile pour votre proche de ne pas boire ou de contrôler sa consommation d’alcool, seul comme en groupe, alors c’est le moment de lui venir en aide, dans la confiance et le dialogue. 

Marine Rondot

À lire aussi : Différence entre alcoolisme chronique et ivresse aigue

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Cancer de la peau : les signes à déceler

Cancer de la peau : les signes à déceler

Le 16 mai 2017.

Jusqu’au 19 mai, vous pouvez vous rendre gratuitement à un rendez-vous personnalisé et sur le site dermatos.fr, pour vous faire dépister du cancer de la peau. Mais quels sont les signes qui doivent vous alerter ?

90 000 cancers de la peau diagnostiqués chaque année

Tous les ans, au mois de mai, le Syndicat national des dermatos-vénéréologues organise une « semaine de prévention et de dépistage des cancers de la peau ». Une occasion pour faire le point sur les différents symptômes de ce cancer, qui tue près de 1 800 personnes chaque année en France. S’ils sont diagnostiqués tôt, ces cancers sont plus facilement maîtrisables. En 2015, près de 90 000 cas de cancer de la peau ont été diagnostiqués.

Mais comment reconnaître un grain de beauté significatif du mélanome, le cancer de la peau le plus grave ? Vos grains de beauté ne doivent pas être trop asymétriques. Plus ils forment un beau rond, mieux c’est. Autre détail important : le grain de beauté ne doit pas être de plusieurs couleurs. Il ne doit pas non plus être trop imposant. 

Consulter régulièrement un dermatologue

De toute manière, en règle générale, on recommande de faire un dépistage du cancer de la peau au moins une fois par an. Vous devrez par ailleurs être attentif à l’évolution de vos grains de beauté : si la taille ou la couleur change de manière significative, vous ne devrez pas hésiter à consulter ou à vous rendre en pharmacie pour demander conseil. Plus vous avez de grains de beauté, plus le risque est important.

La consultation régulière est d’autant plus nécessaire que certains grains de beauté ne se voient pas. Vous pouvez en avoir dans le dos ou dans les cheveux qui posent problème et dont vous ne soupçonnez pas l’existence. Enfin, on ne recommandera jamais assez de se protéger des rayons UV. Si vous avez la peau claire, ne prenez aucun risque, protégez votre peau. Après des vacances au soleil, pensez bien à inspecter vos grains de beauté, la présence de taches sur votre peau devra vous inquiéter. 

Marine Rondot

Pour en savoir plus : Pourquoi et comment surveiller ses grains de beauté ?

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8 signes que vous manquez de magnésium

Minéral essentiel à notre organisme, le magnésium a de multiples fonctions et en manquer peut avoir de multiples répercussions sur notre santé.

Pourtant et alors que les apports journaliers recommandés en magnésium sont en moyenne de 350 mg pour un adulte, l’étude SUVIMAX menée de 1994 à 2002 révélait que 77 % des femmes et 72 % des hommes ont des apports bien inférieurs.

Vous pensez être en carence de magnésium ? Voici 8 signes qui peuvent le montrer.

1/ Spasme des paupières

C’est l’un des signes les plus fréquents.

Crédit photo : samsonovs – thinkstockphotos.fr

2/ Fatigue

Si vous êtes toujours fatigué, en particulier au réveil, il est possible que vous manquiez de magnésium.

Crédit photo : Ana Blazic – thinkstockphotos.fr

3/ Crampes, contractures et fourmillement

Des muscles qui manquent de magnésium sont des muscles qui fonctionnent mal.

Crédit photo : kwanchaichaiudom – thinkstockphotos.fr

4/ Anxiété, irritabilité

Si vous vous sentez particulièrement anxieux, que vous êtes irritable ou que faites des crises d’angoisse, cela peut-être dû à une carence en magnésium.

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5/ Vertiges, étourdissement, nausées et vomissements

Crédit photo : 9nong – thinkstockphotos.fr

6/ Maux de tête et douleur à la mâchoire

Crédit photo : stokkete – thinkstockphotos.fr

7/ Difficulté à vous concentrer

Crédit photo : Creatas Images – thinkstockphotos.fr

8/ Engourdissements

En particulier des mains et des pieds.

Crédit photo : Alliance – thinkstockphotos.fr

Si vous présentez certains de ces symptômes, il est donc possible que vous manquiez de magnésium, consultez votre médecin qui vous prescrira peut-être des compléments alimentaires si la carence en magnésium est avérée.

Cependant, le magnésium est présent naturellement dans un grand nombre d’aliments, par exemple :

  • Le cacao
  • Les fruits et légumes : choux, lentilles, épinards, bananes, avocats, pommes, abricots…
  • Les fruits secs : amandes, noix, noix de cajou…
  • Le poisson et les fruits de mer

Voir les meilleures sources alimentaires de magnésium

Privilégiez-les si vous manquez de magnésium !

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Des produits camerounais reconnus par des signes de qualité

Le poivre de Penja et le miel d’Oku, deux produits au Cameroun, et le café Ziama-Macenta, produit en Guinée, sont reconnus en Indication Géographique Protégée. Un label de qualité jusque là réservé aux produits européens.

« Les Indications géographiques protégées (IGP) permettent de valoriser et de préserver les savoir-faire nécessaires à l’élaboration de produits agricoles spécifiques à une géographie, à un terroir donc à une culture rurale. C’est un outil de protection de la qualité des produits et de l’économie de ce terroir. », explique Jean-Luc François, responsable du Développement agricole à l’Agence française de développement (AFD).
Poivre, miel et café d’exception

Trois produits africains viennent ainsi d’être officiellement reconnus en IGP :

– Le poivre de Penja fait partie des poivres d’exception, tout à la fois parfumé et puissant. 70 tonnes de poivre blanc sont produites chaque année autour de Penja, au Cameroun, par environ 300 producteurs. Les exportations se montent à 16 tonnes.

– Le miel d’Oku est blanc à clair, naturellement crémeux, frais en bouche avec des arômes de fleurs et d’agrumes. Il est issu de la forêt protégée Kilum-Ijim, haut lieu de biodiversité, sur les flancs du mont Oku. Six cents apiculteurs produisent 20 tonnes de miel blanc d’Oku.

– Le café Ziama-Macenta présente une saveur acidulée, peu d’amertume, une intensité aromatique élevée et persistante. Ce café est cultivé en plantations agro-forestières sur le Mont Ziama, en Guinée.

Miel du Cameroun

Les IGP développées en Afrique, dans le cadre de l’OAPI (Organisation africaine de la propriété intellectuelle) sont des labels de qualité analogues aux IGP et AOP définies dans le cadre des politiques françaises et européennes de qualité et d’origine des produits agroalimentaires. Elles permettent de développer économiquement les produits labellisés, et de les protéger contre la contrefaçon.

« Les Indications géographiques protégées (IGP) permettent de valoriser et de préserver les savoir-faire nécessaires à l’élaboration de produits agricoles spécifiques à une géographie, à un terroir donc à une culture rurale. C’est un outil de protection de la qualité des produits et de l’économie de ce terroir. », explique Jean-Luc François, responsable du Développement agricole à l’Agence française de développement (AFD).
Poivre, miel et café d’exception

Trois produits africains viennent ainsi d’être officiellement reconnus en IGP :

– Le poivre de Penja fait partie des poivres d’exception, tout à la fois
parfumé et puissant. 70 tonnes de poivre blanc sont produites chaque année autour de Penja, au Cameroun, par environ 300 producteurs. Les exportations se montent à 16 tonnes.

– Le miel d’Oku est blanc à clair, naturellement crémeux, frais en bouche avec des arômes de fleurs et d’agrumes. Il est issu de la forêt protégée Kilum-Ijim, haut lieu de biodiversité, sur les flancs du mont Oku. Six cents apiculteurs produisent 20 tonnes de miel blanc d’Oku.

– Le café Ziama-Macenta présente une saveur acidulée, peu d’amertume, une intensité aromatique élevée et persistante. Ce café est cultivé en plantations agro-forestières sur le Mont Ziama, en Guinée.

Les Indication géographique protégée (IGP) développées en Afrique, dans le cadre de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI) sont des labels de qualité analogues aux IGP et AOP définies dans le cadre des politiques françaises et européennes de qualité et d’origine des produits agroalimentaires. Elles permettent de développer économiquement les produits labellisés, et de les protéger contre la contrefaçon.

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