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Pénurie de médicaments : 26 médecins hospitaliers proposent des solutions (France)

Dans une tribune publiée le 18 août dans Le Journal du dimanche, le Pr Jean-Paul Vernant et 25 médecins hospitaliers proposent des solutions aux pénuries de médicaments.

En 2018, selon l’Agence du médicament (ANSM), « on a noté 868 signalements de tensions ou de ruptures d’approvisionnement dont les malades sont les premières victimes lorsque cela concerne des médicaments d’intérêt thérapeutique majeurs (MITM) pour lesquels il n’y a, le plus souvent, pas d’alternative efficace disponible ».

C’est 20 fois plus qu’en 2008 (44 signalements).

Ces pénuries touchent des médicaments peu couteux qui, bien qu’anciens et tombés dans le domaine public, constituent toujours l’essentiel de la pharmacopée.

Les auteurs expliquent :

« Il y a dans la fabrication d’un médicament plusieurs intervenants. D’une part des laboratoires de chimie qui produisent le principe actif, d’autre part des laboratoires pharmaceutiques qui font le travail de façonniers et qui, après l’ajout d’excipients, fournissent le produit fini au dosage requis sous forme de gélules, de comprimés ou d’ampoules. Alors que ces laboratoires pharmaceutiques résident pour la plupart en Occident, la production des principes actifs de 80 % des médicaments passés dans le domaine public a été depuis plusieurs années, pour des raisons de moindre coût, délocalisée en Inde et en Chine.

Ces différents intervenants peuvent être à l’origine de ruptures d’approvisionnement. Une malfaçon du principe actif peut être à l’origine d’une pénurie qui sera d’autant plus grave et prolongée que le laboratoire en cause en est le seul producteur. Mais le plus souvent les ruptures d’approvisionnement sont liées à une incapacité plus ou moins prolongée de production des laboratoires pharmaceutiques -qu’ils soient eux-mêmes façonniers ou qu’ils aient confié cette tâche à des sous-traitants – souvent médiocrement intéressés par la fabrication de médicaments de faible rentabilité. Dans la plupart des cas, après des semaines ou des mois de pénurie, les médicaments réapparaissent sur le marché avec des augmentations non contrôlées des prix. »

« Les mesures actuelles visent à gérer les pénuries et non à les prévenir ».

Afin de prévenir les pénuries, ils soutiennent l’idée que :

  • « soient imposées dans l’urgence, aux laboratoires pharmaceutiques titulaires de l’autorisation de mise sur le marché, la constitution et la gestion de stocks de médicaments d’intérêt thérapeutique majeurs (MITM) sous forme de produits finis pour lesquels il n’y a, le plus souvent, pas d’alternative efficace disponible » ;

  • « soit rapatriée en Europe la production des principes actifs – ils y étaient encore fabriqués il y a une quinzaine d’années » ;

  • « soit créé un établissement pharmaceutique à but non lucratif, si possible européen, sinon français, comme aux Etats-Unis. » (Là-bas, « plus de 500 établissements hospitaliers se sont réunis pour fonder un établissement pharmaceutique de ce type produisant des médicaments passés dans le domaine public ».)

Article complet dans Le Journal du Dimanche : Pénurie de médicaments : « Il faut relocaliser la production en Europe »

Une raison fréquente des pénuries de médicaments sans précédent en France (2018)

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Problèmes de fertilité : des solutions existent !

Le 7 novembre 2016.

Vendredi 4 novembre, le magazine Famili-magicmaman et l’association Maia organisaient la troisième Journée nationale de l’infertilité. Une occasion de faire le point sur les solutions qui existent si vous rencontrez des difficultés pour avoir un bébé.

Que faire en cas d’infertilité ?

Un couple est considéré comme infertile quand il n’est pas parvenu à concevoir un enfant après 12 à 24 mois de rapports sexuels non protégés. Selon l’enquête nationale périnatale (ENP) et l’Observatoire épidémiologique de la fertilité en France (Obseff), après un an de tentatives sans contraception, 18 % à 24 % des couples restent sans enfant. En cas d’infertilité, que peut faire le couple ?

Tout d’abord, il faut se rendre chez un spécialiste. Ce dernier recommandera à la femme de faire différents examens : on lui demandera d’observer sa température, de faire des dosages hormonaux ou encore des échographies. Si ces examens ne donnent rien, ce sera à l’homme de passer certains tests. Des tests qui permettront de contrôler la qualité du sperme mais aussi sa quantité. Si une infertilité est mise en lumière, rien n’est perdu.

Les solutions face à l’infertilité

On pourra tout d’abord conseiller à la femme l’insémination artificielle, qui consiste à recueillir et préparer le sperme du conjoint pour l’injecter directement dans l’utérus de la femme au moment de son ovulation, ou la fécondation in vitro, qui consiste à provoquer la rencontre d’un ovule et d’un spermatozoïde en laboratoire. En France, en 2010, un peu plus de 22 000 enfants sont nés grâce à ces méthodes, ce qui représente 2,7 % des naissances.

Autre méthode qui se développe : la NaProTechnologie (pour Natural Procreative Technology). Il s’agit d’une méthode qui allie technologie, hygiène de vie et connaissance de soi et qui se présente comme « une véritable médecine restauratrice de la fertilité naturelle qui fait appel tant à la médecine qu’à la chirurgie ». Cette méthode permet, par ailleurs, d’éviter les fausses couches et de traiter les pathologies gynécologiques.

Pour en savoir plus : Infertilité : est-ce que ça peut aussi être dans la tête ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Emploi : les solutions pour personnes en situation de handicap

Le 30 août 2016.

Souffrir d’un handicap est une chose, mais ne pas trouver de travail en raison même de ce handicap, c’est la double peine. Heureusement, certaines structures accueillent ces personnes et leur permet une véritable insertion professionnelle.

Retrouver leur place dans le monde du travail

Toutes les personnes souffrant de handicap ne peuvent pas travailler au sein d’entreprises dites classiques. C’est pourquoi l’État a mis en place le travail en établissement et service d’aide par le travail (Ésat), qui « permet à une personne handicapée d’exercer une activité dans un milieu protégé si elle n’a pas acquis assez d’autonomie pour travailler en milieu ordinaire ou dans une entreprise adaptée ».

Nos confrères d’Allodocteurs.fr se sont rendus dans l’Esat « Le Marouillet », un centre équestre qui fait travailler des palefreniers déficients intellectuels, afin qu’ils retrouvent progressivement leur place dans le monde professionnel. Au-delà de la simple satisfaction personnelle, ces emplois permettent aux personnes en situation de handicap d’être autonomes financièrement.

Aider les personnes en situation de handicap

Dans ce centre équestre, la vraie valeur ajouté, c’est le contact des palefreniers avec les clients qui, pour certains, souffrent aussi d’un handicap mental et qui suivent des séances d’équithérapie. « D’habitude la personne en situation de handicap est toujours dans l’attente qu’on l’aide. Et là, ce sont eux qui aident les autres, qui ont le savoir. C’est enrichissant pour eux, et valorisant », explique Céline Grelet, monitrice d’équitation au centre.

Pour être accueillie en Ésat, la personne handicapée doit avoir au moins 20 ans et doit soit avoir une capacité de travail inférieure à 1/3 de la capacité de gain ou de travail d’une personne valide, soit avoir besoin d’un ou plusieurs soutiens médicaux, éducatifs, sociaux ou psychologiques. Elle sera alors payée entre 5,32 € et 10,64 € de l’heure, dans la limite de la durée légale de 35 heures de travail par semaine.

À lire aussi : Maladie grave ou handicap : comment l’annoncer ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Ondes éléctroménagnétiques : dangers et solutions

Le 19 avril 2016.

Les ondes électromagnétiques sont-elles dangereuses ? En tout cas certaines personnes y sont sensibles. Une conférence à Paris fait le point sur les dangers réels, les idées reçues, et les solutions pour se protéger. 

Des solutions simples pour se protéger des ondes électromagnétiques

Jeudi 21 avril, une conférence dont PasseportSanté.net est partenaire fera le point sur les connaissances actuelles en matière d’éléctromagnétisme. Rappelons que nous baignons dans les ondes, que ce soit celles du four à micro-ondes, de nos smartphones, des WiFi domestiques, les lignes à haute tension, etc… 

Plusieurs études confirment que des personnes sont plus sensibles aux ondes que les autres, mais que nous sommes tous impactés par les effets de ces ondes, qui peuvent provoquer ou favoriser certaines maladies. 

Electromagnétisme : une conférence à Paris pour faire le point

La conférence en question aura lieu à 19h30 à l’Espace Notre Dame des Champs, 92 boulevard du Montparnasse, dans le 14e arrondissement. Le docteur Béatrice Milbert, et le journaliste scientifique Charles-Maxence Layet, résumeront les découvertes récentes en matière d’éléctromagnétisme, et les solutions pour se protéger. Entrée payante (9 euros). Renseignements et inscriptions : [email protected], 01 55 93 12 22.

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Généralisation du tiers payant : quelles solutions pour apaiser les médecins ?

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Alors que le Conseil Constitutionnel a validé seulement à moitié la généralisation du tiers payant, l’Assurance Maladie, soucieuse d’améliorer les dispositifs existants pour des remboursements fiables et rapides vient de présenter ses solutions pour convaincre les médecins, encore réticents. Explications.

Les Jeudis de la Santé Naturelle – Grippe et nouveaux virus : prévention et solutions innovantes

Informer librement, ouvrir le champ des possibles, changer les à priori et proposer des solutions innovantes et naturelles. Tels sont les objectifs des « Jeudis de la Santé Naturelle » (organisés à Paris) !

2 novembre 2015 –  19h30 – « GRIPPE ET NOUVEAUX VIRUS : PRÉVENTION ET SOLUTIONS INNOVANTES »

Dr Jean-Pierre Willem – Docteur en médecine, chirurgien et anthropologue.

Pierre Franchomme – Aromatologue et pharmacologue. Fondateur de “l’École Internationale d’Aromathérapie”.

Une fois par mois, les Jeudis de la Santé Naturelle, dont PasseportSanté est un partenaire, réunissent exceptionnellement deux orateurs réputés qui exposent leur point de vue sur une thématique spécifique et d’actualité dans le domaine de la santé.

Pour cette édition du 12 novembre 2015, bien conscients de l’émergence de nouveaux virus et de l’inefficacité de certaines campagnes préventives de vaccination, il semblait important d’évoquer ce sujet avec des acteurs concernés et experts en la matière : les docteurs Jean-Pierre Willem & Pierre Franchomme.

Leurs interventions seront suivies par une table ronde durant laquelle les questions des internautes et des spectateurs permettront d’élargir le débat et partir de cas concrets, tout en répondant directement au plus large public possible.

L’accent sera notamment mis sur les techniques de prévention et de soin par les huiles essentielles.

 

Renseignements & Inscriptions

Tél. : 01.55.93.12.22
Mail : [email protected]
Prix : 9 euros abonnés / 15 euros non-abonnés, paiement sur place.
Rendez-vous nombreux à l’Espace Notre Dame Des Champs situé au 92 bis Boulevard du Montparnasse 75014 Paris

Le Programme :
19h30 – Accueil
20h00 – Conférence du Dr Jean-Pierre Willem
20h30 – Pause
20h45 – Conférence de Pierre Franchomme
21h15 – Table ronde & Questions/Réponses

 

En Savoir Plus :

Dr Jean-Pierre Willem
Docteur en médecine, chirurgien et anthropologue, il a participé à « Médecins Sans Frontières » en 1977. Partisan du rapprochement des médecines traditionnelles avec la médecine conventionnelle, c’est après avoir inauguré en 1985 la première chaire de Médecines naturelles à la Sorbonne qu’il fonde la « Faculté Libre de Médecines Naturelles et d’Ethnomédecine » (FLMNE). En 1987, il fonde également l’ONG internationale « Médecins Aux Pieds Nus » (MAPN).

Pierre Franchomme 
Chercheur français, il est l’une des sommités dans le domaine des huiles essentielles médicinales. Véritable pionnier depuis 1975, il n’a jamais cessé d’explorer le monde à la recherche de nouvelles « essences » qu’il étudie ensuite dans ses laboratoires, partageant ainsi depuis toujours l’immensité de ses connaissances. Il est membre et responsable pédagogique de la section Aromathérapie au sein du « Regroupement Européen pour la Formation et la Reconnaissance des Médecines non Conventionnelles ».

 

Les Prochains Rendez-vous :
17 décembre 2015 :
«Rester jeune et en bonne santé» avec François Lehn et Dr Saldmann.

21 janvier 2016 :
«Vaincre l’arthrose c’est possible» avec Laura Aznard et Dr Philippe Veroli.

18 février 2016 :
«Les intolérances alimentaires, mythes ou réalités» avec Marion Kaplan et Julien Venesson.

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Pipettes et autres dispositifs d’administration des solutions buvables : attention aux erreurs !

©ANSM

©ANSM

L’ANSM a été destinataire de nombreux signalements d’erreurs médicamenteuses en lien avec l’utilisation des dispositifs d’administration des solutions buvables de médicaments, comme les pipettes, compte-gouttes ou cuillères-mesure. Ces erreurs concernent majoritairement des enfants.

Afin d’alerter les professionnels de santé et les parents de ce risque, l’ANSM lance une campagne de sensibilisation.

De nombreux médicaments sont présentés sous forme de solutions ou suspensions buvables et sont conditionnés sous forme de flacons multidoses.

La prise de ces médicaments nécessite alors une administration fractionnée, en cohérence avec la posologie prescrite, à l’aide d’un dispositif d’administration (pipette, gobelet, compte-goutte ou cuillère-mesure).

L’ANSM a été destinataires de nombreux signalements de risque d’erreur ou d’erreurs médicamenteuses en lien avec ces dispositifs d’administration. Parmi les signalements d’erreur médicamenteuse avérée, plus d’un tiers ont entraîné un effet indésirable, dont une moitié d’effets indésirables graves.

La majeure partie des erreurs signalées est survenue au domicile des patients et est réalisée par les patients eux-mêmes ou par un membre de leur famille, notamment les parents. Ces erreurs touchent en effet principalement les nourrissons et les enfants âgés de 2 à 11 ans.

Une erreur médicamenteuse est toujours multifactorielle. Cependant, l’analyse des signalements met en évidence que les causes principales sont liées à une erreur humaine (administration par exemple du médicament A avec le dispositif d’un médicament B), une incompréhension des modalités d’utilisation du dispositif fourni voire de la prescription (administration par exemple de X pipettes ou seringues au lieu de X gouttes prescrites). D’autres signalements mettent en cause directement le dispositif d’administration du fait, par exemple, de la présence d’une double graduation ou d’un manque de lisibilité.

Dans ce contexte, l’ANSM a en premier lieu engagé une réflexion en lien avec le Groupe de Travail Erreurs médicamenteuses (composés de professionnels de santé de terrain) dans un but d’amélioration et de sécurisation des dispositifs fournis avec les solutions buvables de médicaments. Pour se faire, des recommandations à destination des laboratoires pharmaceutiques seront prochainement proposées.

L’ANSM lance, par ailleurs, une campagne d’information et de sensibilisation destinée aux patients et à leurs proches via la diffusion d’une affichette rappelant les quatre règles clés pour limiter le risque d’erreur, à savoir :

•à un médicament donné correspond un dispositif d’administration : les dispositifs ne sont pas universels et sont spécifiques du médicament avec lesquels ils ont été délivrés,
•il est nécessaire de toujours conserver le dispositif d’administration avec le médicament correspondant pour éviter toute confusion,
•en cas de doute, que ce soit sur l’utilisation du dispositif d’administration ou sur la prescription, il est indispensable de demander conseil à un professionnel de santé,
•enfin, il est essentiel de toujours lire la notice d’information avant toute utilisation.

L’ANSM rappelle également que les professionnels de santé ont un rôle déterminant de conseil :

•ils doivent notamment s’assurer de la bonne compréhension de la posologie et du mode d’administration des médicaments par le patient ou ses proches. Il est recommandé à cette fin, et dans la mesure du possible, de regarder le dispositif d’administration avec le patient ou ses proches.
•les professionnels de santé doivent également s’assurer que le médicament qu’il prescrive ou délivre est le plus adapté et privilégier, lorsqu’il existe, le conditionnement adapté à la population ciblée.

L’ANSM rappelle que les professionnels de santé doivent déclarer immédiatement tout effet indésirable suspecté d’être du à un médicament dont ils ont connaissance au centre régional de pharmacovigilance dont ils dépendent géographiquement.

Les patients et les associations agréées de patients peuvent également signaler tout effet indésirable à leur centre régional de pharmacovigilance.

Pour plus d’information : Déclarer un effet indésirable

Communiqué de presse ANSM


News Santé

les solutions anti-grignotage

Le grignotage est une habitude très courante notamment devant la télévision, dans la voiture, en cuisinant, avec les enfants au goûter… C’est un plaisir du quotidien facile et réconfortant et pourtant c’est aussi l’une des premières causes de prise de poids.

Il faut déjà bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’un manque de volonté ou de gourmandise.  Le grignotage est un comportement qui répond à un besoin soit émotionnel, le réconfort par exemple, soit  nutritionnel pour les personnes en déséquilibre alimentaire.

Les solutions sont assez simples et de bon sens. Il suffit de quelques efforts :

Dans un premier temps notez ce que vous mangez avec les émotions ressenties et les activités associées (télévision…). Il n’y a pas de meilleur moyen de comprendre ce qui vous amène à manger et à diminuer naturellement les quantités.

Faites une liste de plaisirs non alimentaires pour le quotidien : téléphoner à un ami, lire un magazine ou livre, écrire, un massage, un soin de peau, un bain, mettre de la musique…. Il faut remplacer un plaisir par un autre plaisir pour que le changement soit durable.

Rééquilibrez votre alimentation,  le mieux étant de demander l’aide d’une diététicienne. Vous ne mangez peut être pas assez de féculents ou de viandes, poissons ou la répartition des repas est à revoir. L’équilibre alimentaire permet de lutter contre les fringales et le grignotage.

Prenez des compléments alimentaires : le magnésium permet de lutter contre stress et fatigue, les plantes apaisantes comme le tilleul, la passiflore, la camomille… permettent de mieux gérer le stress et donc les envies de grignotages, les oligoéléments comme le chrome et le zinc permettent de mieux gérer ses envies de sucrés et les oméga 3 sous forme d’huile de lin ou de poissons permettent de rééquilibrer le système nerveux.

Enfin, mettez vous des règles strictes de vie : je mange à table sans rien faire d’autre, j’éteins la télévision, je ferme le livre… Essayez de manger lentement quitte à faire des pauses dans le repas et si vous craquez quand même mettez vous à table et structurez votre grignotage. Vous abandonnerez vite un plaisir contraignant.

A propos de l’auteur : ludivinegallice

10 ans d’expérience professionnelle, spécialiste des troubles du comportement alimentaire, formée 2 ans par un psychologue

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Regimes alimentaires

Rhume de printemps : 4 solutions pour s’en débarasser rapidement

Le bain de pieds aux plantes est un remède efficace dès les premiers signes de rhume. Il aide à combattre l’infection et à fluidifier et éliminer le rhume.

Les ingrédients de votre bain de pieds anti-rhume:
3 cuillerée à café de fleurs fraîches (ou 2 cuillerées à café de fleurs séchées) de : menthe poivrée, échinacée, millefeuille, ail et capucine.
Versez 1,25 litre d’eau bouillante sur les plantes et laissez infuser pendant 30 mn au moins pour obtenir une infusion forte. Filtrez.
Versez cette infusion dans une bassine et baignez vos pieds dedans pendant 15 mn. Répétez l’opération 2 à 3 fois par jour.

>> A découvrir aussi : les 3 remèdes naturels contre le rhume des foins


Top Santé – Vivre bio

Pâques : les solutions naturelles anti-crise de foie

En cas de crise de foie accompagnée de nausées et/ou de vomissements, ayez le réflexe aromathérapie ! Grâce à l’huile essentielle de menthe poivrée, vous pouvez en effet soulager ces maux de façon rapide et efficace. Avec son parfum frais, cette huile est extrêmement efficace pour soigner les troubles digestifs.

La recette : Posez 2 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée sur une toute petite cuillère à café de miel et laissez fondre dans la bouche. Renouvelez 3 fois par jour.
Vous trouverez l’huile essentielle de menthe poivrée en magasin bio ou sur www.aroma-zone.com

>> A découvrir aussi : Huiles essentielles: quelles sont les personnes à risque ?


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