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Nos douleurs chroniques sont-elles dépendantes de la météo ?

Le 9 septembre 2016.

Une équipe de chercheurs de l’université de Manchester, au Royaume-Uni, a cherché à savoir s’il existait bien un lien entre le mauvais temps et les douleurs articulaires. Les premiers résultats sont intéressants.

L’humidité a-t-elle un impact sur les douleurs articulaires ?

De nombreuses études ont montré que la grande majorité des personnes souffrant de rhumatismes est convaincue que les douleurs s’amplifient par temps froid et humide. Mais cette conviction n’a encore jamais été prouvée scientifiquement. C’est à cette tâche que se sont attelés des chercheurs de l’université de Manchester.

La pluie a-t-elle une action directe sur l’arthrose, l’arthrite ou la lombalgie ? Pour tenter de répondre scientifiquement à cette énigme, ils ont lancé le projet « Cloudy with a Chance of Pain ». Grâce à une application mobile créée pour l’occasion, plus de 9 000 individus ont décrit chaque jour, pendant 9 mois, l’intensité de leurs douleurs articulaires. Dans le même temps, les données météorologiques des villes de Leeds, Norwich et Londres étaient collectées par l’application.

Prévenir les douleurs chroniques comme les allergies

Les résultats de cette première expérimentation, présentés le 7 septembre lors du Festival britannique de la science, montrent que plus le nombre de jours ensoleillés augmente, moins les personnes souffrant de douleurs chroniques se plaignent. En revanche, au mois de juin, où le taux d’humidité était plutôt élevé, la sensation de douleurs était importante.

Selon les auteurs de ces travaux, il faut poursuivre les recherches et interroger un panel encore plus large d’individus pour pouvoir établir plus clairement des conclusions. Si ces résultats venaient à se confirmer, alors, les perspectives seraient intéressantes. « Comme il existe aujourd’hui des cartes météorologiques des allergies nous espérons pouvoir créer bientôt le même service pour les personnes souffrant de douleurs chroniques », ont-ils précisé.

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Première fois : pourquoi les filles sont-elles souvent déçues ?

Faire l’amour pour la première fois est souvent synonyme de déception, en particulier pour la gent féminine. Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue à l’hôpital Cochin à Paris et auteur du livre « La mécanique sexuelle des hommes, tome 2 : L’érection », a répondu aux questions de Top Santé.

Pourquoi les filles ne gardent pas toujours un bon souvenir de leur premier rapport sexuel ?

Cela dépend de plusieurs facteurs. Les filles ont tendance à dire oui pour faire plaisir, et faire l’amour sans en avoir envie ne donne pas de très bons résultats. Environ deux filles sur trois ressentent des douleurs lors du premier rapport et seules 5% ont un orgasme à cette occasion. Entre autres, le vagin n’est pas équipé pour ressentir du plaisir automatiquement. Il est, d’une certaine façon, « vierge » de sensations. Un garçon connait son pénis, il est stimulé toute sa vie : dans le ventre de sa mère, au moment de la toilette et de l’exploration de son corps, au contact avec les vêtements et, plus tard, lors de la masturbation. La fille n’est pas habituée à la pénétration, même si elle utilise des tampons. Si 45% d’entre elles affirment s’être masturbées avant 18 ans, n’y a souvent pas de pénétration mais que des caresses.

Que faire pour améliorer les premiers rapports ?

Le vagin est une zone qui met du temps à se réveiller, il faut l’accepter. La preuve : deux tiers des femmes n’ont pas d’orgasme vaginal. Le cerveau doit apprendre à interpréter certains signaux. L’essentiel est de s’écouter, accepter les signaux du corps. Je remarque une certaine agressivité : beaucoup de filles se forcent à se masturber, à utiliser des sex toys, à s’épiler intégralement… Elles ne vivent pas en harmonie avec leur sexe alors que c’est une zone à chérir. Des sociologues ont remarqué que la meilleure façon pour que le premier rapport se passe bien, c’est de l’expérimenter avec un partenaire fixe. Si la première fois est un échec, le couple peut prendre son temps et recommencer sans trop de pressions.

Les parents ont-ils un rôle à jouer ?Ils peuvent parler à leur enfant de leur propre expérience, sans donner trop de détails intimes. Ils peuvent apporter des exemples en utilisant la technique du « j’ai une (…) Lire la suite sur Topsanté

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