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Réforme du système de santé : que souhaitent les Français ?

Les Français et le système de santé

L’Association des laboratoires internationaux de recherche (LIR) a réalisé une enquête avec Ipsos pour connaître les attentes des Français en matière de réforme du système de santé. Voici les résultats de l’enquête menée du 27 au 31 mai 2016 auprès de 2 000 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus.

Santé des Français : pessimisme ambiant

  • 55 % des Français pensent que leurs enfants seront moins bien soignés qu’eux-mêmes
  • L’accès aux soins est une vraie préoccupation :
  • Le nombre de médecins répartis sur l’ensemble du territoire est une question pour plus de 80 % des Français
  • De la même manière, les délais de rendez-vous les inquiètent également

La solution ? Réformer le système de santé pour 45 % des répondants.

  • 80 % ne souhaitent pas toucher au budget alloué à la santé, mais pensent plutôt qu’il faut changer les pratiques médicales et l’organisation des soins
  • Pour les Français, il convient de faire des réformes tendant à améliorer le parcours de soins ; de déléguer les tâches de professionnels de santé (médecins) à d’autres. Par exemple, 63 % des personnes interrogées souhaitent une délégation de certaines tâches des médecins vers les opticiens, 55 % souhaitent des délégations vers les pharmaciens.

Pas de dépenses de santé supplémentaires

Sans surprise, les Français ne sont pas prêts à engager plus de dépenses pour leur santé :

  • Seuls 21 % seraient d’accord pour cotiser plus auprès de leur complémentaire santé
  • 25 % auprès de la Sécurité Sociale

La santé dans le débat présidentiel pour 2017

  • 80 % des Français pensent que la santé ne tient pas une place assez importante dans le débat électoral pour 2017
  • Mais 57 % ne font ni confiance à la gauche, ni à la droite pour mener à bien ces réformes

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Ce que les gens souhaitent le plus au travail

Une position de pouvoir au travail peut être subjectivement vécue comme conférant une influence sur les autres ou comme offrant une autonomie par rapport à l’influence des autres. À l’inverse, une position de faible pouvoir peut être vécue comme manquant d’influence ou d’autonomie.

Une de ces deux facettes représente une motivation beaucoup plus importante que l’autre pour souhaiter avoir plus de pouvoir, montre une étude publiée dans la revue Personality and Social Psychology Bulletin (PSPB).

Le psychologue Joris Lammers de l’Université de Cologne (Allemagne) et ses collègues (1) ont mené neuf expériences, avec des participants en Europe, aux États-Unis et en Inde, qui montrent la primauté de l’autonomie.

Dans l’une de ces expériences, par exemple, la moitié des participants devaient imaginer qu’ils détenaient déjà une position avec beaucoup d’autonomie et qu’ils se faisaient offrir une position avec beaucoup d’influence, dans laquelle ils devraient gérer une équipe de subordonnés. L’autre moitié devaient imaginer le scénario inverse : ils géraient déjà beaucoup de personnes, mais se faisaient offrir une position avec plus de liberté.

La grande majorité choisissait l’autonomie. Parmi ceux qui s’imaginaient dans une position offrant beaucoup de liberté, 26 % acceptaient la promotion hypothétique donnant de l’influence ; parmi ceux qui s’imaginaient dans un poste procurant une grande influence, 62 % acceptaient la position offrant une meilleure autonomie.

L’ensemble des neuf études, qui incluaient aussi un interview de plus de 900 professionnels, montrent que, le plus souvent, les gens désirent le pouvoir non pas pour être maître des autres, mais pour être maître de soi-même.

Ces résultats sont compatibles avec la théorie de l’autodétermination selon laquelle l’autonomie est un besoin psychologique fondamental, avec les relations sociales et la compétence. L’influence ne fait partie des besoins fondamentaux.

(1) Janka I. Stoker et Floor Rink de l’Université de Groningen (Pays-Bas) et Adam D. Galinsky de l’Université Columbia (New-York).

Psychomédia avec sources : PSPB, Science of Us, The Atlantic.
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Grippe et gastro vous souhaitent une bonne année 2015 !!

INPES

En ce premier jour de l’année nouvelle, les virus de l’hiver ont décidé de jouer les troubles fêtes ! La gastro tout d’abord dont l’activité continue de progresser et qui pourrait atteindre le seul épidémique dès la semaine prochaine. Même topo pour la grippe dont l’activité reste faible certes mais en augmentation.

Dans le détail sachez qu’en ce qui concerne la gastro, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé la semaine dernière à 230 cas pour 100 000 habitants soit 147 000 nouveaux cas (France Métropolitaine).

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été notés en : Languedoc-Roussillon (516 cas pour 100 000 habitants), Limousin (487) et Auvergne (434).

Concernant les cas rapportés, l’âge médian des cas était de 26 ans (de 10 mois à 90 ans) et les hommes représentaient 45% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : aucune hospitalisation pour diarrhée aiguë n’a été rapportée.

Prévision : selon le modèle de prévision basé sur les données historiques, le niveau d’activité des diarrhées aiguës devrait continuer à augmenter, et pourrait dépasser le seuil épidémique la semaine prochaine. Un second modèle de détection des épidémies de gastroentérite repose sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health). La semaine dernière deux des quatre classes médicamenteuses surveillées avaient atteint leur seuil d’alerte, confirmant une augmentation de l’activité des gastroentérites.

Pour info : Les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de diarrhées aiguës vus en consultation (défini par au moins 3 selles liquides ou molles par jour datant de moins de 14 jours motivant la consultation).

Gastro : pensez à vous laver les mains !

Comme chaque année l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) rappelle aux Français toute l’importance qu’il y a à se laver les mains afin de limiter les risques de propagation.

Pour la gastro, comme pour les autres virus de l’hiver, il est indispensable de se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou une solution hydroalcoolique. C’est aujourd’hui l’un des moyens les plus efficaces pour limiter la diffusion des germes

Ce geste est d’autant plus indispensable  si l’on s’occupe de personnes vulnérables (enfants ou  personnes âgées). L’INPES a d’ailleurs rappelé que 67% des français ne se lavaient pas les mains avant de s’occuper d’un nourrisson, 40% avant de préparer à manger.

Les virus se transmettent en effet par le contact direct des mains d’une personne infectée à une autre (par exemple en serrant la main) ou par le contact d’objets (jouets, doudous, tétines, boutons d’ascenseur, couverts, etc.) contaminés par une personne malade.

Il est impératif de se laver les mains après s’être mouché, avoir toussé ou éternué ou encore après avoir rendu visite à une personne malade, après chaque sortie à l’extérieur et bien sûr avant de préparer les repas, de les servir ou de les prendre.

La grippe progresse aussi

Pour la grippe, on est encore loin de l’épidémie mais les chiffres sont bel et bien orientés à la hausse.

Ainsi la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 121 cas pour 100 000 habitants , soit 78 000 nouveaux cas par rapport à la semaine précédente. On reste très en dessous du seuil épidémique fixé à 175 cas pour 100 000 habitants.

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Rhône-Alpes (341 cas pour 100 000 habitants), Haute-Normandie (277) et Poitou-Charentes (230).

Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 19 ans (6 mois à 89 ans), les hommes représentaient 50% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : le pourcentage d’hospitalisation a été estimé à 1,0%.

Prévision : selon les modèles de prévision reposant sur les données historiques [2] et sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) [3], le niveau d’activité des syndromes grippaux devrait continuer d’augmenter et dépasser le seuil épidémique dans les prochaines semaines.

Pour info, les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de syndromes grippaux vus en consultation (définis par une fièvre supérieure à 39°C, d’apparition brutale, accompagnée de myalgies et de signes respiratoires).


News Santé

Les vaccins inutiles et dangereux ? Les pédiatres souhaitent rétablir la vérité »

afpa

Alors que le débat sur l’intérêt de la vaccination obligatoire est relancé,et face aux nombreuses polémiques qui l’entourent, les pédiatres de l’AFPA et du GPIP tiennent aujourd’hui le rôle majeur de la VACCINATION pour notre société.

Si la majorité des Français semblent favorables à la vaccination (9 sur 10), les polémiques n’ont de cesse d’alimenter les débats, notamment depuis la pandémie grippale A (H1N1) de 2009 : « Les vaccins ne servent à rien à part enrichir les labos » ; « La sclérose en plaque est une conséquence du vaccin contre l’hépatite B » ; « Le vaccin contre le papillomavirus provoque des maladies auto-immunes » ; « L’aluminium présent dans les vaccins est dangereux pour la santé »… Autant de controverses nonappuyées par des études fiables et validées.

Non, la vaccination n’est pas une invention récente du lobby pharmaceutique mondial. Elle a été introduite au XVIIIème siècle par Edward Jenner. En France, selon l’INSERM, les vaccinations ont, depuis 1950, contribué à diviser par 30 ou plus la mortalité due à certaines maladies infectieuses. Quant à l’OMS, elle estime que la vaccination sauve la vie de 2 à 3 millions de personnes chaque année dans le monde.

Alors le vaccin serait-il victime de son succès ? Les pédiatres de l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA) et du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique (GPIP) souhaitent rappeler leur utilité et l’importance d’informer pour une meilleure compréhension du rapport bénéfice/risque de la vaccination.

La vaccination : un acte individuel pour un bénéfice collectif

Si la vaccination permet de se protéger individuellement de maladies graves, elle a également un intérêt collectif. Chez les personnes vaccinées, les virus ou les bactéries des maladies prévenues par les vaccins ne se développent pas. Ils ne sont donc pas malades mais ne peuvent pas non plus être une source de contagion pour leur entourage : ils ne participent donc pas au développement d’une épidémie. Les bénéfices de la vaccination sont  donc à la fois individuels mais aussi collectifs d’où leur immense intérêt en termes de santé publique. Aujourd’hui, grâce aux recommandations vaccinales, certaines maladies comme la variole ont été totalement éradiquées et leur vaccination a été supprimée. Pour d’autres maladies, comme la poliomyélite, le virus est toujours présent dans certains pays et pourrait réapparaître en France si la vaccination n’était plus régulièrement pratiquée. D’autres maladies ne pourront jamais être éradiquées mais peuvent être contrôlées par la vaccination  comme le tétanos ou la coqueluche par exemple.

« Les Français moins motivés par des maladies qu’ils ne rencontrent plus, sont de plus en plus perturbés par la cacophonie d’une minorité militante anti-vaccinale bien que la sécurité des vaccins n’ait jamais été aussi développée et efficace » souligne le Dr François Vié le Sage, Pédiatre à Aix-les-Bains et responsable du groupe Infectiologie et Vaccinologie de l’AFPA.

Un taux de vaccination encore trop faible en France notamment pour protéger les adolescents et les prématurés

En France, la couverture vaccinale est insuffisante pour beaucoup de vaccins et même très insuffisante chez les populations les plus à risque, à savoir les adolescents, les malades chroniques (asthmatiques par exemple) et les prématurés.

Même si la couverture des adolescents pour le ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) a atteint 88% en 2012, elle est encore loin des taux nécessaires pour contrôler ces maladies et protéger complétement la population des épidémies. Des signes de reprise de la rougeole ont d’ailleurs été constatés de nouveau ces derniers mois dans plusieurs pays d’Europe (Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Roumanie, Suède, Suisse). Pour certaines maladies, le taux de couverture vaccinale a même une tendance à la baisse. C’est notamment le cas pour deux des maladies qui concernent le plus les adolescents.

La couverture pour l’hépatite B est passée de 34,7% en 2009 à 34,1% en 2012 après avoir connu un pic à 37,7% en 2010. Celle pour le papillomavirus (HPV), responsable du cancer du col de l’utérus, était de 31,3% en 2009 et est descendue à 22,9% en 2012. Autre maladie à laquelle les adolescents sont particulièrement confrontés : le méningocoque C dont le taux de couverture vaccinale est de seulement 27,5% en 2012.

Chaque année en France, environ 55 000 enfants naissent prématurés (6,6% des naissances). Ces enfants ont une sensibilité accrue aux infections bactériennes et virales dont certaines peuvent être prévenues par la vaccination : coqueluche, pneumocoque, grippe, Haemophilus influenzae stérotype b -HIB-. Pour cette population particulièrement vulnérable, encore plus que pour l’enfant à terme, la stratégie du « cocooning » est particulièrement nécessaire mais n’est malheureusement pas encore suffisamment appliquée. On entend par « cocooning du nouveau-né », la vaccination de l’entourage proche du bébé, c’est-à-dire les parents, la fratrie, les grands-parents et les personnes qui s’en occupent. Premières sources de transmission des maladies, il est indispensable qu’ils soient à jour dans leurs vaccins, en particulier pour ceux contre la rougeole, la varicelle, la grippe ainsi que la coqueluche qui connait une recrudescence en France depuis quelques années et qui présente un risque accru de complications chez les prématurés.

Combattre certaines idées reçues

« L’aluminium présent dans les vaccins est dangereux pour la santé » . À ce jour, lesétudes disponibles indiquent que bien que l’aluminium vaccinal puisse parfois persister au site d’injection pendant des années, celui-ci n’est pas responsable de l’existence d’une atteinte inflammatoire musculaire diffuse et n’est pas associé à une maladie systémique. Le 11 juillet 2013, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a fait un rapport complet sur le sujet qui a abouti aux mêmes conclusions.

« La sclérose en plaque est liée à la vaccination contre l’hépatite B ». Onze études internationales différentes n’ont pas réussi à mettre en évidence un lien de causalité entre vaccin et sclérose en plaque (SEP). Les populations vaccinées n’ont pas plus de sclérose en plaque que celles non vaccinées. Sur une population générale, 3 habitants sur 100 000 sont susceptibles de présenter la maladie. Avoir 3 cas de sclérose en plaque lorsque l’on vaccine 100 000 personnes est donc attendu.

« Le vaccin contre le papillomavirus provoque des maladies auto-immunes ». La méfiance vis-à-vis de cette vaccination s’est instaurée à la suite de la médiatisation d’effets indésirables mais aucune étude de pharmacovigilance n’a montré que les manifestations présentées étaient dues aux vaccins. Les effets indésirables doivent de principe être déclarés dans tous les pays aux différents systèmes de pharmacovigilance : à l’échelle internationale, aucun signal d’alerte n’a été retenu à ce jour. Pour les maladies auto-immunes, le nombre total de manifestations recueillies reste faible (< 6 cas pour 100 000) et bien inférieur à celui attendu dans la population générale.

« Il existe un lien entre le vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) et l’autisme ».Le lien entre la vaccination ROR et l’autisme a été évoqué dans une étude,parue en 1998. Elle s’est révélée être un « trucage élaboré », financée et commanditée à des fins financières. En 2010, le General Medical Council anglais a publié un rapport mettant en cause la validité de cette étude.

« Il est de notre rôle de pédiatre d’informer et de rassurer les Français sur la vaccination. Si nous laissons les « rumeurs » se propager sans réagir au profit de la non vaccination, nous prenons le risque d’exposer les populations à des maladies graves et de favoriser leur recrudescence. Et si l’on impute tous les symptômes à la seule responsabilité de la vaccination, nous risquons également de passer à côté de la vraie cause des symptômes présentés », précise le Dr Robert Cohen pédiatre membre de l’AFPA et président du GPIP.

Source : Communiqué et dossier de presse de l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA) et du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique (GPIP)


News Santé

Fin de vie : les Français souhaitent mourir chez eux

Selon un rapport publié par l’Observatoire national de la fin de vie, les Français affirment à 81% vouloir passer les derniers instants chez eux, alors qu’ils ne sont que 25,5% à décéder à domicile. Ce rapport met en évidence le décalage important entre les derniers souhaits d’une personne et la réalité qu’elle vit, mais tente aussi d’en décrypter les raisons.

Pour recueillir les données qui ont permis d’aboutir à ces conclusions, l’Observatoire a analysé les données de différentes études mais s’est également appuyé sur une enquête réalisée auprès d’aidants et de soignants. De cette analyse ressort que le maintien à domicile ou le retour pour les derniers jours de vie est très compliqué en France. En raison du manque d’information d’abord : des aides existent, mais les personnes au côté de la personne en fin de vie ne les cherchent pas toujours, car elles ignorent qu’elles existent. Les aides, qu’il s’agisse du financement des gardes-malades, ou encore l’allocation d’accompagnement d’une personne en fin de vie sont sont par exemple peu connues. Les soutiens ensuite ne sont pas toujours adaptés ou alors difficiles et longs à obtenir en raison d’une grande rigidité et d’une grande complexité administrative.

La complexité du suivi, des soins, et des dispositifs de prise en charge, le manque de coordination des soins ajoutent encore à la difficulté pour les aidants pour s’y retrouver et peut finalement aboutir à des hospitalisations. Les médecins généralistes sont souvent peu formés à l’accompagnement de la fin de la vie ne sont pas toujours, à cause de ce manque de formation un relais pour les familles.

Pour répondre à la demande des familles de permettre de passer les derniers instants à domicile, l’Observatoire propose dans chaque territoire, une structure facilement identifiable, la mise en place d’un dossier patient qui permettrait le partage d’information entre professionnels, la création de lieux d’accueil temporaires pour malades, pour permettre aux aidants de souffler ou encore la création de services d’accueil de jour en soins palliatifs.

L’Observatoire enfin, estime important que les soins palliatifs se fassent à domicile plutôt qu’à l’hôpital, une demande transmise au gouvernement dont la réflexion porte actuellement sur l’accompagnement et la législation sur la fin de vie.

81 % des Français souhaitent mourir chez eux

Un rapport vient de montrer que 81 % des Français souhaitent mourir chez eux alors que dans la réalité, ils ne sont que 25,5 % à décéder à domicile.

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