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L’allergologie désormais reconnue comme spécialité médicale à part entière en France

Le gouvernement français a pris la décision de reconnaître l’allergologie comme une spécialité médicale à part entière. Un arrêté publié le 26 décembre au Journal Officiel permet ainsi pour la première fois aux internes en médecine de se spécialiser en allergologie. Trente étudiants pourront être formés au cours de l’année 2017-2018.

Près de 30 % des Français (18 millions) sont allergiques, contre 2 à 3 % en 1970, selon les chiffres de l’association Asthme et Allergies, rapporte AFP.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que, d’ici à 2050, la moitié de la population occidentale sera touchée, notamment à cause du réchauffement climatique et de la pollution.

La France compte quelque 1 200 allergologues, des médecins généralistes, pneumologues ou encore dermatologues qui ont suivi une formation complémentaire de deux ans pour se « sur-spécialiser », indiquait le Syndicat français des allergologues (Syfal) en mars.

Illustration: Syfal

Psychomédia avec source : Le Parisien (AFP).
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L’ophtalmologie : spécialité préférée des étudiants en médecine

Ophtalmo, radiologie, dermatologie et cardiologie : en tête des spécialités choisis par les étudiants

Le rapport 2013 de la Direction de la recherche, des études de l’évaluation et des statistiques (Drees) vient d’établir que l’ophtalmologie était la spécialité préférée des étudiants en médecine, devant la radiologie, la dermatologie ou encore la cardiologie également dans le peloton de tête.

Les futurs internes admis aux épreuves classantes nationales (ECN) ont donc choisi en premier choix l’ophtalmologie, suivie de près par la radiologie, la dermatologie et la cardiologie, des disciplines dont le mode d’exercice est en général libéral.

A l’opposé, la psychiatrie, la médecine générale ou encore la médecine du travail très mal classées en terme d’attractivité arrivent en queue de peloton et plusieurs postes dans ces spécialités restent vacants.

Avec une différence entre ces trois domaines de la médecine. En 2012, par exemple, sur les 3799 postes de généralistes disponibles, seulement 168 ont été vacants, ceci s’expliquant par le fait que la médecine générale parvient à recruter « à tous les niveaux de classement » en raison du nombre de postes à pourvoir important.

Une différence est également perceptible dans la répartition des choix entre les hommes et les femmes futurs médecins. 3/4 de femmes se tournent en effet plutôt vers la gynécologie ou la pédiatrie, tandis que les hommes choisissent plutôt la médecine nucléaire, la neurochirurgie ou l’anesthésie-réanimation.

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