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Encre Noire adopte les codes du sport chez Lalique

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Toujours aussi élégant et encore plus dynamique, Encre Noire, le masculin emblématique de Lalique revient dans une nouvelle interprétation, une version Sport.

Signé par le parfumeur Nathalie Lorson, auteur de la version originale d’Encre Noire, ce nouveau récit olfactif associe le luxe et le raffinement de la Maison Lalique aux codes du sport.

Telle une vague de fraîcheur, Encre Noire Sport démarre sur des notes toniques de pamplemousse, de bergamote, de cyprès et de lavandin.

Relevé de muscade, son coeur aquatique s’étoffe de deux vétivers. Un Vétiver Bourbon, moelleux et cuiré et un Vétiver d’Haïti mystérieusement fumé.

Muscs et bois de cachemire offrent à Encre Noire Sport son empreinte boisée et sensuelle.

L’architecture du flacon originel conserve ses lignes pures inspirées de l’Encrier Biches créé en 1913 par René Lalique mais s’habille ici de nouvelles couleurs : du gris et du rouge donnent de l’élan à cette nouvelle interprétation.

(Encre Noire Sport, Lalique. Disponible en parfumeries et grands magasins. Vaporisateur 100ml, prix indicatif : 79 € )

Publié le 21 octobre 2013

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Régime : trente minutes de sport par jour plus efficaces qu’une heure ?

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Faire trente minutes d’activité physique par jour serait plus efficace pour maigrir que d’en faire une heure. Voici les conclusions d’une étude danoise de la faculté des Sciences Médicales et de la Santé de l’Université de Copenhague. Les chiffres parlent d’eux même : alors que les personnes pratiquant 30 minutes d’exercices ont perdu 3,6 kilos, le deuxième groupe ayant travaillé pendant 1 heure par jour n’ont perdu que 2,7 kilogrammes au bout de 3 mois.

Pour parvenir à ces conclusions, les scientifiques ont observé 60 Danois en léger surpoids mais en bonne santé qui ont été répartis sur deux groupes. Le premier groupe devait pratiquer 30 minutes de programme sportif intensif (course, vélo et musculation) par jour tandis que le deuxième devait pratiquer une heure par jour. Au cours de cette étude qui s’est déroulée sur 3 mois, les participants ont été interrogés sur leur ressenti pendant cette période.

Les résultats recueillis au bout de trois mois montrent que les personnes du premier groupe ayant fait moins d’exercices par jour, soit 30 minutes, avaient perdu en moyenne 3,6 kg tandis que celles du deuxième groupe avaient perdu seulement 2,7 kg. Un résultat qui au premier abord peut sembler paradoxal.

Selon une nouvelle étude, 30 minutes de sport par jour seraient plus efficaces pour maigrir qu'une heure

Selon une nouvelle étude, 30 minutes de sport par jour seraient plus efficaces pour maigrir qu’une heure

Les réponses données concernant le questionnaire auxquelles les volontaires inscrits dans cette étude ont permis de donner une explication à ce résultat qui peut sembler étonnant. Les participants du premiers groupes disaient avoir plus de ressources en énergies, plus de motivation pour s’entraîner et suivre un rythme de vie sain que les personnes du deuxième groupe. Parallèlement au programme d’entraînement, elles étaient ainsi motivées pour aller au travail à vélo, par exemple.

Les personnes du deuxième groupe qui s’entraînaient une heure par jour par contre se sentaient épuisés après le sport, démotivés et moins ouverts aux changements d’attitude.

Les auteurs de cette étude concluent en affirmant qu’une dose modérée d’exercice aurait un impact significatif sur les pratiques quotidiennes des personnes.

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Top Actus Santé

Bien manger et faire du sport fait bien rajeunir

Certains y verront la simple confirmation, obtenue par les outils de la génétique moléculaire, du bien-fondé de recettes ancestrales d’origines généralement orientales. Pour les autres, ce sera la démonstration scientifique que l’on peut bel et bien augmenter son espérance de vie en modifiant quelques aspects de sa vie quotidienne.

Dans tous les cas, le résultat hors du commun obtenu par un groupe de l’Institut de médecine préventive l’Université de Californie (San Francisco) fournit une nouvelle preuve, objective et reproductible, qu’il existe une réelle «plasticité environnementale» du corps humain à l’échelon cellulaire et moléculaire; une plasticité généralement insoupçonnée par la médecine moderne et dont on est encore loin d’avoir pris toute la mesure et les potentialités.  

Cette étude pilote, qui vient d’être publié sur le site de The Lancet Oncolog, a été financée par le département américain de la Défense, les Instituts nationaux américains de la santé ainsi que par différentes fondations privées. Elle a été menée, sous la direction du Pr Dean Ornish, par quatorze biologistes et médecins de diverses disciplines (psychiatres, urologues, cancérologues). Leurs travaux ont été menés chez des hommes pour lesquels un diagnostic de cancer de la prostate à très faible risque d’évolution venait d’être porté.

Tous avaient préféré une surveillance active plutôt que des thérapies conventionnelles (chirurgie, radiothérapie) dont les effets secondaires peuvent être source de handicaps importants. Deux groupes ont été constitués; l’un composé de 10 personnes et l’autre de 25. On a demandé aux premiers de modifier plusieurs aspects de leur mode de vie et pas aux autres.

Ces changements de mode de vie concernaient notamment l’alimentation (en privilégiant un régime à base de fruits et de légumes et la réduction des graisses saturées), une activité physique ainsi qu’un recours à des techniques de gestion du stress (comme la méditation, le yoga ou la relaxation durant une heure par jour). L’exercice physique était modéré (marche 30 minutes par jour et six jours par semaine) et l’ensemble devait être associé à  une rencontre hebdomadaire de soutien collectif.

Différentes recherches avaient déjà démontré par le passé que le fait d’adopter ce nouveau style de vie pouvait conférer de réels avantages médicaux; en freinant par exemple —voire en inversant— l’évolution de certaines affections cardiaques. Aucune étude prolongée n’avait encore démontré que des changements de style de vie pouvaient avoir un effet cellulaire «rajeunissant». C’est désormais chose faite.

L’équipe du Pr Ornish s’est intéressée aux télomères. On désigne ainsi les régions situées aux extrémités des chromosomes, zones dont l’ADN joue un rôle-clef dans le maintien de la stabilité de ces derniers (de la même manière que leurs extrémités préviennent l’effilochage des lacets). Et il est aujourd’hui bien démontré que la réduction de la taille des télomères est un fidèle reflet du vieillissement des cellules, l’annonce programmée de leur mort prochaine.

Mesurer la longueur des télomères fournit un fidèle reflet de l’âge biologique. Et le raccourcissement de ces mêmes télomères est d’autre part associé à différentes affections conduisant souvent à des morts prématurées comme différentes sortes de cancers (de la prostate, du sein, du poumon), des affections cardiovasculaires, des maladies infectieuses ou le diabète de type 2.

Dans cette étude, la longueur des télomères des participants a été mesurée au départ et cinq années plus tard. Et il est apparu que dans le groupe ayant modifié son mode de vie la longueur des télomères avait considérablement augmenté, en moyenne de 10%. A l’inverse, dans l’autre groupe, elle a diminué en moyenne de 3%.

Plus éclairant encore, les auteurs de cette recherche observent un effet «dose-réponse»: plus les modifications comportementales étaient importantes et suivies et plus les allongements télomériques étaient grands.

Les chercheurs ne cherchaient pas à étudier les effets des changements comportementaux sur l’évolution naturelle des lésions cancéreuses prostatiques des participants – une essai préalable avait déjà montré que ces changements étaient de nature à freiner cette évolution dès lors que la lésion en est à un stade précoce de son développement.

«Les implications de cette étude pilote de petite taille peuvent aller bien au-delà des hommes ayant un cancer de la prostate, souligne le Pr Ornisch. Si elle est validée par des essais contrôlés randomisés de grande envergure, ces modifications dans le style de vie seront de nature à réduire le risque de mortalité prématurée dans un grand nombre de maladies.» Pour le Pr Ornisch, les gènes et les télomères des chromosomes constituent une prédisposition. Ils ne doivent en aucun cas être nécessairement considérés comme une fatalité.

Ces travaux s’inscrivent dans le grand mouvement de l’épigénétique qui découvre que loin d’être fixé une fois pour toutes sous forme d’ADN, notre «patrimoine héréditaire» peut être modifié par des éléments de l’environnement ainsi que par notre histoire personnelle. C’est là, d’un certain point de vue, une forme de liberté retrouvée, une possibilité offerte à chacun de reprendre, pour partie, son destin en main.

J.-Y.N.

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Hommes et femmes inégaux face à la mort subite liée au sport

© Fotolia/Inserm

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« Hommes et femmes inégaux face à la mort subite liée au sport » par le Docteur Erard de Hemricourt.

La pratique sportive est bonne pour l’organisme … sauf quand elle se complique de lésions traumatiques ou conduit dans de très rares cas à des morts subites. Et bien que ces événements soient relativement rares, du fait de leur surmédiatisation dans les journaux, ils font peurs et interpellent les sportifs.

Des données précédentes montraient déjà que les morts subites consécutives à une activité sportive se rencontraient plus souvent chez les hommes mais certains experts attribuaient cela à une participation plus réduite des femmes dans les activités physiques intenses.

Or, voici une nouvelle étude française réalisée par l’équipe du Dr Eloi Marijon à l’Université Paris Descartes qui apporte quelque éclaircissement (Incidence of sports-related sudden death in France by specific sports and sex. Eloi Marijon et al. JAMA 2013 ;310(6) : 642-643).

Les auteurs ont analysé de manière rétrospective des données récoltées entre 2005 et 2010 sur un total de 35 millions d’habitants. Les scientifiques ont retenu trois activités sportives le plus souvent pratiquées par les femmes à savoir le jogging, le vélo et la natation. Également, seules les activités intenses et soutenues ont été prises en compte puisqu’on sait qu’une faible activité physique ne conduit que très rarement à une complication sur le plan cardiovasculaire. Les données ont ensuite été classées en fonction de l’âge des individus et de leur sexe.

Un total de 775 morts subites a été enregistré au cours de la période 2005-2010. Ces décès sont survenus soit pendant l’activité elle-même soit endéans l’heure après l’arrêt de l’exercice physique. Parmi tous les cas enregistrés, seuls 42 décès concernaient des femmes (0,5 %). Ces données confirment donc bien les données précédentes puisque la grande majorité des décès sont effectivement survenus chez les hommes (95 %). Mais cela ne répond pas à la question de savoir si ces décès sont plus fréquents chez les hommes du fait de leur nombre plus important comparativement aux femmes dans la pratique des sports de haut niveau.

Pour répondre à cette question bien précise, les chercheurs ont calculé le nombre de décès sur l’ensemble des femmes et l’ensemble des hommes inclus dans la base de données. Et là, également la différence est flagrante. L’incidence de la mort subite était de 0,51 par million de femmes pratiquant une activité sportive et de 10,1 par million d’hommes soit une multiplication par vingt du risque relatif chez les hommes par rapport aux femmes !

D’après le Dr Marijon, plusieurs explications sont possibles pour expliquer cette grande différence : tout d’abord, les hommes à l’inverse des femmes peuvent débuter leur pratique sportive de manière beaucoup plus brutale, en parvenant très rapidement au summum de leurs capacités physiques.

La seconde hypothèse est plus liée à l’état des coronaires chez les hommes qui présentent plus souvent des lésions et des rétrécissements à ce niveau. Cela pouvant directement augmenter le risque coronarien chez les hommes sportifs.

Quoi qu’il en soit et sur base des données préliminaires récoltées ici, il est donc conseillé aux hommes de faire un bilan cardiovasculaire avant toute pratique sportive intense et cela surtout chez les hommes d’un certain âge puisque cette étude a également permis de montrer que le risque de mort subite, à l’inverse de ce qui est observé chez les femmes, augmenterait avec l’âge.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé ©2013 – Tous droits réservés
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