Archives par mot-clé : substances

Produits de décoloration des cheveux : des substances trop dangereuses (Anses)

Les persulfates d’ammonium, de potassium et de sodium utilisés notamment dans les produits de décoloration capillaire présentent des risques pour la santé des professionnels de la coiffure et des consommateurs, estime l’Agence nationale française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Anses) dans un rapport publié le 12 juin.

Ces substances sensibilisantes provoquent des réactions allergiques respiratoires et cutanées.

Elles représentent la 2e cause des asthmes professionnels en lien avec les expositions aux produits chimiques, après les ammoniums quaternaires. (L’ammonium quaternaire [produits ménagers et d’hygiène] nuirait à la production de l’énergie dans les cellules et à la fertilité)

Ces substances sont employées sous différentes formes : en poudre à mélanger dans un liquide, en granules, en crème ou en liquide prêts à l’emploi.

Plus de 1000 cas de pathologies professionnelles liées aux persulfates ont été recensés par le Réseau national de vigilance en France entre 2001 et 2015.

« Il s’agit de cas d’asthmes, de dermatites allergiques, de rhinites, d’urticaires, de choc anaphylactique et d’autres maladies respiratoires et concernent en très grande majorité des coiffeurs, et pour un quart d’entre eux des jeunes travailleuses et des apprenties. Les données transmises par d’autres agences sanitaires (Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne, Suisse, Autriche et Danemark) confirment ce constat. »

« Ces pathologies peuvent entrainer des handicaps dans la vie quotidienne et de lourdes conséquences pour ces professionnels telles que l’obligation de reconversion professionnelle. »

L’Anses recommande de restreindre dans les meilleurs délais l’usage des persulfates, notamment dans les produits capillaires.

Psychomédia avec source : Anses.
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Substances toxiques dans les cosmétiques : des marques à choisir, d’autres à éviter

« Encore près d’un produit cosmétique sur trois contient des perturbateurs endocriniens, des substances toxiques, irritantes ou fortement allergisantes », indique l’UFC-Que Choisir.

L’association française de consommateurs « exhorte les autorités européennes à interdire sans délai les substances les plus à risque, notamment le dioxyde de titane présent dans plus de 7000 références ».

« Malgré les alertes exprimées par les scientifiques, pas moins de 143 substances préoccupantes restent encore autorisées du fait de la lenteur des procédures européennes et du lobbying des industriels. »

On peut par exemple trouver :

  • des perturbateurs endocriniens tels que le propylparaben dans :

    • le lait hydratant Mixa intensif peaux sèches antidessèchement ;
    • le shampooing + soins Neutrogena T/Gel 2-en-1 pour cheveux secs et fragilisés ;
  • des substances toxiques comme le butylphenylmethylpropional dans :

    • la crème hydratante jour Nivea soft ;
    • l’anti-rides Revitalift soin hydratant extra fermeté de L’Oréal ;
  • ou encore des substances fortement allergisantes telle que la méthylisothiazolinone (MIT) dans :

    • le shampooing antipelliculaire 2-en-1 antidémangeaisons à l’eucalyptus de Head and shoulders.

Le dioxyde de titane

« Sur la base de nouvelles études alarmantes, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a confirmé en avril dernier la pertinence de l’interdiction du dioxyde de titane dans les produits alimentaires, votée par les parlementaires français.

Mais alors que les autorités européennes examinent actuellement la conformité de cette mesure au droit européen, il n’est pas exclu que celles-ci obligent la France à ré-autoriser ce colorant nocif.

L’information des consommateurs est donc d’autant plus importante que, loin de se limiter aux seuls produits alimentaires, le dioxyde de titane est présent dans près de 7000 produits cosmétiques susceptibles d’être ingérés, tels que des dentifrices, des baumes et rouges à lèvres, des bains de bouche, y compris dans leurs versions destinées aux enfants ! »

L’analyse réalisée par les experts de l’association « montre que les fabricants savent parfaitement se passer de ces composés nocifs » :

  • S’agissant par exemple des shampooings pour enfant :

    • à choisir : « on peut acheter les yeux fermés le Shampooing Labell 2-en-1 abricot de chez Intermarché qui outre sa parfaite innocuité a l’avantage d’être bon marché. »
  • Au rayon homme :

    • à choisir : « on donnera un satisfecit à la mousse Pro-tech system haute précision de Mennen » ;
    • à éviter : « en revanche un carton rouge au gel à raser Fusion 5 peau ultra sensible de Gilette du fait de la présence de propylparaben ».
  • Pour hydrater la peau :

    • à choisir : « si à la crème Hydreane légère de la Roche Posay est indemne de toute substance à risque ;
    • à éviter : on évitera la crème légère pour peaux grasses Eau précieuse matifiante purifiante qui cumule pas moins de 3 perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés. »
  • Pour bronzer sur la plage,

    • à choisir : « on pourra prendre par exemple l’Ambre solaire sensitive expert de Garnier » ;
    • à éviter : on écartera le spray solaire hydratant 50 spf Lovea au monoï de Tahiti contenant deux perturbateurs endocriniens potentiels ».

L’UFC-Que Choisir a publié un guide pratique analysant plus de 170 produits cosmétiques et fournissant une série de conseils pour une utilisation sûre de ces produits. Ce guide est accessible aux abonnés.

12 substances à éviter dans les cosmétiques et produits d’hygiène (liste à consulter lors d’achats)

Pour plus d’informations sur les cosmétiques et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : UFC-Que Choisir.
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Vêtements : plus de 1000 substances toxiques à interdire ou limiter (Anses)

Afin de mieux protéger les consommateurs des risques d’allergies cutanées, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement (Anses) et l’Agence suédoise des produits chimiques (KemI) ont soumis conjointement une proposition visant à interdire ou limiter plus de 1000 substances allergisantes cutanées dans les articles textiles, cuirs, fourrures et peaux.

L’Anses a mené en 2018 une expertise permettant d’identifier les substances chimiques présentes dans certains articles pouvant être à l’origine d’allergies. (Substances très toxiques dans les vêtements neufs : les laver absolument – Anses)

La proposition, à destination de l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques), couvre l’ensemble des substances classées comme sensibilisant cutané ainsi que 25 substances de la famille des colorants dispersés ayant des propriétés sensibilisantes.

Une évaluation des risques a été réalisée afin de déterminer les concentrations maximales à ne pas dépasser.

Les deux agences recommandent d’interdire les colorants dispersés avec des propriétés sensibilisantes dans les articles finis en textile, cuir, fourrures et peaux.

Elles proposent des seuils pour le chrome VI (responsable de 20 000 à 50 000 nouveaux cas d’allergies par an en Europe, dont 45 % provenant d’une exposition par le cuir, selon 60 Millions de consommateurs), le nickel, le cobalt, le formaldéhyde, la 1,4 paraphénylène diamine et les autres substances classées sensibilisantes cutanées.

Une analyse des alternatives possibles à ces substances a été réalisée. Des alternatives chimiques existent notamment pour les colorants dispersés pour lesquels la substitution est faisable et déjà amorcée en Europe. Pour d’autres familles de substances telles que les diisocyanates, la mise en œuvre des meilleures pratiques de production devrait permettre de réduire ou de supprimer la présence de ces substances dans les articles finis.

Cette proposition fera l’objet d’une consultation publique pour une durée de six mois. Les comités de l’ECHA formuleront ensuite un avis qui sera transmis à la Commission Européenne pour statuer sur l’adoption de cette restriction.

Vêtements neufs : raisons pour les laver absolument avant de les porter

Pour plus d’informations sur les substances toxiques dans les vêtements, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Anses, 60 Millions de consommateurs.
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Grossesse : l’exposition à certaines substances entrainerait des risques respiratoires pour le bébé

Grossesse : l’exposition à certaines substances entrainerait des risques respiratoires pour le bébé

Le 6 février 2019.

Selon une récente étude, l’exposition du bébé pendant la grossesse et les premières années de sa vie à certaines substances chimiques présentes notamment dans les cosmétiques et certains emballages alimentaires, entraînerait des difficultés respiratoires.

Certaines substances « pourraient être associées à une fonction respiratoire diminuée chez l’enfant »

Dans un communiqué commun, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l’Université Grenoble Alpes et de l’Institut de santé globale de Barcelone, rapportent que « l’exposition prénatale et postnatale à différents polluants chimiques est associée à une diminution de la fonction respiratoire des enfants ». C’est le résultat d’une étude publiée le 6 février dans la revue The Lancet Planetary Health

Les auteurs de l’étude ont recueilli des données sur les expositions prénatales et postnatales liées à l’environnement extérieur (pollution de l’air par les particules fines, bruit…), à des contaminants chimiques (perturbateurs endocriniens, métaux, polluants organiques persistants …) et au style de vie (alimentation…) chez plus de 1.000 femmes enceintes et leurs enfants dans six pays européens, peut-on lire dans le communiqué. 

Réduire l’exposition aux substances chimiques pour prévenir les maladies respiratoires chroniques

Sont mis en cause par les chercheurs les composés perfluorés, utilisés notamment dans certains ustensiles de cuisine antiadhésifs, divers emballages alimentaires et revêtements anti-tâches, l’éthyl-parabène, conservateur utilisé dans de nombreux cosmétiques, et les métabolites des phtalates (le DEHP « Diethylhexyl phthalate », un perturbateur endocrinien reconnu, et le DINP « Diisononyl phthalate », utilisé comme plastifiant).

Les scientifiques rappellent que l’exposition à la fumée de tabac dans l’utérus augmente le risque d’altération de la fonction pulmonaire et d’asthme 2. Si cette étude ne démontre pas de lien de cause à effet, ses auteurs précisent qu’elle « doit être vue comme une première étape de sélection permettant d’identifier des expositions suspectes pour lesquelles des travaux plus spécifiques sont nécessaires ». Selon les chercheurs, la réduction de l’exposition à ces produits chimiques omniprésents pourrait aider à prévenir le développement de maladies respiratoires chroniques.

Aurélie Giraud

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Substances toxiques illégales (plomb, cadmium, phtalates…) dans 1 article de consommation sur 5 (contrôles européens)

Les résultats des contrôles menés par l’Agence européenne des produits chimiques (Echa) sur des milliers de produits grand public « n’ont rien de rassurant », a rapporté l’association française de défense des consommateurs UFC-Que Choisir en février.

« Phtalates, cadmium, nickel, plomb et autres horreurs toxiques sont encore présents dans des articles de consommation courante. »

Les analyses ont porté sur 5 625 articles de consommation courante vendus dans les pays de l’Union européenne. Le but était de vérifier le respect des interdictions et restrictions d’emploi exigées par le règlement européen REACH. « Les taux de non-conformité, 18 % sur le total, sont beaucoup trop élevés. »

Dans le détail :

  • Dans 20 % des jouets, les phtalates dépassaient le seuil autorisé. « C’est d’autant plus grave que les plastifiants en cause, le DEHP, le DBP et le BBP, sont à la fois classés reprotoxiques et perturbateurs endocriniens. »

  • Dans 14 % des bracelets brésiliens, le cadmium est présent. Plus généralement, les bijoux fantaisie sont à risques, outre le cadmium, la présence de nickel et de plomb est trop fréquente. Ces résultats concordent avec la recherche de métaux lourds, nickel, cadmium et plomb, effectuée par Que Choisir : un test en 2015 a détecté au moins un de ces composés très toxiques au-delà des seuils réglementaires autorisés dans des jouets en métal et dans des bijoux fantaisie.

  • Dans 13 % des articles en cuir, la présence de chrome VI, un allergène cutané très puissant, est détectée. Une présence également mise en évidence par des analyses récentes d’UFC-Que Choisir.

Si 17 % des produits fautifs proviennent de Chine, l’Echa souligne que près de 40 % sont d’origine inconnue. Il n’a pas été possible d’identifier le pays de production. Il est donc préférable d’acheter des produits qui affichent leur lieu de production, conclut UFC-Que Choisir.

Psychomédia avec source : UFC-Que Choisir.
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Des substances cancérigènes dans les baumes à lèvres !

Des substances cancérigènes dans les baumes à lèvres !

Le 27 septembre 2017.

La dernière enquête de l’association UFC-Que Choisir est particulièrement préoccupante. Selon ces travaux, de très nombreux baumes à lèvres contiendraient des substances toxiques.

Des baumes à lèvres toxiques ?

Pour éviter d’avoir les lèvres gercées, nous avons le réflexe d’acheter un baume à lèvres l’hiver. Mais peut-être devrions-nous être plus attentif à la composition de ces produits. C’est en tout cas ce que suggère l’UFC-Que Choisir dans une étude qu’elle vient de publier. Selon ces travaux, de très nombreux baumes à lèvres contiendraient des substances dangereuses. Pour parvenir à cette conclusion, l’association a analysé la composition de 21 baumes de marques différentes.

Elle a ainsi pu constater que 10 références contenaient des huiles minérales potentiellement cancérogènes en cas d’ingestion, et des perturbateurs endocriniens. « On a retrouvé des résidus, l’un est cancérogène, l’autre semble être toxique », a expliqué Fabienne Maleysson, qui travaille à l’UFC-Que Choisir, sur France Info. « Or, ils s’accumulent dans le foie et les ganglions lymphatiques » et cela peut s’avérer dangereux.

Le meilleur soin est également le moins cher

Parmi les marques incriminées, on trouve des noms au-dessus de tout soupçon : le baume Macadamia d’Yves Rocher, le Trésors de miel de Garnier Ultra Doux, l’Original classiccare de Labello, le Classic moisturising lip balm de Carmex, le Nultric de LaRoche Posay, le Homéostick de Boiron, le Cold cream d’Avène, le Nutrition du petit Marseillais, le Stick lèvres hydratant d’Aptonia et le Stick lèvres hydratant d’Uriage.

Certaines de ces marques ont en effet une excellente réputation. Le consommateur a, une nouvelle fois, le sentiment d’avoir été trompé. Mais le plus surprenant est à venir : le meilleur baume à lèvres du marché, celui qui ne poserait aucun problème, serait le baume de la marque Cien, vendu chez Lidl pour la modique somme de 75 centimes. Deux autres produits sortent du lot : le Soin des lèvres de Caudalie et le stick lèvres nourrissant de Melvita. 

Marine Rondot

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Ces substances toxiques qui se cachent dans les fournitures scolaires

Ces substances toxiques qui se cachent dans les fournitures scolaires

Le 1er septembre 2017.

Les agents toxiques sont partout et même dans les produits destinés aux enfants, comme les fournitures scolaires. Le magazine 60 millions de consommateurs a mené l’enquête.

Des substances nocives et des allergènes dans les stylos

Vous avez pensé à faire tri dans vos savons et vos shampoings, également dans vos produits managers, mais savez-vous que la chasse aux substances toxiques doit aussi se faire dans les fournitures de vos enfants ? C’est ce que révèle le magazine 60 millions de consommateurs dans sa dernière enquête. Selon ces travaux, on trouverait des substances nocives et des allergènes dans les encres, les colles, les stylos ou les crayons que les enfants aiment mâchouiller…

« Tout le matériel scolaire parfumé est à proscrire », notent les auteurs de cette enquête. « Pour les gommes, dans l’idéal, préférez celles en caoutchouc naturel, si vous n’êtes pas allergique, sinon synthétique. » Côté colles, on peut se tourner vers des « colles à l’eau » ou « avec des bases végétales ». Vous devrez par ailleurs être attentif à la mention « sans solvant » sur les emballages de vos produits.

Se méfier de certains pictogrammes

Cela paraît aberrant de trouver ce type de substances dangereuses dans des produits destinés aux enfants, mais certains industriels sont plus préoccupés par la multiplication de l’offre et par l’aspect ludique ou insolite de leurs produits que par la santé du consommateur. Le magazine conseille notamment d’éviter d’acheter les correcteurs liquides, appelés communément « blanco », et de leur préférer les « souris ».

Sur certains stylos, on trouve des pictogrammes (irritant, inflammable, nocif pour l’environnement). Si c’est le cas, ne prenez pas ces produits. Enfin, le magazine recommande de préférer les cahiers à spirales aux cahiers reliés avec de la colle, qui contient souvent des solvants et autres composés organiques volatils. Au total, sur 52 produits testés, 19 contenaient des composés cancérogènes, toxiques ou allergisants. 

Marine Rondot

À lire aussi : Les couches contiennent des substances toxiques pour les bébés

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Beaucoup de substances dangereuses dans la poussière des maisons

La poussière dans les maisons contient beaucoup de substances chimiques dangereuses, selon une étude publiée dans Environmental Science and Technology (EST).

Ami Zota de l’Université George Washington et ses collègues ont analysé 26 études portant sur des échantillons de poussière prélevés dans des maisons de 14 États américains.

Ils ont identifié 45 substances chimiques potentiellement toxiques utilisées dans de nombreux produits de consommation et ménagers tels que les planchers de vinyle, les produits de soins personnels, les produits de nettoyage ainsi que les matériaux de construction et d’ameublement.

Plusieurs de ces substances sont perturbateurs endocriniens et/ou cancérigènes. Certains ont été liés à des problèmes développementaux et à des problèmes de santé immunitaires, digestifs, et endocriniens.

10 de ces substances se retrouvaient dans 90 % des échantillons de poussière analysés :

  • différents types de phtalate qui constituaient la catégorie se trouvant en plus grande concentration dans les échantillons ;
  • des phénols, provenant des produits de nettoyage et articles ménagers ;
  • des produits ignifuges, dont un retardateur de flamme cancérigène, le TDCIPP, souvent présents dans les meubles, les produits pour bébés et d’autres articles ménagers ;
  • des perfluoroalkylés (PFASs) notamment présents dans les ustensiles de cuisine antiadhésifs.

Les chercheurs recommandent d’utiliser un bon aspirateur avec un filtre, de se laver les mains fréquemment et d’éviter autant que possible les produits de soins personnels et de produits ménagers qui contiennent des substances potentiellement dangereuses.

Psychomédia avec sources : University of Washington, EST.
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