Archives par mot-clé : taille

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Le 11 octobre 2018.

Une étude américaine, réalisée par des chercheurs de l’université d’Utah, révèle une corrélation entre la taille du pénis et l’infertilité.

Un sexe plus court pourrait provoquer des problèmes de fertilité

Cette nouvelle enquête, menée auprès de 815 participants, révèle que la taille du pénis aurait un impact sur les perspectives de fertilité. Ces résultats ont été présentés au cours de la conférence de l’American Society for Reproductive Medicine, qui s’est tenue jusqu’au 10 octobre dernier.

Les scientifiques ont démontré que les hommes présentant des signes d’infertilité avaient un pénis d’environ 12,5 cm en érection, contre une moyenne de 13,4 cm pour les hommes fertiles. Une différence d’1 centimètre seulement changerait ainsi la donne. Selon le directeur de l’étude, le docteur Austen Slade, « ce n’est peut-être pas une différence frappante mais il y a une réelle signification statistique ».

La taille du pénis serait-elle véritablement un handicap pour concevoir ?

Ces résultats sont à interpréter avec prudence. En effet, l’étude ne donne pas d’indication sur la taille « minimale » d’un pénis qui pourrait engendrer l’infertilité, et se garde bien également de donner des explications sur le fait qu’un pénis plus court serait moins fertile.

La fertilité masculine est en baisse constante depuis de nombreuses années. D’autres études révèlent que des facteurs tels que l’environnement, la consommation de tabac ou le stress, auraient également un impact sur la possibilité d’avoir un enfant.

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Le micropénis

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

La taille des pénis diminue d’année en année et on sait pourquoi

La taille des pénis diminue d’année en année et on sait pourquoi

Le 11 décembre 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Padoue, en Italie, les hommes auraient perdu près d’un centimètre de pénis entre 1948 et 2012. Explications.

Des bouleversements hormonaux en cause

Voilà une nouvelle qui risque d’en inquiéter plus d’un : la taille du pénis des hommes diminue un peu plus d’année en année. C’est ce que révèlent des chercheurs italiens dans une étude publiée dans Corriere della Serra. Selon ces travaux, la longueur moyenne du pénis serait passée de 9,7 cm au repos en 1948 à 8,9 cm en 2012. Soit 1 centimètre en un peu plus de 60 ans.

Selon le professeur Carlos Foresta qui a dirigé ces travaux, cette évolution de la taille du pénis serait due en grande partie aux « changements environnementaux ». Elle explique notamment qu’il existe un lien entre les changements de taille des membres du corps humain et les bouleversements hormonaux. « L’hypothèse la plus probable est que des changements dans notre environnement peuvent influencer le système endocrinien » et donc avoir un impact sur la taille des pénis, explique-t-elle dans le journal italien.

Nos modes de vie sont en cause

Ce que les chercheurs ont également constaté, c’est que la taille des bras et des jambes avait, sur la même période, augmenté. Et cela s’expliquerait encore une fois par des bouleversements hormonaux provoqués par l’évolution de nos modes de vie, notre alimentation, les produits que nous utilisons et leur lot de perturbateurs endocriniens, la pollution à laquelle nous sommes de plus en plus confrontés…

En ce qui concerne la taille du pénis, le surpoids et l’obésité seraient également en cause. Le fait d’être en surpoids est en effet néfaste pour la production d’hormones, notamment pendant l’adolescence. « La longueur du pénis est inversement proportionnelle au surpoids », explique le professeur Carlos Foresta, qui a suivi près de 2 000 hommes pendant plus d’une vingtaine d’années. Voilà qui est dit. 

Claire Verdier

À lire aussi : Plaisir féminin et taille du pénis sont-ils liés ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les hommes de petite taille vivent plus longtemps

Une étude publiée dans la revue Plos One accrédite l’hypothèse selon laquelle les hommes de petite taille vivent plus longtemps que les autres. L’étude se base sur une cohorte de 8.000 Américains résidants d’Hawaii, d’ascendance japonaise, suivis pendant 40 ans dans le cadre d’un programme de recherche de santé, le Kuakini Honolulu Heart Program, détaille NBC News.

Une corrélation positive a été trouvée entre la taille et toutes les causes de mortalité, notamment toutes les morts provoquées par un cancer non relié au tabac. Cette corrélation a été observée sur tout le spectre des tailles étudiées, de sorte que plus les hommes étaient grands, plus leur espérance de vie était réduite.

Source: Shorter Men Live Longer […] – Plos One

Les chercheurs attribuent cette inégalité de longévité à la présence d’un gène spécifique associé à des taux plus faibles d’insuline dans le sang et qu’on trouve chez les individus moins sujets à des cancers. Un gène qui joue un role dans la longévité dans le règne animal (souris, mouches) mais qui a été pour la première fois associé à l’espérance de vie chez l’homme.

En 2013, Arte diffusait un documentaire, «Secrets de longévité», sur l’étude menée pendant 22 ans par le docteur Jaime Guevara sur une population de petite taille, 1 mètre 20 en moyenne, d’une vallée du Sud de l’Equateur, épargnée par le cancer et le diabète. Comme CNN l’expliquait en 2011, il n’y a eu qu’un cas de cancer en 22 ans sur les 99 Equatoriens suivis. S’ils ne mouraient pas d’accident ou de maladie liée à l’alcoolisme, ces hommes et ces femmes vivaient plus longtemps que le reste de la population et même que les membres de leur famille de taille moyenne.

Plusieurs populations de petite taille ont fait l’objet de recherches similaires, mais les chercheurs hésitent à généraliser ces résultats à l’ensemble de la population. Tout comme à trancher sur l’opportunité d’un traitement d’hormone de croissance, dont les effets de croissance ou anti-âge peuvent être contrebalancés par les risques de cancer ou de diabète.

Reste que cette publication sonne comme une revanche biologique pour l’homme de petite taille, plus habitué aux études se penchant sur le handicap social que constitue sa particularité. Le sociologue Nicolas Herpin a ainsi montré à partir des données de l’Insee de 2001, que les hommes de petite taille étaient moins fréquemment en couple que les plus grands.  Par aileurs «la taille élevée est un atout économique pour l’homme. À diplôme constant, les hommes de taille élevée font une meilleure carrière professionnelle car leur sont confiées davantage de responsabilités d’encadrement», écrit le sociologue. La grande taille étant perçue comme un signal d’autorité dans les postes d’encadrement. 

À lire aussi sur Slate.fr

Sarkozy choisit-il des gens de petite taille comme interlocuteurs?
Les arbitres n’aiment pas les grands
Des nains fondent un village pour s’émanciper


A votre santé! – Slate.fr

Films porno : les jeunes hommes complexent sur la taille de leur pénis

Un tiers des hommes de moins de 25 ans ont été complexés par la taille de leur sexe en regardant un film X. Une tendance largement influencée par la consommation croissante de pornographie en ligne.

Alors que la deuxième édition du concours du plus petit pénis se tiendra à New York le 14 juin prochain, l’institut de sondages Ifop publie une étude selon laquelle les sexes surdimensionnés des films X auraient un effet anxiogène sur les jeunes hommes. Près d’un Français sur deux a déjà visionné un film porno. Résultat : de plus en plus de jeunes filles optent pour l’épilation intégrale, et les jeunes hommes se posent des questions sur la taille de leur sexe. Plus d’un tiers (34%) des moins de 25 ans admet avoir été complexé sur la taille de son pénis en regardant un film pour adulte.

Un phénomène de masse

Environ 61% des jeunes hommes sont également convaincus que la taille du pénis joue un rôle essentiel dans le plaisir féminin, alors que la majorité des hommes (56%) et des femmes (63%) pensent l’inverse. Les films X influencent de plus en plus le comportement de la nouvelle génération. Près de 60% des moins de 25 ans, garçons et filles confondus, ont déjà reproduit une position vue dans un film pornographique.

« La consommation de pornographie en ligne est devenue un phénomène de masse dont l’impact sur la sexualité des Français ne se limite pas qu’au visionnage passif d’images pornographiques », observe l’Ifop. En effet, près de 11% des Français avouent avoir filmé leurs ébats pour pimenter leur vie de couple, face à 6% en 2009.

Retrouvez cet article sur Topsanté

Troubles de l’érection : attention aux téléphones portables
Impuissance : lancement d’un nouveau traitement de la dysfonction érectile
Sexo : comment stimuler son érection
Sexualité : la douleur freine la libido chez la femme
Epilation : quand le porno dicte les règles


News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR

Cancer : les femmes de grande taille plus exposées

Les grandes femmes sont plus susceptibles que celles de petite taille de développer un cancer, a révélé une étude publiée jeudi aux États-Unis. Les chercheurs ont examiné près de 145 000 femmes ménopausées âgées de 50 à 79 ans et constaté que pour chaque dix centimètres de taille de plus leur risque de souffrir d’un cancer du sein, du côlon, du rein, de l’ovaire, du rectum, de la thyroïde et de la peau (mélanome) augmentait de 13 %.

« Le cancer résulte d’un processus lié à la croissance. De ce fait, il est logique que les hormones et d’autres facteurs contribuant à la croissance puissent accroître le risque de cancer », relève le docteur Geoffrey Kabat, un épidémiologiste de la faculté de médecine Albert-Einstein de l’Université Yeshiva à New York, principal auteur de cette recherche parue dans la revue américaine Cancer Epidemiology.

Un facteur toutefois mineur

Le lien entre la taille et un risque accru de cancer a subsisté après avoir pris en compte d’autres facteurs pouvant accroître la probabilité de développer la maladie, tels que l’âge, le poids, le niveau de formation, le tabac, la consommation de l’alcool et le fait de suivre une thérapie hormonale. « Nous avons été surpris par le nombre de centres de traitement du cancer où la taille était clairement liée au développement de la maladie. Dans ces statistiques, davantage de cancers semblent avoir un lien avec la taille qu’avec l’indice de masse corporelle », ajoute-t-il.

Parmi les femmes les plus grandes, le risque de certains cancers (rein, rectum, sang, et thyroïde) est même nettement plus élevé, allant de 23 à 29 % pour chaque 10 centimètres de plus. L’étude n’a pas établi une certaine taille à partir de laquelle le risque de cancer commence à augmenter, relève le docteur Kabat tout en soulignant que ce risque reste faible. « Il est important de souligner que l’âge, le tabagisme, le surpoids et certains autres facteurs de risque jouent un rôle considérablement plus grand », souligne le chercheur.

Le cancer toucherait plus les femmes de grande taille

En matière de cancer, la statistique reste encore souvent l’ultime recours. Faute de comprendre les mécanismes profonds de cette maladie, les épidémiologistes tentent de discerner des corrélations entre certains facteurs et la survenue de certains cancers. En matière de comportement et de mode de vie, cette démarche peut conduire à proscrire… beaucoup.

Mais voici qu’un nouveau trait serait discriminant: la taille des femmes ménopausées.

Une cohorte de plus de 20.000 femmes a été analysée par Geoffrey Kabat, épidémiologiste au département d’épidémiologie et de santé à l’école de médecine Albert Einstein de l’université Yeshiva de New York. L’incidence de 19 cancers, dont ceux du sein, du colon, de l’endomètre, du rein, des ovaires, du rectum et de la thyroïde tout comme du myélome multiple et des mélanomes apparaît liée à la taille, même après les ajustements avec les facteurs connus pour influencer la survenue de tels cancers, tels que l’âge, le poids, l’éducation, la consommation de tabac et d’alcool et les thérapies hormonales (THS), selon l’étude publiée par la revue Cancer Epidemiology .

«Nous avons été très surpris par l’association entre le nombre de cancers et la taille, note-t-il. Dans les données, les cancers sont plus liés à la taille qu’à l’indice de masse corporelle. In fine, le cancer résultant de processus ayant à voir avec la croissance, il semble cohérent que les hormones ou d’autres facteurs de croissance qui influencent la taille agissent aussi sur le risque de cancer.» 

L’équipe de Geoffrey Kabat a étudié les données fournies par la Women’s Health Initiative (WHI) qui a recruté des femmes âgées de 50 à 79 ans entre 1993 et 1998 et leur a posé des questions sur leur activité physique tandis que leur taille et leur poids étaient mesurés. Sur un total de 144.701 femmes, 20.928 ont été victimes d’un cancer dans les 12 années qui ont suivi.

Pour une différence de taille de 10 cm, il est apparu une augmentation générale de 13% du risque d’avoir un cancer. Plus précisément, cette augmentation se situe entre 13% et 17% pour le mélanome et le cancer du sein, des ovaires, de l’endomètre et du colon. Il atteint de 23% à 29% pour les cancers du rein, du rectum, de la thyroïde et du sang. Aucune association négative avec la taille n’a été relevée pour les 19 cancers étudiés.

En conclusion, Geoffrey Kabat note que, contrairement à de nombreux facteurs de risque (mode de vie, alimentation…), la taille n’est pas modifiable. Quoique. Le chercheur estime que le résultat de son étude s’inscrit dans ceux qui lient le cancer à des expositions, comme la nutrition, pendant les premières années de leur vie.

Qu’en déduire? Faut-il moins alimenter les petites filles pour qu’elles grandissent moins et qu’ainsi, après leur ménopause, leur risque de cancer soit réduit?

Ce type d’étude souligne surtout la nécessité de comprendre les mécanismes profonds du cancer. Sinon, on pourra un jour reprocher à certains parents d’avoir laissé leurs filles… trop grandir.

M.A.

À lire aussi sur Slate.fr

Travailler de nuit pourrait doubler le risque de cancer du sein
Un gant ultrasensible pour diagnostiquer le cancer du sein
Cancer du sein: la mammographie est plus efficace qu’on ne le pensait!


A votre santé! – Slate.fr

Le tour de taille de votre cercle d’amis influencerait votre silhouette

Le tour de taille de votre cercle d'amis influencerait votre silhouetteNon, les régimes ne sont pas la seule solution envisageable pour la perte de poids. C'est du moins ce que prétendent des chercheurs de l'Université de Washington aux États-Unis. Les scientifiques ont mené une enquête sur un panel de 1775 étudiants issus de deux établissements scolaires, l'un rural, l'autre citadin. Le bilan qu'ils en tirent est plutôt surprenant. Ils ont, en effet, découvert qu'il existait une corrélation entre leur indice de masse corporelle (IMC) et la corpulence de leurs amis.



News Santé | Actualités & informations – Yahoo! Actualités FR