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Capri-Sun : une boisson tendance mais pas recommandable

Capri-Sun : une boisson tendance mais pas recommandable

Le 11 juin 2018.

Il a suffi de quelques apparitions dans des clips de rap pour que le Capri-Sun, une boisson pour enfants, devienne le goûter incontournable. Mais d’un point de vue nutritionnel, cette tendance peut devenir inquiétante.

Les ventes de Capri-Sun ont explosé ces derniers mois

En 2017, le chiffre des ventes de Capri-Sun a augmenté de 20%. Une belle réussite pour le groupe Coca-Cola European Partners qui s’explique par l’engouement de certains rappeurs qui ont décidé d’en parler ou de faire apparaître cette boisson dans leurs clips (14 chanqons au total y font mention). « Vas-y plante la paille, plante la paille dans l’Capri-Sun » chante l’un d’eux, le rappeur Boy-Bandit. En quelques mois le Capri-Sun est devenu incontournable.

Mais cette tendance inquiète les nutritionnistes. Ce produit serait en effet très riche en sucre. « Capri-Sun vante une boisson idéale pour le goûter des enfants », note l’association FoodWatch, sur son site. « Son emballage ne montre pas moins de sept fruits qui sont en fait présents en faible quantité. En revanche elle contient autant, voire plus, de sucre que certains sodas. Une poche de 200 ml de Capri-Sun Multivitamin c’est 19 g de sucre (soit 4 morceaux) ».

Un produit pauvre en vitamines et riche en sucre

Pourtant, comme le rappelle l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’apport en sucre ne doit pas dépasser 10% de l’apport énergétique total. Chez l’enfant, cela correspond à 6 morceaux de sucre. Mais cette importante teneur en sucre n’est pas l’unique problème. Le Capri-Sun ne contient que 12% de jus de fruits à base de concentré et serait très pauvre en vitamines, malgré ce que le marketing autour de ce produit laisse entendre.

« La boisson est enrichie en vitamines synthétiques, puisque la faible quantité de jus de fruits n’apporte que peu de vitamines naturelles », ajoute FoodWatch. Autre problème : la présence de la vitamine B12. « Je me demande bien d’où elle vient car cette vitamine n’existe que dans les produits d’origine animale », explique à LCI Florence Foucaut, nutritionniste à Paris. Aux parents de se montrer prudents avec ce que boivent leurs enfants. 

Marine Rondot

À lire : Top 5 des pires boissons gazeuses pour votre santé

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Cancer : une tendance à combiner l’immunothérapie à la chimiothérapie (Congrès mondial d’oncologie)

Le Figaro rend compte des actualités au Congrès mondial d’oncologie de Chicago (ASCO), organisé du 1er au 5 juin, et a interrogé des experts français.

Les nouvelles thérapies d’immunothérapie ne sont, à ce jour, efficaces que pour une minorité de patients. La tendance est désormais de miser sur les combinaisons de traitements, rapporte le quotidien.

« Des centaines d’études évaluant cette approche sont en cours. » Ainsi, chez les patients souffrant de mélanome, « l’association de deux immunothérapies, nivolumab (Opdivo) et ipilimumab (Yervoy), permet d’améliorer les taux de réponse. “Cette combinaison permet d’obtenir des taux de réponse de 55 % contre 10 % avec l’ipilimumab seul et 30 à 40 % pour le nivolumab mais elle est beaucoup plus toxique que ces différentes monothérapies”, indique le Pr Caroline Robert, chef du département de médecine oncologique en dermatologie à l’Institut Gustave Roussy. »

Mais, les principaux résultats présentés au congrès concernent surtout les combinaisons d’une immunothérapie avec une chimiothérapie. Des résultats « encourageants » ont également été présentés sur la combinaison immunothérapie/radiothérapie.

Les combinaisons de traitements exposent toutefois à plus d’effets secondaires, est-il souligné.

Sur Le Figaro : Immunothérapie et chimio, une combinaison gagnante contre certains cancers.

Pour plus d’informations sur les traitements du cancer, voyez les liens plus bas.

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Le Piloxing, la nouvelle activité sportive tendance et rythmée

Le Piloxing, la nouvelle activité sportive tendance et rythmée

Le 2 janvier 2017.

La nouvelle année est aussi l’occasion de prendre de bonnes résolutions. Le sport fait partie des résolutions les plus adoptées. Et si on se mettait au Piloxing ?

Le Piloxing, la nouvelle activité sportive qui fait un carton

Vous avez déjà testé la zumba, la boxe, le Pilates ou la danse et vous voulez changer ? Découvrez le Piloxing ! Nouvelle activité sportive venue tout droit de Suède, elle fait un carton aux États-Unis en mélangeant les cours de Pilates, de boxe et de danse : des exercices cardio-respiratoires intensifs pour un renforcement musculaire maximal. Le tout sur une musique rythmée et entraînante, pour rendre l’activité sportive plus amusante et moins épuisante.

Il faut chercher à se défouler si on choisit de pratiquer cette activité. Aucune pause n’est prévue au cours des séances. Chaque participant reproduit les chorégraphies du coach et enchaîne les mouvements. Les résultats seraient plutôt prometteurs : 900 calories pourraient être brûlées par séance d’une heure.

Une activité qui demande de l’endurance

Côté équipement, le Piloxing se pratique en tenue de sport avec des gants lestés de 500g à chaque main (autour de 20 € la paire). On recommandera par ailleurs de porter des chaussures de sport avec une bonne semelle, car cette activité sportive vous conduira à sautiller comme à la boxe. Il est donc indispensable de prendre soin de ses articulations.

Cette activité sportive très intensive est cependant déconseillée pour les personnes qui n’ont jamais pratiqué un sport. Si vous êtes en surpoids ou si vous n’avez jamais fait de sport, tournez-vous vers une activité plus douce pour commencer. Tenir une heure sans pause en sautillant demande en effet une endurance qui n’est pas donnée à tout le monde.

Pour en savoir plus : Sport et santé

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Une explication pour la tendance aux jugements moraux « noir ou blanc »

Tueriez-vous une personne innocente pour en sauver cinq ? Votre popularité pourrait dépendre de votre réponse. Les gens évaluent si les autres sont dignes de confiance sur la base de leurs jugements moraux, montre une étude publiée dans le Journal of Experimental Psychology : General (JEPG).

Les gens ont tendance à préférer, comme partenaires sociaux, ceux qui basent leurs décisions morales sur des principes absolus plutôt que sur une analyse des conséquences, montre l’étude.

Ces résultats, estiment les chercheurs, peuvent aider à expliquer pourquoi les jugements instantanés sur la moralité ont tendance à être basés sur un ensemble de règles morales absolues (telles que « ne pas tuer des innocents »), même si l’on peut prendre des décisions différentes lorsqu’on a plus de temps.

Le chercheur en psychologie Jim A.C. Everett et ses collègues (1) des universités Oxford et Cornell ont comparé deux écoles de pensée sur la morale.

Les approches conséquentialistes considèrent que nous devrions viser à maximiser le plus grand bien pour le plus grand nombre, même si cela implique de causer un préjudice, comme de tuer une personne pour en sauver cinq.

À l’opposé, les approches déontologiques mettent l’accent sur les règles morales et les idées de droits et de devoirs, de sorte que certaines choses (comme tuer une personne innocente) sont mauvaises, même si elles maximisent de bons résultats (comme sauver des vies supplémentaires).

Les gens ont tendance à adopter le style déontologique de moralité, « ce qui suggère que ces règles morales ont, en quelque sorte, été codées dans la nature humaine », expliquent Everett et ses collègues (1). « Mais pourquoi ? »

« Les psychologues ont fait valoir que les intuitions déontologiques résultent de réactions émotionnelles “irrationnelles”, mais nos travaux suggèrent une autre explication : la popularité. Si les gens qui adhèrent à des absolus moraux sont préférés en tant que partenaires sociaux, exprimer ce point de vue permet de retirer des avantages pour soi-même. Avec le temps, cela pourrait favoriser un type de pensée morale par rapport à un autre au niveau de la population globale. Et cela a un sens : on frémit à la pensée d’un ami ou d’un partenaire faisant une analyse coût/bénéfice pour savoir si vous devriez être sacrifié pour le plus grand bien. Plutôt que de refléter une pensée émotionnelle erronée, le jugement moral basé sur des règles pourrait être une caractéristique adaptative de nos esprits. »

Pour tester cette idée, les chercheurs ont utilisé plusieurs variantes de dilemmes moraux où la personne doit décider de sacrifier ou non une personne innocente pour sauver la vie de plusieurs d’autres. Les participants devaient ensuite indiquer s’ils préféraient, comme partenaires sociaux, ceux qui avaient fait des jugements basés sur les règles ou ceux qui se basaient sur une analyse des conséquences.

À travers 5 expériences, avec plus de 2400 participants, ils ont constaté que les gens qui avaient une approche absolue (refusant de tuer une personne innocente, même lorsque cela maximiserait le plus grand bien) étaient considérés comme plus fiables.

Lorsqu’on leur demandait de faire confiance à une autre personne dans un contexte impliquant une somme d’argent, les participants remettaient plus d’argent, et étaient plus confiants de le récupérer, avec quelqu’un qui avait refusé de sacrifier quelqu’un pour en sauver plusieurs.

Mais, simplement décider de sacrifier ou non un innocent n’était pas la seule chose qui importait. Quelqu’un qui avait décidé de sacrifier une vie pour en sauver cinq mais avait trouvé cette décision difficile semblait plus digne de confiance que quelqu’un qui avait trouvé la décision facile.

Et ceux qui avaient refusé de tuer n’étaient pas toujours jugés plus dignes de confiance. Lorsque la personne qui pouvait être sacrifiée indiquait un désir spécifique de vivre ou une volonté de mourir, les gens favorisaient les individus qui avaient respecté les souhaits, même si le meurtre était impliqué.

« Cela contribue à expliquer pourquoi nous semblons aimer les gens qui adhèrent à ces règles morales intuitives – non pas parce qu’ils collent à la lettre de la loi, mais parce que les règles elles-mêmes ont tendance à insister sur l’importance absolue de respecter les souhaits et les désirs des autres ».

Ces résultats, concluent les chercheurs, montrent que les décisions morales de la vie de tous les jours ne correspondent pas exactement aux catégories nettement définies par les philosophes de la moralité. La moralité de tous les jours est plutôt adaptée à la complexité des situations de la vie réelle.

(1) Molly J. Crockett et David Pizarro.

Psychomédia avec sources : University of Oxford, JEPG.
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Des tatouages de taches de rousseur: une tendance beauté qui va trop loin?

Pour certaines, les taches de rousseur sont une damnation pour leur rituel beauté, surtout lorsque vient l’été. Ils couvrent leur visage en entier et est souvent synonyme d’une peau sensible au soleil. Pour d’autres, elles sont un but ultime et en avoir est un rêve absolu. Le souhait de ces femmes pourrait bientôt être exaucé grâce à Freck Yourself.

La compagnie s’est lancée dans un projet «Kickstarter» pour promouvoir ses tatouages de taches de rousseur d’allure naturelle et semi-permanents. En quatre étapes faciles, vous pouvez avoir des taches de rousseur au niveau des joues et du nez pendant quatre à six semaines, promet «Freck Yourself». Le résultat est beaucoup plus discret que des taches de rousseur faites à la main au crayon ou au pinceau, et sans dégâts.

Certains utilisateurs ont pris les réseaux sociaux d’assaut pour dire qu’ils donneraient volontiers leurs taches de rousseur, s’ils le pouvaient. Comme quoi on veut toujours ce qu’on n’a pas, et vice-versa!

Keep Leaf fait rimer éthique et tendance


Avec sa gamme d’accessoires en coton bio d’une excellente qualité, la marque américaine Keep Leaf nous prouve qu’il est possible de conjuguer éthique et tendance.

Le choix de l’e-boutique Brindilles.fr s’est d’ailleurs porté sur ces ravissantes trousses de maquillage aux motifs ultra mode.

Et tout particulièrement sur cette trousse de maquillage Tiles (photo bas) façon plumier et zippée dans laquelle on peut glisser facilement tout son nécessaire make-up.

Bien pensée, cette trouse a un intérieur imperméable et est entièrement doubliée polyester garnati sans BPA ni phtalates. De plus, elle se lave sans problème à l’eau et au savon.

Une trousse qu’on l’emporte avec plaisir dans son sac à main pour les retouches de journée ou pendant un…
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