Archives par mot-clé : thérapeutique

Liste des 13 médicaments à marge thérapeutique étroite « non substituables » (France)

Selon l’arrêté du 12 novembre 2019 du ministère de la Santé, à compter du 1er janvier 2020, la mention « non substituable » sur les ordonnances médicales ne suffira plus pour indiquer que le pharmacien ne doit pas remplacer un médicament par un générique.

La mention devra être complétée d’un code qui précise l’une des 3 situations cliniques qui peuvent justifier la non-substitution.

Ces situations sont, selon l’arrêté :

  1. « Prescription de médicaments à marge thérapeutique étroite pour assurer la stabilité de la dispensation, lorsque les patients sont effectivement stabilisés avec un médicament, et à l’exclusion des phases d’adaptation du
    traitement.
     »

    Un médicament à marge thérapeutique étroite. Un médicament à marge thérapeutique étroite (MTE) est un médicament pour lequel la différence entre dose efficace et dose toxique est faible.

    L’arrêté inclut la liste des principes actifs rentrant dans la composition des médicaments qui sont éligibles. Les voici selon le classement par catégories de Vidal.

    Pour le topiramate (Epitomax), le valproate de sodium (Dépakine) et le mycophénolate mofétil (Cellcept), le tarif forfaitaire de responsabilité sera appliqué. C’est-à-dire que ces médicaments seront remboursés sur la base du prix moyen des génériques. La différence avec le prix du médicament de marque sera aux frais du patient.

  2. « Prescription chez l’enfant de moins de six ans, lorsqu’aucun médicament générique n’a une forme galénique adaptée et que le médicament de référence disponible permet cette administration.  »

  3. « Prescription pour un patient présentant une contre-indication formelle et démontrée à un excipient à effet notoire présent dans tous les médicaments génériques disponibles, lorsque le médicament de référence
    correspondant ne comporte pas cet excipient.
     »

Psychomédia avec sources : Journal officiel de la République française, Vidal.
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Cannabis thérapeutique : l’expérimentation autorisée en France

Cannabis thérapeutique : l'expérimentation autorisée en France

Le 12 juillet 2019

L’Agence du médicament a autorisé jeudi 11 juillet 2019 un test du cannabis à usage thérapeutique en situation réelle.

Ouvrir la voie au cannabis thérapeutique

L’ANSM a validé jeudi 11 juillet le cadre global proposé fin juin par un groupe d’experts. Selon l’Agence du médicament, les propositions sont satisfaisantes. Le travail réalisé par le groupe d’experts a d’ailleurs été salué. L’ANSM leur avait demandé fin 2018 de réfléchir aux contours de l’expérimentation du cannabis thérapeutique.

Cette première étape est un enjeu de taille, puisque les données recueillies devraient permettre d’autoriser ou non la légalisation du cannabis à visée médicale. Plusieurs milliers de patients pourraient expérimenter le cannabis thérapeutique parmi 276.000 patients concernés en France. Les participants seront suivis par des équipes de médecins spécialistes des maladies concernées et répertoriés dans un registre national électronique de suivi. 

Une solution pour les patients en impasse thérapeutique

Cette expérimentation devrait permettre de prescrire du cannabis thérapeutique aux patients souffrant de certaines formes d’épilepsie résistantes aux traitements, mais aussi de douleurs neuropathiques résultant de lésions nerveuses pour lesquels aucun traitement ne peut soulager le patient jusqu’ici. Le cannabis thérapeutique pourrait également être prescrit aux personnes subissant les effets secondaires des chimiothérapies, mais également de contractions douloureuses liées à la sclérose en plaques et à d’autres pathologies du système nerveux.  

Toutefois, il n’est pas question de prescrire des « joints sur ordonnance », dont la combustion entraîne des effets nocifs. Les produits autorisés durant ce test contiendront divers dosages de deux principes actifs du cannabis, le THC et le CBD qui ont des effets différents. Les patients se verront proposer des huiles et des fleurs de cannabis séchées inhalées. D’autres solutions buvables ainsi que des gouttes et des capsules d’huile pourront être ingérées. 

Stéphanie Haerts

À lire aussi : Le cannabis est-il dangereux pour la santé ?  

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Cannabis thérapeutique : un avis favorable à l’autorisation en France (ANSM)

Le comité de l’agence française du médicament (ANSM) chargé d’évaluer la pertinence du « cannabis à visée thérapeutique » a rendu, le 13 décembre, un avis favorable à son autorisation.

Il s’agit ici de la plante de cannabis et non pas des spécialités pharmaceutiques disposant d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) ou d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU).

« Considérant les risques pour la santé », le comité exclut toutefois la voie d’administration fumée (…). « Il rendra le cas échéant un avis détaillé sur les différentes voies d’administration possibles. »

Le Comité estime « qu’il est pertinent d’autoriser l’usage du cannabis à visée thérapeutique :

  • pour les patients dans certaines situations cliniques ;
  • et en cas de soulagement insuffisant ou d’une mauvaise tolérance des thérapeutiques, médicamenteuses ou non, accessibles (et notamment des spécialités à base de cannabis ou de cannabinoïdes disponibles) ».

Les situations thérapeutiques retenues sont les suivantes :

  • les douleurs réfractaires aux thérapies (médicamenteuses ou non) accessibles ;
  • certaines formes d’épilepsie sévères et pharmacorésistantes ;
  • les soins de support en oncologie ;
  • les situations palliatives ;
  • la spasticité douloureuse de la sclérose en plaques.

« Le Comité souhaite qu’un suivi des patients traités soit mis en place sous forme d’un registre national pour assurer une évaluation de son bénéfice/risque, qu’une évaluation des effets indésirables soit régulièrement faite par les réseaux de pharmacovigilance et d’addictovigilance, et que la recherche soit favorisée. »

Il « souhaite pour que l’ensemble de ces propositions soit appliqué, qu’une évolution de la législation soit mise en œuvre ».

L’agence « décidera dans les prochains jours des suites à donner à ces travaux ».

Pour plus d’informations sur le cannabis médical, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : ANSM.
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Du cannabis thérapeutique en boutique : est-ce sans danger ?

herbalhemp/Pixabay/CC0 Creative Commons

Du cannabis thérapeutique dans une boutique, c’est tout sauf nouveau. En effet, et contrairement à ce que certains de nos confrères bien mal informés ont pu écrire, la boutique « Bestown » qui vient d’ouvrir à Annœullin (Hauts-de-France) est loin d’être la première du genre. Des boutiques de ce type, il en existe déjà à Besançon, Mandelieu-La Napoule ou bien encore Béthune.

Qu’y trouve t-on ? Des infusions, du e-liquide pour cigarette électronique, des huiles essentielles, des plantes à infuser, etc…

Est-ce légal ? Oui. Ces produits sont fabriqués à base de cannabidiol (CBD), un composé du cannabis qui n’est pas considéré comme une substance illicite, et sont surtout débarrassés du fameux THC, la molécule qui fait de la marijuana une drogue.

« Nos produits n’ont aucun effet psychoactif et il n’y a pas d’addiction (…) le CBD a des effets très bénéfiques sur des pathologies comme l’arthrose » a martelé la propriétaire de la nouvelle boutique auprès du célèbre quotidien « Le Parisien/Aujourd’hui en France » .

La gérante de ce magasin vendait autrefois des vêtements et a décidé avec son compagnon de se lancer dans ce commerce d’un nouveau genre après avoir vu un reportage sur un magasin déjà ouvert, celui de Besançon.

Selon les propriétaires de ces établissements d’un nouveau genre,  le cannabidiol aurait la faculté d’améliorer les fonctions pulmonaires des asthmatiques, de réduire les tremblements dus à la maladie de Parkinson, de soulager la douleur, l’arthrose et même l’anxiété..

Il y a quelques semaines l’émission « Quotidien » avait consacré un reportage assez déroutant sur la boutique de Besançon

Qu’est-ce que le cannabidiol et est-il sans danger?

Mais le cannabidiol c’est quoi exactement. Et est-il vraiment sans danger ? Voici l’avis de l’Organisation Mondiale de la Santé.

Le cannabidiol est l’un des nombreux (probablement 200) composés de la plante de cannabis.

Au cours de sa réunion de novembre 2017, le Comité OMS d’experts de la pharmacodépendance a conclu que, à l’état pur, le cannabidiol (CBD) ne semble pas présenter de potentiel d’abus, ni être nocif pour la santé. Ainsi, le cannabidiol n’étant actuellement pas classé comme substance à part entière (uniquement comme composé d’extraits de cannabis), les informations actuelles ne justifient ni le changement de statut ni la classification de cette substance.

Cependant, dans la mesure où le CBD est produit à des fins pharmaceutiques en tant qu’extrait de cannabis, les extraits et teintures de cannabis figurent dans la Convention unique des Nations Unies sur les stupéfiants de 1961. Les extraits ou préparations contenant presque exclusivement du CDB feront l’objet d’un examen plus approfondi en juin 2018, lorsque le comité d’experts de l’OMS procédera à une analyse complète du cannabis et des substances apparentées.

La non-classification d’une substance signifie qu’elle n’est pas placée sous contrôle international strict, y compris pour la production et l’approvisionnement. La définition de son statut juridique dans les pays relève des législateurs nationaux. Certains pays ont assoupli les réglementations relatives au cannabidiol afin de considérer les produits qui en contiennent comme des produits médicaux. Il s’agit notamment de l’Australie, du Canada, des États-Unis d’Amérique, du Royaume-Uni et de la Suisse.

Quelles sont les preuves que le cannabidiol est utile à des fins médicales?

L’OMS ne recommande pas l’usage du cannabidiol à des fins médicales. Les premières données issues d’études réalisées chez l’homme et l’animal (une étude contrôlée publiée dans le New England Journal of Medicine et d’autres cas individuels notifiés) montrent que son utilisation pourrait avoir des vertus thérapeutiques pour les crises dues à l’épilepsie et à des pathologies associées.

Certaines personnes utilisent le cannabidiol pour calmer les spasmes lors des crises d’épilepsie. Récemment, le le New England Journal of Medicine a également publié une étude indiquant que certains éléments attestent d’une possible efficacité pendant les crises d’épilepsie. Cela signifie qu’il pourrait être utilisé à des fins médicales, mais d’autres éléments de preuve restent nécessaires.

Voir aussi >>> Alcool, tabac, cannabis… nos ados sont dépendants!

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Reconnaissance scientifique internationale de l’efficacité thérapeutique du dispositif médical Cefaly®

Reconnaissance scientifique internationale de l’efficacité thérapeutique du dispositif médical Cefaly®, une innovation technologique mise au point par la firme liégeoise Cefaly Technology dans le traitement de la migraine.

Liège, Belgique, le 13 janvier 2014. Le Cefaly®  est une innovation technologique issue de la recherche menée et mise au point en 2009 par la Société liégeoise Cefaly Technology (anciennement Stx-Med) fondée en 2004 par M. Pierre Rigaux, Docteur en Médecine (Université de Liège) et M. Pierre-Yves Muller, Docteur en physique (Université de Genève).

Le Cefaly® est le premier appareil de neurostimulation externe au monde pour le traitement et la prévention des migraines et des céphalées. Son efficacité thérapeutique est aujourd’hui pleinement reconnue  par la communauté scientifique internationale.

Une première publication des résultats de l’étude PREMICE dans la revue NEUROLOGY (Journal Officiel de l’Académie Américaine de Neurologie) avait déjà reconnu en mars 2013 l’efficacité et la sécurité du dispositif médical CEFALY® dans le traitement de la migraine.

C’est aujourd’hui au tour de la prestigieuse revue scientifique de référence  « JOURNAL of HEADACHE and PAIN »  de publier à son tour les résultats positifs d’une étude clinique menée sur 2313 patients et de confirmer l’excellente efficacité et sécurité de l’appareil médical CEFALY® dans le traitement de la migraine**.

« Cette étude menée sur un grand nombre de personnes  (2313 patients) confirme ce que nous annoncions depuis le lancement du produit en 2009, à savoir que notre dispositif médical pouvait engendrer une amélioration significative, sans médicaments ni contre-indications pour les patients, dans le traitement de la  migraines. » déclare le Dr Pierre Rigaux, co-fondateur de Cefaly Technology. Les médicaments antimigraineux, ajoute-t-il, ne sont que modérément efficaces, souvent mal tolérés et leur utilisation excessive est un facteur essentiel d’aggravation et d’évolution vers une forme chronique. Après deux mois de traitement avec notre dispositif, l’étude a révélé que 54,4% des patients décrivaient une amélioration très significative. Et si on écarte les patients qui n’ont pas ou peu utilisé l’appareil et que l’on conserve les utilisateurs réguliers, le pourcentage des patients avec une amélioration très significative est même de 81%. »

Des effets secondaires, tous mineurs et totalement réversibles, sont rapportés par seulement 4,3% des patients, précise l’étude qui souligne le rapport efficacité/sécurité excellent observé.

Cefaly® apparaît aujourd’hui comme un moyen de choix pour traiter une majorité de patients migraineux. 

« La neurostimulation crânienne est une technique utilisée depuis plusieurs années en neurologie, mais qui était appliquée au moyen de neuro-stimulateurs implantables (type pacemaker). Cefaly® est le premier appareil de neurostimulation crânienne externe au monde et les progrès technologiques du Cefaly® en font un dispositif médical simple d’utilisation, léger, économique et confortable, qui procure aux patients migraineux un moyen de traitement efficace non-médicamenteux et non-invasif. »  ajoute Pierre-Yves Muller, co-fondateur de la société liégeoise basée à Herstal.

La technologie mise au point par la société liégeoise a d’emblée, et dès 2009, rencontré un vif succès lors de sa présentation dans les congrès scientifiques et expositions médicales dans le monde. Le Cefaly® est aujourd’hui déjà distribué dans une trentaine de pays. La société Cefaly®  Technology, basée à Herstal, occupe une dizaine de personnes et affiche une croissance en 2013 de quelque 16 % avec un chiffre d’affaires de 2,5 M€ (600.000€ en 2009).

(*)http://www.neurology.org/ content/early/2013/02/06/WNL. 0b013e3182825055.abstract

(**)http://www. thejournalofheadacheandpain. com/content/14/1/95

A propos du Cefaly : Le Cefaly® , protégé par une série de brevets, a le marquage CE Médical et est certifié ISO Médical. Une électrode autocollante est placée sur le front et l’appareil vient se placer sur cette électrode dans la position d’une paire de lunettes. Des impulsions très précises sont transmises au travers de l’électrode aux terminaisons nerveuses de la branche supérieure du nerf trijumeau.

En Europe, le Cefaly est proposé en location essai pour 49 € tout compris durant 40 jours. En cas d’achat le montant de la location est déduit du prix d’achat, soit 295€ – 49€ = 246€.

A propos de Cefaly Technology sa : Cefaly Technology (ex-STX-Med) est spécialisée dans la recherche et l’innovation utiles à l’être humain dans le domaine de l’électronique et de la bioélectronique. Une équipe pointue d’ingénieurs et de médecins exploite les résultats de la recherche médicale pour réaliser des produits électroniques qui améliorent la santé et le bien-être des personnes. La société est située en Belgique dans le Parc Scientifique de Liège et dans la ZI des Hauts-Sarts à Herstal. L’entreprise conduit de nombreux projets en collaboration étroite avec des Centres de Recherche et des Universités. En septembre 2013, Cefaly Technology (STX-Med) a été la seule entreprise européenne retenue pour participer au grand projet de recherche européen sur la migraine EUROHEADPAIN financé par l’Union Européenne, aux côtés de onze centres de recherche académiques de dix pays différents.

Source/Référence © 2014 Cefaly Technology


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Le régime cétogène : arme thérapeutique face au cancer ?

« Le régime cétogène : arme thérapeutique face au cancer ? » par le Docteur Erard de Hemricourt. Selon certaines données récentes, un régime (très) pauvre en hydrates de carbone serait une approche thérapeutique efficace contre le développement et l’évolution des cancers, du moins chez les animaux de laboratoire.

Face à la très faible efficacité thérapeutique des médicaments anticancéreux chez les patients souffrant de cancer à un stade généralisé, de plus en plus de médecins et de chercheurs se demandent s’il n’existe pas un moyen plus simple et surtout moins toxique pour ralentir la progression de cette maladie.

Et cette réponse pourrait venir de notre alimentation. Du moins selon les travaux de l’équipe du Professeur Dominic D’Agostino du Morsani College of Medicine situé en Floride qui a montré récemment que les animaux qui étaient soumis à un tel régime cétogène, c’est-à-dire extrêmement appauvri en sucres, développaient plus difficilement des métastases de tumeur cancéreuse.

Les cancérologues savent depuis des dizaines d’années que les cellules cancéreuses possèdent un comportement métabolique unique par rapport aux cellules normales. Ces cellules ont en effet besoin de beaucoup d’énergie pour survivre, se diviser de manière immodérée et surtout pour évoluer.

Ce concept avait également été largement repris par le regretté David Servan Schreiber qui dans son ouvrage de vulgarisation sur le cancer, disait clairement qu’il fallait absolument éviter tout apport alimentaire de glucides afin de ne pas mettre de l’huile sur le feu qui pourrait mener à la progression de la maladie cancéreuse et à la dissémination des cellules métastatiques.

La diète cétogène qui, par définition, contient environ 75-85 % de matières grasses, 10-20 % de protéines et moins de 5 % de glucides, tranche nettement avec notre régime occidental, moderne, où c’est plutôt le sucre qui fait la part belle à notre alimentation. On comprend ainsi mieux les chercheurs qui affirment que la nutrition serait l’une des principales causes de l’augmentation des cas de cancer dans le monde (outre le vieillissement de la population).

D’après les études menées par l’équipe du Prof. D’Agostino et publiées durant l’été 2013 dans la revue PLOS ONE, les souris soumises au régime cétogène présentaient une amélioration de leur survie par rapport à un groupe témoin de souris, non soumis à ce type de régime. Et si ce régime cétogène était combiné à un traitement par oxygène hyperbare, la survie des animaux était augmentée de 78 %.

Le régime cétogène oblige les cellules à se tourner vers d’autres sources énergétiques comme les acides gras ou les corps cétoniques. Les cellules cancéreuses ayant un comportement anaérobique (environnement appauvri en oxygène) ont beaucoup plus de difficultés à réorienter leur métabolisme vers ces substances. Cela pourrait expliquer le ralentissement de la progression des lésions tumorales et surtout l’apparition des métastases.

Par ailleurs, des recherches similaires ont été et sont menées chez les êtres humains afin de préciser ces données scientifiques. Si cela se confirme, la modification de l’alimentation serait une approche relativement aisée et abordable pour tous les patients qui permettrait d’améliorer leur état général, de jouer un possible impact sur leur maladie et, il faut l’espérer d’accroître leur survie.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé – Tous droits réservés-
« Ne restez plus jamais seul face à votre cancer » avec Esperity, premier site multilingue destiné aux patients touchés par le cancer


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