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Le travail, ça n’est pas toujours la santé : les métiers avec le plus fort taux d’obésité

Travailler plus de 40h par semaine augmenterait drastiquement les chances d’être obèse. Les métiers les plus touchés seraient ceux de l’administration publique, mais également ceux du domaine de la santé. Et manifestement le salaire joue également un rôle.

Atlantico : L’American Journal of Preventive Medicine a récemment mené une étude (voir ici) sur le problème de l’obésité au travail. On s’aperçoit que l’administration publique et le domaine de la santé accusent les plus hauts taux d’obésité. Comment l’expliquer ?

Gérard Dine : Concernant les administrations publiques il est possible de se pencher sur différents aspects, qui pourraient servir d’explications : l’administration publique, c’est en quelque sorte un emploi assuré, loin des possibles problèmes de performance. On pourrait parler d’une situation de protection à l’égard du travailleur, qui ne rencontre ni remise en cause, ni compétition et concurrence au sein de l’administration. A partir de là on peut parler d’une routine, d’une habitude, qui mène à des dérapages comportementaux sur les lieux du travail. En revanche, il s’agit d’un constat autrement plus étonnant vis-à-vis des métiers de la santé, parce que les métiers qu’on assimile à l’univers de la santé sont des métiers qui exigent beaucoup de travail, où le travailleur se retrouve dans un environnement de stress. L’explication la plus logique serait celle de ce stress, qui peut avoir un impact sur les comportements de type tabagisme et grignotage. Ces addictions sont connues, et beaucoup de gens qui travaillent dans la santé fument, auraient une prise alimentaire anarchique qui n’est pas adaptée, ni qualitativement, ni quantitativement. C’est le phénomène opposé à celui de l’administration publique, qui rencontre un problème de sédentarité au sens littéral du terme. Les deux extrêmes sont à craindre, donc. Il faut toutefois faire attention à la façon dont l’étude est menée : le secrétaire du médecin fait partie du personnel de santé. La santé, comme (…)lire la suite sur Atlantico

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La pratique du vélo en cas de pic de pollution n’est pas (toujours) une bonne idée

Plus de 30 départements sont concernés par les pics de pollution ce vendredi. La situation devrait perdurer jusqu’à au moins dimanche soir. L’Ile-de-France, mais aussi la Bretagne, la Haute Normandie, ou encore la région Rhône-Alpes, la Picardie ou le Nord-Pas-de-Calais, sont exposés à des particules fines: les particules PM10. Dans Les Echos, l’association France Nature Environnement a déclaré que «le seuil record de 100 mg/m3 d’air» avait été atteint ce jeudi dans la capitale«soit le double de la limite acceptable».

Les conseils ne manquent pas dans les médias, mais ils sont parfois contradictoires, ou ne répondent pas à toutes vos questions. Nous allons tenter de vous éclairer grâce aux recommandations de Stéphane Le Calvé, chercheur au CNRS spécialisé dans la physico-chimie de l’atmosphère, et du docteur Lise Rosencher, pneumologue à Paris.

Dois-je prendre le vélo ou les transports en commun? 

Depuis jeudi, la mairie de Paris a rendu gratuits les Velib, et de vendredi à dimanche soir, tous les transports en commun sont accessibles sans payer dans toute l’Ile-de-France. Même chose à Caen et Rouen, et ce vendredi à Grenoble et Reims. L’objectif: inciter les automobilistes à laisser la voiture.

Mais entre le vélo, le métro, le bus ou le tram, je choisis quoi?

La plupart des médias conseillent le vélo ou la marche à pieds. C’est le cas de l’Express ou du Monde. Selon des études réalisées par l’Observatoire de l’Air en Midi-Pyrénées (ORAMIP), les transports en commun sont extrêmement pollués. En effet, tous ont l’inconvénient d’être à la fois ouverts sur l’extérieur (avec les ouvertures des portes notamment), tout en restant dans des lieux clos, où les particules stagnent. 

Mais Lise Rosencher et Stéphane Le Calvé n’ont pas tout à fait le même raisonnement que l’ORAMIP. En faisant du sport, expliquent-ils, on inhale davantage de particules polluantes. Durant les pics de pollution, cela augmente les risques d’accidents pulmonaires ou cardiaques, notamment chez les personnes sujettes à de telles maladies. 

Il resterait donc conseillé, surtout pour ces personnes-là, d’éviter le vélo et de privilégier les transports en commun. Pour les autres, la marche à pieds, en marchant doucement et au plus loin des voitures, reste la meilleure solution, car elle limite l’effort physique.

Pour les personnes en bonne santé toutefois, en roulant doucement et si possible avec un masque, prendre son vélo, c’est toujours mieux que de prendre sa voiture.

Est-ce que je me protège en me couvrant le visage avec mon écharpe?

«Absolument pas», selon Lise Rosencher. La seule vraie protection serait les masques que l’on trouve notamment dans certains magasins de vélo. Mais pas de panique: si vous vous contentez de vous balader quelques minutes dehors, vous n’êtes pas obligé de porter un masque.

Est-ce que je peux aérer mon appartement ou ma maison?

«Le tout est de savoir ce qui est le plus pollué: l’intérieur ou l’extérieur», explique Lise Rosencher. Le problème durant les pics de pollution est qu’il y a des dépôts de particules tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Celles qui sont à l’intérieur sont dues aux mouvements des habitants d’une maison (respiration, transpiration, faire la cuisine, mettre le chauffage, etc), et celles à l’extérieur à la pollution, entre autres.

«C’est pourquoi je déconseillerais d’aérer en ce moment, confie Lise Rosencher, surtout pour les personnes les plus vulnérables. Mais ce conseil n’est pas valable si votre maison est en travaux, par exemple.»

Pour Stéphane Le Calvé, le plus prudent serait de continuer d’aérer, mais aux moments de la journée où les particules sont les moins denses:

«Tôt le matin ou tard le soir, lorsque le trafic automobile est réduit.»

Est-ce plus dangereux de fumer en ce moment?

Fumer est dangereux, peu importe quand. Les pics de pollution n’aggravent cependant pas les effets du tabac –mais ils ne les atténuent pas non plus. N’allez cependant pas croire que ceci est un encouragement à fumer, au contraire: pendant les pics de pollution, chers fumeurs, vous subissez à la fois les effets du tabac, et ceux des particules.

C.J.

Pour davantage de recommandations, vous pouvez consulter le site du ministère de la Santé.

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Cœur artificiel : le patient toujours dans un état «satisfaisant»

Deux mois après l’opération constituant une première mondiale, l’homme porteur d’une bioprothèse cardiaque s’alimente et n’a plus besoin d’assistance respiratoire continue, selon ses médecins.

L’homme de 76 ans qui a reçu une prothèse cardiaque totale Carmat se trouve dans un état «satisfaisant», deux mois après son opération qui constitue une première mondiale, rapporte ce mardi l’équipe médicale de l’hôpital européen Georges Pompidou qui le suit à Paris.

Le malade, qui souffrait d’insuffisance cardiaque en phase terminale quand il a été opéré, a connu une évolution post-opératoire «longue et difficile», mais peu surprenante au vu de son âge et de la pathologie dont il souffrait, précise le communiqué.

Au rang des progrès, il «s’alimente et ne nécessite plus d’assistance respiratoire continue», ajoutent ses médecins qui saluent «un malade exemplaire», courageux et plein d’humour. Sa bioprothèse, mise au point par le Pr Alain Carpentier, «continue de fonctionner de façon satisfaisante», et le patient n’a pas eu à prendre de traitement anticoagulant depuis le 10 janvier.

La coeur artificiel Carmat, réalisé en biomatériaux, ne nécessite pas la prise de traitement immunosuppresseur et est à ce jour la prothèse reproduisant le plus fidèlement le fonctionnement naturel du cœur. Contrairement aux pompes d’assistance mécaniques ventriculaires utilisées jusqu’à présent, dont l’usage est temporaire, il est destiné à rester dans l’organisme du patient. Seules les batteries, d’une autonomie de deux heures, sont à l’extérieur du corps du malade. La conception du coeur artificiel a nécessité plus de 20 ans de recherche.

Le dispositif expérimental doit encore être implanté sur trois autres patients pour valider la première phase d’essais cliniques destinée à vérifier qu’elle ne met pas en danger les patients. Si les résultats sont positifs, une deuxième phase d’essais portant sur une vingtaine de patients devrait suivre.

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Ysthéal, toujours plus loin dans l’anti-âge chez Avène

Au fil du temps, les réserves de la peau en vitamine A diminuent. Un phénomène amplifié par les rayons UV connus pour être responsables à 90% du vieillissement cutané.

Au niveau cellulaire, les conséquences sont un ralentissement de l’activité métabolique, une accumulation des déchets cellulaires et une baisse des capacités de protection de la peau avec à la clé, des rides et ridules, une perte d’élasticité ainsi qu’une perte d’éclat.

Depuis 1994 avec sa gamme Ysthéal, les Laboratoires Dermatologiques Avène misent sur les propriétés ant-âge du Rétinaldéhyde, un actif dermo-cosmétique révolutionnaire puisque plus efficace que l’acide rétinoïque, la molécule anti-âge de référence depuis les années 70, et générant également moins d’irritations cutanées.

En 2013, ils vont encore plus loin grâce à une nouvelle découverte : l’efficacité du Rétinaldéhyde est multipliée par 3 lorsqu’il est associé à l’O.G.G (Oléamide de Glycyglycine), un lipopeptide booster de Rétinaldéhyde qui a en outre ses propres propriétés anti-glycation.

Combinés ensemble, le Rétinaldéhyde et l’O.G.G permettent ainsi d’augmenter durablement les réserves de la peau en vitamine A et d’agir visiblement sur la réduction des rides, sur l’élasticité cutanée et sur l’éclat du teint.

A ce duo d’actifs est ajouté le Pré-tocophéryl, un puissant antioxydant cellulaire visant à préserver les réserves de la peau en vitamine A.

Cette nouvelle formule Ysthéal qui est sans parfum, sans paraben, ni phénoxyethanol et enrichie en Eau thermale d’Avène pour garantir une bonne tolérance aux peaux sensibles, bénéficie également d’un nouveau flacon airless pour une protection maximale de la formule et une efficacité optimale.

A chacune ensuite de choisir la galénique qui lui convient entre la Crème antirides pour peaux sèches et l’Emulsion antirides pour peaux normales à mixtes ou un soin ciblé avec le Contour yeux et lèvres.

(Ysthéal, Laboratoires Dermatologiques Avène. Disponible en pharmacies et parapharmacies. Prix indicatif : à partir de 24 € le Soin Contour Yeux et Lèvres)


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Mort imminente : le cerveau fonctionnerait toujours

Des chercheurs américains affirment qu’un cerveau en état de mort clinique présente une activité caractéristique de la perception consciente. Une étude contestée par la communauté scientifique.

Les récits des personnes ayant vécu un cas de mort clinique sont souvent chargés de mystère. Les scientifiques de l’université du Michigan, aux Etats-Unis, ont décidé de se pencher sur la question. Dans une étude publiée dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences, ils expliquent avoir effectué des recherches sur des rats et affirment que ces sensations étranges correspondent à un regain d’activité cérébrale quand la circulation sanguine cesse dans le cerveau.

Alors que 20% des personnes qui survivent à un arrêt cardiaque parlent d’une expérience de mort imminente pendant leur décès clinique, « nous sommes partis de l’idée que si cette expérience résulte d’une activité cérébrale, elle devrait pouvoir être détectée chez les hommes comme chez les animaux, même après l’arrêt de la circulation du sang dans le cerveau », explique la neurologue Jimo Borjigin, principal auteur de l’étude, cité par l’AFP.

Des signatures électriques

En effet, les neuf rats anesthésiés, dont les chercheurs ont induit un arrêt cardiaque, ont connu une augmentation de leur activité cérébrale, analysée par l’électro-encéphalogramme. « Nous avons été surpris par les hauts niveaux d’activité du cerveau », relève George Mashour, l’un des coauteurs de l’étude, dont les propos sont également rapportés par l’AFP. « En fait, en état de mort imminente, de nombreuses signatures électriques cérébrales de l’état de conscience excèdent celles enregistrées à l’état de veille, ce qui laisse penser que le cerveau est capable d’une activité électrique bien organisée aux premiers stades de la mort clinique », ajoute-t-il.

Un certain scepticisme règne pourtant parmi la communauté scientifique qui a du mal à valider l’interprétation livrée par les chercheurs américains.

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Alzheimer : toujours plus de malades !

Affiche 2012 journée mondiale - France Alzheimer (DR)

Affiche 2012 journée mondiale – France Alzheimer (DR)

Selon une étude de l’Institut de veille sanitaire (InVs), de plus en plus de français sont touchés par la maladie d’Alzheimer et autres démences (MAAD).

En 2010, 316 115 personnes étaient en affections de longue durée (ALD) pour Alzheimer; 228 190 ont été hospitalisées avec une MAAD et 54 291 sont décédées avec une MAAD.

Entre 2007 et 2010, malgré la courte période d’étude, il a été noté une augmentation du nombre de patients en ALD (+14,6%), du nombre de personnes hospitalisées avec une MAAD (+23,6%) et du nombre de décès avec une MAAD (+13,9%).

Des résultats qui « mettent en lumière le poids considérable, et en augmentation, de la maladie d’Alzheimer et démences apparentées pour la société. Ils confirment de plus l’intérêt de l’analyse des bases médico-administratives, si possible en les croisant, et des causes médicales de décès dans la surveillance de ces pathologies, en complément des cohortes » écrit l’Institut dans ses conclusions.

Pour information, et d’après le CépiDc (Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès, Inserm), la maladie d’Alzheimer et autres démences sont la quatrième cause de décès (cause initiale) pour l’année 2008 après les tumeurs, les pathologies cardiovasculaires et les accidents, avec une progression de +71,8% depuis 2000.

De plus, en 2010, en France, le nombre de personnes atteintes de MAAD a été estimé, après extrapolation de données issues d’études françaises et européennes, entre 750 000 et 1 000 000, selon les hypothèses, avec des projections entre 1,29 et 1,40 million de personnes en 2030.

Pour plus d’informations, consultez le bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’InVS en cliquant ici


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Pesticides : toujours plus de preuves de leurs effets nocifs

Photo : Karl Bauer (cc 3.0)

Il y a quelques semaines à peine, des médecins du Limousin lançaient un appel contre l’utilisation des pesticides afin d’alerter sur les risques sanitaires qui y sont associés.

Aujourd’hui ils se voient confortés par les résultats d’une expertise collective de l’Inserm. Objectif : effectuer un bilan de la littérature scientifique permettant de fournir des arguments sur les risques sanitaires associés à l’exposition professionnelle aux pesticides, en particulier en secteur agricole et sur les effets d’une exposition précoce chez le fœtus et les jeunes enfants.

Et selon les experts de l’Institut, il semble bien exister un lien entre exposition professionnelle à des pesticides et certaines pathologies chez l’adulte: la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et certains cancers hématopoïétiques (lymphome non Hodgkinien, myélomes multiples).

Un constat qui ne fait que confirmer une autre étude publiée il y a un peu plus d’un an. A l’époque une équipe française dirigée Isabelle Baldi (Inserm / Université Victor Segalen Bordeaux 2) révélait, après une longue étude menée durant 12 ans sur des viticulteurs bordelais particulièrement exposés à ces produits phytosanitaires.  que les fonctions cérébrales des agriculteurs se dégradaient plus rapidement chez ceux qui avaient été exposés à des pesticides.

D’autre part, cette expertise a permis de confirmer que les expositions aux pesticides intervenant au cours de la période prénatale et périnatale ainsi que la petite enfance pouvaient être particulièrement à risque pour le développement de l’enfant.

Des constats d’autant plus inquiétants que les pesticides sont présents partout dans l’environnement. On peut les trouver dans l’air (air extérieur et intérieur, poussières), l’eau (souterraines, de surface, littoral, …), le sol, et les denrées alimentaires (y compris certaines eaux de consommation).

Cette analyse de la littérature scientifique internationale suggère  qu’il existe entre-autres :

– une augmentation du risque de cancer de la prostate chez les agriculteurs, les ouvriers d’usines de production de pesticides et les populations rurales (entre 12 et 28% selon les populations)

– une augmentation de risque de lymphomes non hodgkinien et de myélomes multiples existe chez les professionnels exposés aux pesticides du secteur agricole et non agricole

– une augmentation du risque de développer une maladie de Parkinson chez les personnes exposées professionnellement aux pesticides.

– une augmentation significative du risque de morts fœtales (fausses-couches) ainsi qu’une augmentation du risque de malformations congénitales lors d’une exposition professionnelle maternelle aux pesticides.

– une augmentation du risque de malformations congénitales chez les enfants des femmes vivant au voisinage d’une zone agricole ou liée aux usages domestiques de pesticides (malformations cardiaques, du tube neural, hypospadias).

– une diminution du poids de naissance, des atteintes neurodéveloppementales et une augmentation significative du risque de leucémie.

Plus d’infos à ce sujet, sur le site de l’Inserm en cliquant ici

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Natura Ekos, toujours plus loin pour un bien-être responsable

Lorsqu’elle lance sa gamme Ekos au Brésil en 2000 puis en 2005 en France, Natura fait figure de pionnier par sa volonté déterminée de s’investir dans le développement durable et de valoriser la biodiversité brésilienne.

Innovante tant dans son concept que dans son modèle économique, la gamme Ekos relève un nouveau défi en 2013 avec une nature plus que jamais présente dans ses formules, des packagings au nouveau design, toujours plus recyclés et recyclables et des traditions toujours mieux respectées.

Le nouvel objectif de Natura est en effet de passer en un an de 78 à 147 tonnes d’ingrédients achetés aux communautés pour augmenter la proportion d’ingrédients dans chaque formule et générer ainsi plus de bénéfices à ces communautés.

Parmi ces ingrédients issus de la biodiversité brésilienne et apportant leurs bienfaits à la peau, on trouve la castanha aux vertus nourrissantes, le buriti protecteur ou encore le cacau et le maracuja dont les propriétés hydratantes exceptionnelles sont mises en valeur dans des produits de soin pour le corps.

A découvrir aussi dans cette nouvelle gamme Ekos : des eaux de toilettes Frescores, des huiles et des gels de douches mais aussi des soins pour les cheveux.

En conclusion, avec cette gamme Ekos version 2013, Natura propose une démarche responsable dans laquelle tout le monde est gagnant : la biodiversité est préservée, les cultures locales ne tombent pas dans l’oubli, les populations peuvent se remettre à rêver, les conseillères Natura gagner leur vie et les clients Natura prendre soin de leur peau tout en soignant la planète et ses populations.

(La gamme Ekos est disponible à la Maison Natura, 2 place Michel Debré, 75006 Paris, sur le site www.naturabrasil.fr et en ateliers Natura à domicile. Pour contacter une conseillère Natura, appelez le n°azur 0 810 62 88 72)


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La grippe toujours épidémique en France métropolitaine

Après 9 semaines au-dessus du seuil épidémique utilisé par les Groupes Régionaux d’Observation de la Grippe l’activité grippale reste très soutenue depuis le début du mois de février. Les vacances scolaires devraient favoriser la décrue épidémique.

Depuis les quatre dernières semaines, la grippe a été responsable chaque semaine de 1.100.000 à 1.300.000 recours aux médecins généralistes et pédiatres (données non consolidées). Les virus grippaux A et B continuent de co-circuler, avec une petite prédominance des virus de type B (57% de virus B, 43 % de virus A).

Toutes les classes d’âge sont concernées mais l’activité grippale semble commencer à marquer le pas chez les enfants, notamment les 5-14 ans, selon les médecins Sentinelles qui surveillent le nombre de syndromes grippaux vus en consultation (définis par une fièvre supérieure à 39°C, d’apparition brutale, accompagnée de myalgies et de signes respiratoires).

En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimée à 878 cas pour 100 000 habitants (soit 561 000 nouveaux cas), au-dessus du seuil épidémique (159 cas pour 100 000 habitants). L’activité épidémique continue d’augmenter en France après 9 semaines d’épidémie.

Au niveau régional, les incidences les plus élevées ont été notées en : Nord-Pas-de-Calais (1637 pour 100 000 habitants), Champagne-Ardenne (1169), Corse (1146), Languedoc-Roussillon (1062), Midi-Pyrénées (1061), Rhône-Alpes (971), Auvergne (969), Centre (957) et Limousin (940). Les données régionales complètes sont présentées à la fin du bulletin.

GrippeConcernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 23 ans (2 mois à 93 ans); les hommes représentaient 47% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : le pourcentage d’hospitalisation a été estimé à 0,4% (IC à 95% : [0% ; 0,8%]). Selon le modèle de prévision basé sur les données historiques [1], l’activité épidémique pourrait avoir atteint son pic et amorcer sa décrue cette semaine.

D’autres virus que la grippe peuvent être responsables de syndromes grippaux. Grâce à un modèle de régression périodique appliqué aux données historiques de surveillance, le réseau Sentinelles estime, pour chaque semaine, la part attribuable à la grippe parmi les consultations pour syndromes grippaux. Ce nombre de consultations correspond à l’excès de consultations pour syndromes grippaux observé par rapport à ce qui serait attendu à cette période de l’année en l’absence d’épidémie de grippe (détail du calcul sur la page Méthodes du site Sentinelles : www.sentiweb.fr/?page=methodes).

Ainsi pour la semaine 2013s07, le nombre de consultations attribuables à la grippe parmi les consultations pour syndromes grippaux est estimé à 505 000 [intervalle de prédiction à 90% : 459 000 ; 551 000]. En neuf semaines d’épidémie, le nombre de consultations pour grippe a été estimé à 2 181 000 [1 768 000 ; 2 594 000].

Cette estimation prend en compte les cas de grippe vus en médecine générale répondant à la définition du réseau Sentinelles. Elle ne prend pas en compte les cas de grippe ne répondant pas à cette définition ou non vus par les médecins généralistes.

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