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Rester droit toute la journée favoriserait le mal de dos

Rester droit toute la journée favoriserait le mal de dos

Le 20 août 2018.

On a la fâcheuse habitude de se forcer à garder le dos bien droit toute la journée devant son écran d’ordinateur.  Pourtant, ce ne serait pas le meilleur moyen d’éviter les douleurs dorsales.

Éviter la position assise le dos tout droit

Le but du jeu est tout simplement d’éviter les douleurs au dos. C’est en effet le grand mal de notre époque où, assis une grande partie de la journée sans bouger, nos muscles se crispent et notre dos souffre. Et s’il existait d’autres solutions que de se ruer chez son kiné lorsque la douleur est devenue insupportable ou d’avaler (trop) d’anti-douleurs ? C’est en tout cas l’avis d’un spécialiste en la matière. 

Le docteur Srour, kinésithérapeute et ergonome, est auteur de « Même pas mal ! Le guide des bons gestes et des bonnes postures » aux éditions First. Dans sa réflexion, il indique à tous ceux qui souffrent du dos, de ne pas se cantonner à la simple position assise bien droite, des heures durant, devant son écran. Dans ce cas précis, ce sont toujours les mêmes muscles qui travaillent. Changez de réflexe : bougez !

Changer de position régulièrement

Le mouvement pour éviter les douleurs faisait d’ailleurs également partie de la dernière campagne de publicité de l’Assurance-maladie. Pour éviter les crispations de certains muscles, changez de position, relaxez-vous, soufflez, marchez, levez-vous, faites des pauses régulières, mettez-vous sur les pointes, levez les bras et profitez-en pour vous dégourdir les jambes. Et n’oubliez pas d’adapter votre poste de travail pour être installé au mieux.

« De manière générale, il est d’abord essentiel de rehausser l’écran à la hauteur de vos yeux. Si celui-ci est trop bas, comme c’est souvent le cas avec les ordinateurs portables, vous aurez tendance à vous enrouler sur vous-même et ressentirez des douleurs », prévient Frédéric Srour. Le spécialiste rappelle aussi qu’il est nécessaire de bouger pour solliciter le plus de muscles possible, détendre ceux qui travaillent le plus et favoriser une meilleure circulation du sang dans tout l’organisme. 

Maylis Choné

À lire aussi : Mal de dos, d’où viennent les douleurs ?

 

 

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Allergies aux pollens de graminées : risque élevé à très élevé sur toute la France

allergies

cenczi/Pixabay

Allergies aux pollens : les graminée en force ! Même si le temps est à l’orage, les pollens ne manqueront pas de se rappeler à votre bon souvenir à la moindre occasion. Tout comme la semaine dernière, les graminées vont s’en donner à coeur joie au cours des prochains jours libérant d’importantes quantités de pollen. Conséquence : le risque associé à ces pollens sera majoritairement élevé à très élevé sur la quasi totalité des régions même si les zones de hautes altitudes et côtières seront un peu épargnées.

Mais les pollens de graminées ne seront pas les seuls à gêner les allergiques. Sur la côte méditerranéenne, il faudra aussi compter sur les pollens d’olivier et de chêne, avec un risque d’allergie moyen

Quelques pollens de chêne persisteront ici ou là mais avec une gêne généralement faible.

Idem pour les pollens d’oseille et de plantain qui se montreront particulièrement discrets.

Et comme on se plaît à le répéter chaque semaine, les allergiques ne doivent pas oublier leurs traitements pour respirer correctement.

N’oubliez pas que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique vous offre la possibilité de recevoir chaque semaine par e-mail les prévisions du risque allergique des départements de votre choix. Pour cela vous pouvez vous inscrire en cliquant ici

Suivez vos symptômes d’allergies en remplissant le questionnaire journalier sur www.pollendiary.com

Source : Bulletin Allergo Pollinique – Réseau National de Surveillance

News Santé

Cancer du sein : bonne nouvelle ! Plusieurs peuvent éviter la chimiothérapie en toute sécurité

Un test de 21 gènes effectué sur les tumeurs pourrait permettre à la plupart des femmes atteintes du type de cancer du sein précoce le plus courant d’éviter la chimiothérapie en toute sécurité, selon une étude publiée dans le

à Chicago.

« La chimiothérapie peut être évitée en toute sécurité chez environ 70 % des patientes chez qui on diagnostique la forme la plus courante de cancer du sein », indique Dre Kathy Albain, oncologue à l’Université de Loyola.

« Pour d’innombrables femmes et leurs médecins, les jours d’incertitude sont révolus. »

Le test examine 21 gènes provenant d’échantillons de biopsie du cancer du sein des patientes afin de déterminer leur degré d’activité. On attribue à la tumeur un « score de récidive » de 0 à 100 ; plus le score est élevé, plus le risque de récidive du cancer dans les organes éloignés et de diminution de la survie est élevé. Si les patientes dont le score est plus élevé reçoivent une chimiothérapie, ce risque de récidive est considérablement réduit.

Auparavant, le défi auquel les médecins et les patientes étaient confrontés était de savoir ce qu’il fallait faire si une patiente avait un score moyen. On ne savait pas si les bienfaits de la chimiothérapie étaient suffisamment importants pour justifier les risques et la toxicité. Des études précédentes ont montré que les patientes ayant de faibles scores (10 ou moins) n’avaient pas besoin de chimiothérapie, tandis que les femmes ayant des scores élevés (plus de 25) avaient besoin de chimiothérapie et en bénéficiaient. La nouvelle étude a examiné la majorité des femmes qui tombent dans la fourchette intermédiaire de 11 à 25.

La Dre Albain et Joseph Sparano du Montefiore Medical Center ont, avec leurs collègues, recruté 10 273 femmes qui présentaient le type de cancer du sein le plus courant (récepteur hormonal positif, HER-2 négatif) qui ne s’était pas propagé aux ganglions lymphatiques.

Ils ont mené l’étude avec les 69 % ayant obtenu des scores intermédiaires. Les participantes ont été assignées au hasard à recevoir une chimiothérapie suivie d’une hormonothérapie ou une hormonothérapie seule.

Pour l’ensemble des participantes ayant des scores entre 11 et 25 et surtout chez les femmes âgées de 50 à 75 ans, il n’y avait pas de différence significative entre le groupe de chimiothérapie et le groupe sans chimiothérapie.

Chez les femmes de moins de 50 ans, les résultats étaient semblables lorsque les résultats des tests génétiques étaient de 15 ou moins. Chez les femmes plus jeunes ayant obtenu des scores de 16 à 25, les résultats étaient légèrement meilleurs dans le groupe de chimiothérapie.

« L’étude devrait avoir un impact énorme sur les médecins et les patients », souligne la Dre Albain. « Ces résultats augmenteront considérablement le nombre de patientes qui peuvent renoncer à la chimiothérapie sans compromettre leurs résultats. »

Pour plus d’informations sur le cancer du sein, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Loyola University, New York Times.
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Toute activité physique semble améliorer la longévité

Cumuler 30 minutes d’activité physique légère (jardinage, promenade…) par jour permettrait aux hommes âgés de diminuer leur risque de mortalité de 17 % comparativement à ceux qui sont sédentaires, selon une étude publiée dans la revue British Journal of Sports Medicine.

Barbara Jefferis de l’University College London et ses collègues ont mené cette étude avec 1181 hommes, âgés en moyenne de 78 ans, qui ont porté un appareil mesurant la quantité et l’intensité de l’exercice physique pendant sept jours.

Les participants ont ensuite été suivis pendant cinq ans en moyenne, au cours desquels 194 d’entre eux sont décédés.

Une demi-heure d’activité légère par jour diminuait le risque de mortalité de 17 % ; une heure diminuait le risque de 33 %.

Les directives britanniques et américaines ne mentionnent aucun avantage d’une activité d’intensité légère », souligne la chercheure, alors que toutes les activités aussi modestes soient-elle, sont bénéfiques.

Les recommandations britanniques actuelles préconisent au moins 150 minutes par semaine d’activité physique modérée à vigoureuse durant des périodes d’au moins 10 minutes.

Dans la présente étude, seulement 16 % des participants faisaient de l’exercice d’intensité légère à modérée pendant 10 minutes. Mais 66 % accumulaient 150 minutes par semaine avec des périodes inférieures à 10 minutes.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : British Journal of Sports Medicine, .
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Pourquoi il faut chasser toute émotion négative avant de dormir

Le 2 décembre 2016.

Selon une étude menée par une équipe de neuroscientifiques chinois, américains et britanniques, les émotions négatives se consolident pendant le sommeil.

Évacuer le stress avant de dormir

Vous êtes confronté à un stress ou à une grande tristesse ? Essayez d’évacuer ces émotions négatives avant de vous coucher, sinon elles risquent de s’amplifier et de prendre une place encore plus importante dans votre vie. C’est ce que révèle une étude internationale publiée dans la revue Nature. Selon ces travaux, un sentiment négatif serait en effet plus difficile à oublier après une nuit de sommeil.

Mais comment expliquer ce phénomène ? Selon les chercheurs, la consolidation de la mémoire se faisant pendant la nuit, au petit matin, un mauvais sentiment est plus profondément ancré dans nos souvenirs que s’il avait été évacué la veille. « La capacité à supprimer des souvenirs émotionnels non désirés est cruciale pour la santé mentale », explique Yunzhe Liu, neuroscientifique à l’Université normale de Pékin, qui a participé à l’étude.

Les émotions négatives deviennent résistantes

Selon elle, pendant la nuit, « les émotions deviennent résistantes au changement ». Ce n’est pas un hasard si la plupart des conseillers conjugaux conseillent de toujours régler les conflits avant de se coucher. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à 73 volontaires de mémoriser différentes images associées à des sentiments négatifs et de les restituer le jour même, puis après une nuit de sommeil.

Les personnes qui avaient dormi avaient davantage de difficultés à évacuer les émotions négatives associées aux images. « Les circuits neuronaux impliqués dans l’élimination des souvenirs, initialement centrés sur l’hippocampe, sont devenus plus dispersés dans le cerveau », après une nuit de sommeil, expliquent les auteurs de l’étude. Selon eux, ces travaux devraient permettre de mieux comprendre certains troubles affectifs ou encore le syndrome de stress post-traumatique.

À lire aussi : Cancer : l’impact du stress ou comment mieux protéger l’esprit et le corps

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Manger à toute heure du jour

Trois repas par jour, une ou deux collations ? Cette configuration ne semble pas correspondre à l’alimentation contemporaine, du moins aux États-Unis, selon une étude publiée dans la revue Cell Metabolism.

Shubhroz Gill et Satchidananda Panda du Salk Institute ont mené cette étude avec 150 hommes et femmes, âgés de 21 à 55 ans, qui ont pris en photos, au moyen d’une application mobile, tout ce qu’ils mangeaient et buvaient pendant 3 semaines.

Bien qu’ils rapportaient prendre les 3 repas typiques par jour, ce profil temporel était largement absent, ont constaté les chercheurs.

La majorité s’alimentait sur une période de 15 heures ou plus dans la journée. Moins du quart (25 %) des calories de la journée était pris avant midi et plus du tiers (35 %), après 18 heures.

En calculant le besoin quotidien moyen en calories des participants, les chercheurs ont établi que, pour l’ensemble du groupe, les calories consommées après 18 h 36 étaient en surplus du besoin pour maintenir leur poids collectif stable. (Voyez : Quel est le besoin en calories par jour ?)

Les données ont aussi montré certaines « pratiques alimentaires culturelles » des Américains. Par exemple, la consommation de café et de lait le matin, d’alcool dans la soirée, et de thé pendant la journée. Le yaourt était un aliment du matin, les sandwiches et les hamburgers étaient principalement réservés au repas du midi, tandis que les légumes et les glaces étaient enregistrés dans la soirée. Les photos de chocolat et de bonbons étaient enregistrées toute la journée à partir de 10 heures.

Le but de l’application mobile est de développer un moyen d’étudier les effets de la répartition de la prise alimentaire sur la santé. Un rythme diurne d’alimentation-jeûne favorise la santé, car les rythmes circadiens (sur 24 heures) de l’organisme influencent non seulement le sommeil, mais aussi le métabolisme (par ex. les mécanismes liés à l’insuline).

Une hypothèse est que, en plus d’éliminer certaines mauvaises habitudes, une alimentation restreinte dans le temps pourrait empêcher le « jetlag métabolique » qui se produit lorsque les organes métaboliques deviennent désynchronisés par rapport aux rythmes circadiens globaux du corps.

Même sans changer l’apport calorique quotidien, un jeûne nocturne plus long « réinitialiserait » l’horloge circadienne perturbée par l’alimentation 24/7 et améliorerait la capacité du corps à brûler des calories supplémentaires.

Huit des participants à l’étude ayant un surpoids ou une obésité, dont l’alimentation était répartie sur 14 heures, ont utilisé l’application pour les aider à viser un intervalle de 10-11 heures. Ils n’ont reçu aucune recommandation de modifier leur alimentation.

Après 16 semaines, assistés par des graphiques qui montraient la répartition de leurs prises alimentaires, ils ont perdu, en moyenne, 3.5 % de leur excès de poids et rapportaient mieux dormir et se sentir plus énergiques.

Les chercheurs souhaitent poursuivre ces travaux avec divers groupes afin d’offrir un tableau plus complet et étudier des variations socio-économiques. Ils souhaitent aussi tester les bénéfices de l’alimentation restreinte dans le temps sous différentes conditions de sommeil, activités et maladies.

Illustration : Source : Salk Institute.

Psychomédia avec sources : Salk Institute, Cell Metabolism.
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B.Smile, la solution dents blanches en toute sécurité

Dietworld révolutionne le blanchiment dentaire avec B.Smile, un kit de nettoyage à l’effet dents blanches immédiat en deux minutes chrono.

Cette nouvelle méthode consiste en la simple action de sa gomme brevetée utilisée avec de l’eau laquelle permet de désincruster les taches de tabac, de thé et de café de la surface des dents et de réduire la plaque dentaire, facteur jaunissant de la dentition, et ce sans aucun risque pour la qualité de l’émail.

Fruit des dernières nano-technologies, la gomme B.Smile est en effet une combinaison de particules microscopiques qui absorbent rapidement les taches présentes à la surface des dents.

Il suffit donc pour l’utiliser d’humidifier la gomme blanche et de frotter ses dents pendant deux minutes en pratiquant des mouvements de bas en haut, en tenant le stylet le plus à la verticale possible et en réhumidifiant la gomme régulièrement.

Pour obtenir un résultat optimal, la marque préconise d’utiliser ce concept de nettoyage des dents pendant trois jours consécutifs la première semaine et deux fois la semaine suivante.

Ultimes conseils d’utilisation : ne jamais frotter les dents avec une gomme détériorée, cette dernière doit être changée après chaque utilisation. Enfin il est souhaitable de faire un bain de bouche après chaque utilisation.

(B.Smile, Dietworld. Disponible en pharmacies et parapharmacies. En savoir plus sur www.dietworld.eu. Prix indicatif : 24,90 €)

Bonne mine et hydratation toute l’année avec IDC


Pour assurer aux femmes une bonne mine toute l’année sans avoir recours à des soins autobronzants, la marque canadienne IDC a imaginé Hydra-Scellante Bonne Mine, un soin intelligent qui hydrate la peau en profondeur et garantit un hâle progressif à l’aspect naturel.

Ce soin quotidien cible les trois mécanismes d’hydratation cutanée – la création, la diffusion et la rétention des molécules d’eau – et offre un hâle naturel sans démarcation pour une peau rayonnante et un effet bonne mine.

Non teintée, sa formule extrêmement concentrée contient pas moins de 14% d’ingrédients cosmétiques et s’applique de préférence le soir pour un teint rayonnant au réveil.

Convenant à tous les types de peaux et à tous les âges, sa texture confortable offr…
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Une toute première boutique mondiale pour Erborian


En 2007, Katalin Berenyi et Hojung Lee mettent en commun leurs cultures respectives, leurs prestigieux parcours cosmétiques et leur passion pour l’innovation pour fonder ensemble leur propre marque de cosmétiques made in Corée qu’elles baptisent Erborian.

Et en seulement 8 ans, la marque a su s’imposer en France comme à l’international et conquérir le coeur des femmes, opérant une véritable révolution make-up avec sa BB Crème, depuis beaucoup copiée mais jamais égalée, suivie de près par sa CC Crème devenue elle aussi un best-seller.

Aujourd’hui comme un pont entre Séoul et Paris, Erborian vient d’ouvrir sa première boutique mondiale au 45 avenue de l’Opéra à Paris.

Cette boutique déployée sur 75m2 et composée d’un rez-de-chaussée et …
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Toute l’expertise Sisley dans une huile

Forte du succès du Masque Crème à la Rose Noire lancé en 2011, Sisley lance à présent une Huile Précieuse à la Rose Noire. Un soin quotidien complet hautement régénérant dédié aux peaux sèches et aux peaux matures manquant de lipides. Une fois encore chez Sisley ce sont des essences et des actifs d’origine naturelle qui ont été choisis et qui agissent en trois étapes.

D’abord pour préparer la peau à absorber de façon optimale les actifs, Sisley mise sur l’huile de cameline, l’une des huiles les plus riches en Oméga 3 et 6 laquelle favorise la fluidité des membranes cellulaires.

Deuxième étape du soin, l’Huile Précieuse à la Rose Noire nourrit la peau et l’aide à lutter contre les signes du temps grâce à la combinaison d‘actifs nutritifs et protecteurs : de l’huile de prune, un extrait d’avocat et du phytosqualane pour hydrater et nourrir, des tocophérols naturels pour lutter contre le stress oxydatif et enfin un extrait de Padina pavonica pour renforcer le matelas hydrique du derme.

Enfin pour sublimer et adoucir la peau, c’est cette Rose noire utilisée en extrait qui vient compléter la formule de cette huile à la texture ultra fine laissant sur la peau un fini satiné, sans faire briller.

Huiles essentielles de Rose bulgare, de magnolia et de géranium apportent quant à elles leurs propriétés tonifiantes, apaisantes et purifiantes.

Jour après jour, utilisé matin et soir seule ou sous les soins quotidiens, cet Elixir de beauté régénère et redynamise la peau. Les rides se lissent et la peau est comme repulpée.

(Huile Précieuse à la Rose Noire, Sisley. Disponible en parfumeries, grands magasins et sur www.sisley.fr. Flacon-pompe 25ml, prix indicatif : 150 €)


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