Archives par mot-clé : trois

Trois petits nouveaux chez My Payot


Pour l’été, Payot vient enrichir sa ligne star My Payot avec trois nouveaux produits énergisants, promesse d’une peau parfaite, éclatante de fraîcheur.

Avec My Payot Super Base, un produit qui se glisse sous le soin de jour sur l’ensemble du visage ou par petites touches, le résultat est bluffant : les pores sont resserrés et l’éclat de la peau révélé instantanément.

Son secret ? Un cocktail de vitamines C et E à la triple action anti-radicalaire, anti-oxydante et protectrice, des microsphères d’acide hyaluronique qui lissent le micro-relief et des poudres soft-focus qui illuminent les zones d’ombre.

Pour une correction des zones d’ombre ciblée, il y a My Payot Eclat du Regard, un stylo-pinceau correcteur illuminateur qui avec sa textu…
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Le Dauphin, tisanier depuis trois générations

Le Dauphin, tisanier depuis trois générations
Créateur d’infusions depuis 1953
, Le Dauphin fabrique, assemble et conditionne de façon artisanale des tisanes biologiques en Drôme provençale, à Buis les Baronnies, terroir d’exception.

Au fil des générations, l’entreprise a su tisser des liens avec les producteurs locaux garantissant une grande qualité de produits à l’identité régionale forte.

Fort de ce savoir-faire et d’une sélection de plantes certifiées issues de l’agriculture biologique, Le Dauphin nous propose aujourd’hui une large gamme de tisanes labellisée Bio Solidaire contrôlée par Ecocert.

Détox Pure, Digest Plus, Flex Harmonie, Flux Divin ou Philtre Vital, à chaque besoin son alchimie originale ou bien sa tisane classique mais temporelle avec thym, tilleul ou verveine.

Que ce soit en sachets (en vrac), en infusettes, en mono-produit ou dans de savoureux assemblages, ces tisanes 100% origine France raviront nos papilles.

(Infusions et Tisanes Le Dauphin. Disponibles en magasins spécialisées bio, dans les épiceries fines, jardineries, les revendeurs mais aussi en cafés, restaurants et salons de thé. En savoir plus : www.tisane-ledauphin.fr. A partir de 4,85 € la boîte de 20 infusettes)


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Sida et toxicomanie: les bénéfices massifs de la politique de réduction des risques en trois graphiques

En mai 1987, Michèle Barzach, ministre de la Santé du gouvernement Chirac signe, contre l’avis de son parti politique (RPR) un décret autorisant la vente libre des seringues en pharmacie. Ce sera le début de la politique dite «de réduction des risques» vis-à-vis du VIH et des toxicomanes. Près de trente ans plus tard, cette politique (assez peu coûteuse) continue à faire la preuve de son efficacité. Une nouvelle démonstration, spectaculaire  en est apportée par les derniers chiffres, publiés le 11 avril 2014, par  l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).

En 2012, le nombre de nouveaux cas de sida lié à l’usage de drogues par voie injectable (UDVI) continue de décroître. Il s’agit là de la poursuite d’un mouvement à la baisse apparu depuis le milieu des années 1990. Après une chute particulièrement prononcée entre 1995 et 1997 (liée notamment à l’introduction des trithérapies retardant l’entrée dans la phase symptomatique de l’infection), le rythme de diminution est désormais plus faible mais demeure presque régulier.

La diminution très rapide du nombre de cas de sida au milieu des années 1990 s’expliquait essentiellement par les progrès thérapeutiques. La poursuite de ce mouvement de baisse depuis lors est également liée à la diminution du nombre de contamination par le VIH chez les UDVI. En 2012, les UDVI représentent  en France 6% de l’ensemble des nouveaux cas de sida en 2012 contre 27% en 1995.

En 2010, on a recensé en France soixante morts de personnes atteintes de sida parmi les usagers de drogues par voie injectable (UDVI). La baisse initiée au milieu des années 1990 se poursuit lentement, parallèlement à une nette diminution de la prévalence du VIH. L’introduction des traitements par trithérapie en 1996 a permis de diviser par quatre le nombre de décès par sida chez les UDVI entre 1994 et 1997. Depuis, le nombre de décès poursuit sa baisse mais à un rythme plus lent.

En 2012, 77 usagers de drogues par voie injectable (UDVI) ont en France découvert leur séropositivité vis à vis du VIH, soit 1 % de l’ensemble des découvertes. L’incidence est stable depuis 2008. Il s’agit d’hommes dans 83 % des cas. L’âge moyen est de 39 ans et 57 % des UDVI sont nés à l’étranger (Europe, principalement Portugal et Afrique du Nord). Les principaux motifs du dépistage sont la présence de signes cliniques (32 % des cas), un bilan systématique (20%) et une exposition récente au VIH (19%).


A votre santé! – Slate.fr

Institut Gustave Roussy : trois chercheurs empoisonnés ?

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La direction de l’institut Gustave-Roussy à Villejuif dans le Val-de-Marne a porté plainte pour tentative d’empoisonnement après l’intoxication de trois chercheurs de ce centre à l’azide de sodium. Les scientifiques avaient en effet été pris de vomissements après avoir bu un café préparé avec de l’eau chauffée dans une bouilloire de leur salle de pause. Après investigation, il a été constaté la présence de ce produit toxique utilisé habituellement dans les laboratoires pour la conservation d’échantillons biologiques dans la bouilloire.

L’institut Gustave-Roussy, le premier centre de lutte contre le cancer en Europe aurait-il été la victime d’un acte de malveillance sur son personnel ? C’est en tout cas ce que pense la Direction de l’établissement. Le lundi 31 mars, en effet, des employés avaient constaté que la porte du frigo de leur salle de repos avait été forcée et que certains tubes de culture des laboratoires avaient été déplacés derrière des meubles du pavillon.

De plus, alors qu’après examen,  la présence d’azide de sodium dans la bouilloire (un produit inapproprié pour détartrer la machine) avait été constaté , l’eau du robinet était pourtant propre à la consommation. Tout semble attester d’un acte de malveillance, même si personne à l’institut Gustave Roussy ne peut expliquer pour le moment ni le pourquoi de la présence de cette substance dans la bouilloire, ni le mobile de ce geste.

C’est dès l’ingestion que les chercheurs ont manifesté les premiers symptômes : ils ont été pris d’étourdissements et d’une perte de connaissance. Ils avaient bien senti une odeur anormale, ont à peine bu avant de recracher, mais le peu qu’ils ont absorbé a suffit à les empoisonner. Si les conséquences auraient pu être dramatiques, il n’en est heureusement rien, puisqu’ après des examens à l’Hôpital du Kremlin-Bicêtre, les chercheurs ont pu rentrer chez eux.

Après avoir porté plainte pour empoisonnement, la direction a mis en place des mesures de surveillances et a recommandé à ses salariés d’être vigilants, de rincer les récipients avant utilisation et de fermer les portes.

Trois chercheurs empoisonnés à l'institut Gustave Roussy ?

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Ebola: trois cas suspects décelés au Mali

Le virus Ebola est-il arrivé au Mali ? Alors que cette fièvre fait des ravages en Guinée, des cas suspects inquiètent les autorités maliennes.« Trois cas suspects de fièvre hémorragique ont été décelés sur le territoire national. Des échantillons ont été prélevés et envoyés à l’extérieur pour analyse », a déclaré le ministre malien de la Santé et de l’Hygiène, Ousmane Koné.

Ces patients « ont été placés dans une unité d’isolement où ils reçoivent des soins appropriés », a précisé par la suite un communiqué du gouvernement. « A l’heure actuelle, leur état de santé s’améliore », poursuit le texte. Aucune information n’a été fournie sur l’origine de ces cas suspects.

De l’autre côté de la frontière, en Guinée, le virus a déjà fait 84 morts, pour 134 personnes contaminées selon l’Organisation mondiale de la santé. Deux cas ont été également confirmés au Libéria.

Retrouvez cet article sur Francetv info

Un homme meurt de la rage en Ile-de-France
VIDEO. Le recyclage des médicaments progresse chez les Français
Un rapport préconise la gratuité des soins à l’hôpital
Guinée : comment s’organise la lutte contre Ebola
VIDEO. Le virus Ebola en Guinée inquiète Paris


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Diane 35 : trois questions sur le retour imposé de la pilule controversée

Diane 35 avait relancé le débat sur la dangerosité des pilules contraceptives, suscité la polémique sur les liens entre laboratoires et gynécologues et plongé de nombreuses femmes dans le désarroi. Elle devrait pourtant faire son retour dans les pharmacies.

Mardi 30 juillet, la Commission européenne a imposé à la France de remettre sur le marché ce traitement anti-acné, largement prescrit comme pilule contraceptive avant que des révélations sur les risques de thromboses ne viennent questionner son utilisation. Que faut-il savoir sur ce retour ?

Pourquoi revenir sur son retrait du marché ?

Contrairement aux autres pays européens, la France a décidé seule, en janvier, de retirer ce médicament de la vente. Le retrait est entré en vigueur le 21 mai. A cette époque, la décision française avait déjà été désavouée par l’organisme regroupant les agences nationales du médicament des différents Etats membres de l’Union européenne, le CMDh.

Il revenait à la Commission européenne de trancher en dernière instance : mardi, elle s’est prononcée pour sa remise sur le marché hexagonal. Sur la base des conclusions du Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (Prac), la Commission juge que « le rapport bénéfice/risque du médicament est favorable », mais émet une série de réserves.

La polémique était-elle infondée ?

En mai, le CMDh, saisi du cas Diane 35, s’était opposé à un retrait mais s’était toutefois prononcé pour des précautions supplémentaires dans l’usage du médicament. Ainsi, prenant en compte les inquiétudes françaises, la Commission européenne a décidé, mardi, de restreindre les prescriptions de ce médicament. Elle demande :

– une meilleure information sur ses contre-indications, pour minimiser le risque « connu de thrombo-embolie » [formation de caillots sanguins pouvant boucher un vaisseau irriguant les poumons]. La Commission a aussi réclamé une révision des notices d’utilisation, pour les (…) Lire la suite sur Francetv info

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Trois médecins mis en examen pour trafic de Subutex

STRASBOURG (Reuters) – Trois médecins ont mis été en examen vendredi à Metz pour leur rôle présumé dans un trafic à grande échelle de Subutex et de Skenan, deux substituts à l’héroïne dont le second est classé comme produit stupéfiant, a-t-on appris auprès du parquet.

Les trois généralistes messins sont poursuivis pour aide à l’usage de produits stupéfiants et de substances vénéneuses, mais aussi pour escroquerie au préjudice de la Caisse primaire d’assurance maladie.

Interpellés jeudi, ils ont été remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer leur profession, moyennant une caution de 20.000 euros pour l’un, de 40.000 euros pour les deux autres.

« Ils reconnaissent la matérialité des faits, des faits qui ont des proportions hors norme », a déclaré à Reuters le procureur de Metz, Pierre-Yves Couilleau.

Plusieurs milliers de boîtes auraient été prescrites hors de toute considération médicale.

« Si l’on ajoute le prix des médicaments achetés dans les pharmacies et celui des consultations qui le plus souvent n’avaient même pas lieu, on arrive à deux millions d’euros sur une période de deux ans », a-t-il précisé.

L’enquête avait été lancée en avril 2012 après la condamnation de quatre toxicomanes messins qui se livraient à un trafic de produits de substitution.

« Sur une même journée, une personne a obtenu 48 boîtes de Subutex et elle a pu le faire pendant six mois, des gens qui n’étaient pas toxicomanes ont pu s’en faire prescrire, certains ont pu, au mépris des règles de la faculté, se faire prescrire à la fois du Subutex et du Skenan », explique le magistrat.

Les trois hommes, âgés de 51, 54 et 67 ans, ont donné diverses justifications.

« L’un dit qu’il a été dépassé, le second invoque sa faiblesse et le troisième dit qu’il n’a pas été entendu par les pouvoirs publics après avoir déposé plainte pour des menaces. Nous n’en avons pas trouvé trace », a précisé le procureur.

Ils encourent jusqu’à dix ans de prison pour l’aide à l’usage de stupéfiants, jusqu’à cinq ans pour l’escroquerie à la Sécurité sociale.

Gilbert Reilhac, édité par Gérard Bon


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