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Un nouveau type de démence détecté, et ce n’est pas Alzheimer

Un nouveau type de démence détecté, et ce n'est pas Alzheimer

Le 3 mai 2019.

Elle ressemble à Alzheimer, mais ce n’est pas Alzheimer. Une équipe de chercheurs issus de plusieurs pays vient de publier, dans la revue Brain, une étude rapportant l’existence d’une nouvelle forme de démence.

La démence est un fourre-tout flou

Cette étude qui porte sur une maladie cérébrale baptisée Late, un acronyme anglais désignant une encéphalopathie liée à l’âge, estime que 20 à 50% des personnes âgées de plus de 80 ans vont la développer. Plus ou moins intensément… 

En réalité, ce que ces chercheurs ont réalisé, c’est une redéfinition de la démence qui est, aujourd’hui encore, une sorte de fourre-tout. Dans le cas présent, ils ont identifié des paramètres et signes vitaux objectifs communs à certains patients atteints de « démence », qui sont en fait atteints de cette forme d’encéphalopathie spécifiquement liée à l’âge. 

Mieux traiter les différentes formes de démence

Or, l’intérêt de réaliser des sous-catégories dans la démence, c’est bien évidemment de pouvoir adapter les thérapies et les traitements à celles-ci. 

Dans le cas de Late, les chercheurs espèrent, par leurs travaux, permettre d’aider à la création d’essais cliniques spécifiques sur les patients qui en sont atteints. Ils éspèrent également, par contre-coup, que leurs travaux profiteront également à la recherche sur la maladie d’Alzheimer. 

Plus « fou » encore : ces chercheurs estiment qu’il existe bon nombre de pathologies qualifiées ou associées à la démence, restant à découvrir…

À lire aussi : Parler deux langues retarderait la démence

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Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Le 9 octobre 2018.

Des chercheurs viennent de découvrir plusieurs marqueurs de notre corps pouvant donner des indices sur la probalité ou non de développer un diabète de type 2.

Déceler le diabète de type 2 avant l’arrivée de la maladie

Des scientifiques japonais permettent d’avancer encore un peu plus dans la connaissance du diabète de type 2. Grâce à leurs découvertes publiées dans le Journal of Endocrine Society, il serait désormais possible de déceler quelques indices laissant penser que la personne pourrait développer un diabète de type 2 dans les années qui suivraient

Les chercheurs sont même capables de prédire l’arrivée de la maladie parfois vingt ans avant que celle-ci ne se déclare réellement. Comment cela est-il possible ? Trois marqueurs sont détectables et peuvent alerter les médecins : la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline.

Des symptômes qui ne trompent pas

Si la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline, peuvent être contrôlés avant que la maladie ne se déclare, les chercheurs expliquent néanmoins qu’une fois le prédiabète confirmé, il n’est déjà plus possible de soigner la maladie.

« Nous devrons peut-être intervenir beaucoup plus tôt que le stade de prédiabète, afin de prévenir la progression vers le diabète complet », estime Hiroyuki Sagesaka, auteur principal de l’étude. Aujourd’hui, la Fédération internationale du diabète estime que 425 millions de personnes sont atteintes du diabète dans le monde et rappelle qu’une personne meurt du diabète toutes les secondes. C’est plus que le sida, la tuberculose et la malaria. 

Maylis Choné

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Découverte d’un nouveau type de neurones pouvant distinguer le cerveau humain

« L’une des questions les plus intrigantes sur le cerveau humain est aussi l’une des plus difficiles à répondre pour les neuroscientifiques : qu’est-ce qui distingue notre cerveau de celui des autres animaux ? »

« Nous ne comprenons pas vraiment ce qui rend le cerveau humain spécial », explique Ed Lein, chercheur à l’Allen Institute for Brain Science (Seattle, États-Unis).

« L’étude des différences au niveau des cellules et des circuits neuronaux est un bon point de départ, et maintenant nous avons de nouveaux outils pour le faire », ajoute-t-il.

Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Neuroscience, Lein et ses collègues révèlent une réponse possible à cette question. L’équipe de recherche, codirigée par Lein et Gábor Tamás, neuroscientifique à l’Université de Szeged (Szeged, Hongrie), a découvert un nouveau type de cellules cérébrales humaines qui n’a jamais été observé chez la souris et d’autres animaux de laboratoire bien étudiés.

Tamás et Eszter Boldog ont surnommé ces nouvelles cellules « neurones églantier » « car le faisceau dense que forme chaque axone autour du centre de la cellule ressemble à une rose après qu’elle ait perdu ses pétales ». Les cellules nouvellement découvertes appartiennent à la classe des neurones inhibiteurs, utilisant le neurotransmetteur GABA (sur lequel agissent les médicaments benzodiazépines tels que le Xanax et certaines plantes médicinales), qui freinent l’activité des autres neurones du cerveau.

« L’étude ne prouve pas que cette cellule spéciale du cerveau est unique aux humains. Mais le fait qu’elle n’existe pas chez les rongeurs est intrigant et l’ajoute à une liste très courte de neurones spécialisés qui peuvent n’exister que chez les humains ou seulement dans le cerveau des primates ».

Les chercheurs ne comprennent pas encore ce que ces cellules pourraient faire dans le cerveau humain.

Dans leur étude, ils ont utilisé des échantillons de tissus provenant du cerveau post-mortem de deux hommes d’une cinquantaine d’années. Ils ont pris des sections de la couche supérieure du cortex, la région la plus externe du cerveau qui est responsable de la conscience humaine et de nombreuses autres fonctions considérées comme uniques à notre espèce. Cette région est beaucoup plus grande, comparée à notre taille corporelle, que chez les autres animaux.

« C’est la partie la plus complexe du cerveau, et il est généralement admis qu’il s’agit de la structure la plus complexe de la nature », dit Lein.

Les chercheurs ont découvert que les « cellules églantier » activent un ensemble unique de gènes, une signature génétique que l’on ne retrouve dans aucun des types de cellules cérébrales de souris qu’ils ont étudiés. Ils ont aussi découvert qu’elles forment des synapses avec un autre type de neurones dans une autre partie du cortex humain, les neurones pyramidaux.

Ce qui semble être unique au sujet des neurones églantier, c’est qu’ils ne s’attachent qu’à une partie spécifique de leur partenaire cellulaire, ce qui indique qu’ils pourraient contrôler un flux d’information d’une manière très spécialisée.

La prochaine étape pour les chercheurs est de rechercher les neurones de l’églantier dans d’autres parties du cerveau et d’explorer leur rôle potentiel dans les troubles cérébraux.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Allen Institute, Nature Neuroscience.
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Maladies auto-immunes… : découverte prometteuse d’une activité de type cérébral dans le système immunitaire

Une équipe de chercheurs internationaux, dont les travaux sont publiés dans la revue Nature, a découvert une activité similaire à l’activité cérébrale dans le système immunitaire.

Cette découverte laisse entrevoir la possibilité de meilleurs traitements pour le lymphome, les maladies auto-immunes et les troubles d’immunodéficience, soulignent les auteurs.

Cette étude a confirmé pour la première fois la présence dans des cellules immunitaires des particules contenant des neurotransmetteurs, dont la dopamine, qui jouent un rôle crucial dans les réponses immunitaires, explique Ilenia Papa de l’Australian National University (ANU), auteure principale.

Les neurones communiquent au moyen de neurotransmetteurs tels que la dopamine, qui sont de petites molécules transmises à travers des synapses (espace de communication entre deux neurones) et constituent des signaux d’un neurone à un autre. La dopamine joue un rôle majeur dans la motivation et le circuit dit de la récompense.

« Comme les neurones, des lymphocytes T spécialisés transfèrent aux lymphocytes B de la dopamine qui fournit une “motivation” supplémentaire pour que ceux-ci produisent les meilleurs anticorps pour éliminer une infection », explique la chercheuse.

L’équipe d’Ilenia Papa a collaboré avec des membres du consortium Human Frontier Science Program du Royaume-Uni, des États-Unis et d’Allemagne, et d’autres chercheurs en Italie.

Ils ont analysé environ 200 échantillons de tissus d’amygdales d’enfants ayant subi une ablation, et ont observé le transfert de la dopamine de lymphocytes T spécialisés à des lymphocytes B au moyen d’interactions synaptiques.

Ils ont également travaillé avec un mathématicien pour modéliser l’activité cérébrale du système immunitaire en réponse à des vaccins.

Le mécanisme découvert est, potentiellement, une excellente cible pour des traitements visant à accélérer ou à amortir la réponse immunitaire, en fonction de la maladie à traiter, souligne la chercheuse.

Ces résultats ouvrent la voie à l’utilisation de médicaments disponibles pour améliorer les traitements pour le lymphome, l’auto-immunité et l’immunodéficience, estime Carola Vinuesa de l’ANU, coauteure.

Maladies inflammatoires et auto-immunes : découverte importante sur le système immunitaire

Psychomédia avec sources : Australian National University, Nature.
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Un type de syndrome du côlon irritable lié à un épuisement du système immunitaire

Un type spécifique de syndrome du côlon irritable est associé à un épuisement du système immunitaire, selon une étude australienne publiée dans la revue Gut.

Patrick Hughes de l’Université d’Adelaide et ses collègues (1) ont mené cette étude avec 11 personnes atteintes de différents types du syndrome. Ils les ont suivies pendant une année et ont comparé des échantillons de sang lorsqu’elles avaient des symptômes et lorsqu’elles n’en avaient pas.

Tous les participants dont le syndrome était prédominé par la diarrhée présentaient le même type d’épuisement des lymphocytes T.

« Ces cellules immunitaires normalement actives étaient moins sensibles à la stimulation, sécrétaient moins de médiateurs et se divisaient moins. Ce type de réponse est souvent observé dans les infections chroniques », explique le chercheur.

« Il s’agit d’une découverte importante, d’autant plus qu’elle permet de distinguer davantage les différents types de syndromes du côlon irritable. Cela pourrait éventuellement aider à mieux diagnostiquer et traiter la maladie », dit-il.

« De nombreuses recherches portent sur les liens du syndrome avec le stress », explique-t-il, et on sait que le cortisol et les hormones du stress peuvent inhiber le système immunitaire.

(1) Chris Mavrangelos, Melissa A Campaniello, Jane M Andrews, Peter A Bampton.

Psychomédia avec sources : University of Adelaide, Gut.
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Des chercheurs parviennent à guérir le diabète de type 2

Des chercheurs parviennent à guérir le diabète de type 2

Le 23 mars 2017.

Soigner le diabète de type 2 en quelques semaines et durablement ? Des chercheurs canadiens semblent affirmer que cette rémission est possible, et dans une récente étude, ils montrent les premiers résultats, très encourageants, de leur technique.

Un traitement intensif pour guérir le diabète de type 2

Le diabète est l’une des maladies chroniques les plus fréquentes en France. Selon les chiffres de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), environ 4,6 % des Français en souffriraient et parmi eux, pas moins de 90 % seraient atteints d’un diabète dit de type 2.

La plupart du temps, cette maladie se diagnostique après 40 ans. Les patients sont majoritairement des hommes (20 % contre 14 % de femmes), et pour traiter leurs symptômes, ces derniers doivent s’astreindre à un régime alimentaire strict ainsi qu’à la prise d’insuline et d’antidiabétiques. Un traitement contraignant auquel des chercheurs de l’Institut de recherches cliniques de Montréal pourraient avoir trouvé une alternative efficace et durable.

40 % de rémission totale à l’issue d’un traitement intensif contre le diabète

Dans leur étude, publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, ces derniers affirment avoir réussi à « guérir » des patients atteints de diabète de type 2, en les soumettant à un traitement très intensif composé d’insuline et d’antidiabétiques, associé à une cure d’amaigrissement. 83 patients se sont prêtés à cette expérience et au terme de cette étude qui a duré 16 semaines, 33 d’entre eux, soit 40 %, se sont totalement remis de leur maladie.

Cette découverte représente un véritable espoir pour de nombreux patients. Elle a cependant ses limites et les auteurs de cette étude affirment que cette technique ne fonctionne que sur les patients dont le diabète a été diagnostiqué dans les cinq années écoulées. Et si ce traitement permet à tous les diabétiques en rémission de se passer de traitement classique, il exige cependant une discipline de fer et des règles de vie très strictes, car à la moindre prise de poids un peu trop élevée, la maladie peut revenir.

Sybille Latour

Pour en savoir plus : Les symptômes du diabète de type 2

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Quel type de médicament peut-on acheter sur Internet ?

En France, il n’est pas possible d’acheter tout médicament sur Internet. Une mesure stricte prise pour lutter contre les risques d’intoxication.

Internet : quels médicaments sont autorisé à la vente ?

En France, les seuls médicaments autorisés à être vendu sur Internet sont les médicaments sans ordonnances. Avec une ordonnance du médecin il n’est pas possible de commander sur Internet et de se faire expédier les médicaments prescrits. Dans ce cas il faut obligatoirement passer par une pharmacie physique

En revanche, certaines pharmacies « en dur » ont un site Internet. Il est alors possible de scanner son ordonnance et de récupérer les médicaments à la pharmacie, pour gagner du temps. Mais ce n’est pas considéré comme de la vente de médicament sur Internet, c’est juste faciliter la commande.

Seuls les pharmaciens peuvent vendre des médicaments sans ordonnance sur Internet

Pour pouvoir faire une telle vente, il faut qu’il y ait une vraie pharmacie avec pignon sur rue derrière le site Internet. Actuellement, en France, il y a environ 350 sites autorisés à vendre en ligne.

La vente de médicament par Internet est risquée dans le cadre du non respects de sites non affiliés à une pharmacie. En effet, le risque pour les personnes qui achètent sur ce type de site c’est de tomber sur de faux médicaments, qui dans le meilleur des cas sont inutiles et inefficace, dans le pire toxique pour le patient.

Pour ne pas se faire avoir, il faut vérifier que le site Internet est bien agréé par le Conseil de l’Ordre des pharmaciens (leur site répertorie également les sites de pharmacie en ligne officiels), des autorités de santé

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Un type d’oméga-3 pourrait prévenir le lupus et d’autres maladies auto-immunes

Un type d’oméga-3, l’acide docosahexaénoïque (ADH) qui se trouve dans les poissons gras, pourrait prévenir la réaction immunitaire à un agent toxique qui cause le lupus et potentiellement d’autres maladies auto-immunes , selon une étude préclinique publiée dans la revue PLOS ONE.

Le lupus est considéré comme étant une maladie génétique dans laquelle le système immunitaire attaque l’organisme et peut endommager n’importe quelle partie du corps, dont la peau, les articulations et les organes.

La maladie peut être déclenchée par l’inhalation de substances toxiques et d’autres facteurs environnementaux tels que l’exposition au soleil, indiquent les chercheurs.

L’exposition professionnelle à la silice cristalline respirable, souvent présente dans les industries de l’agriculture, la construction et l’exploitation minière, est connue pour être liée au lupus érythémateux systémique (ou disséminé) et d’autres maladies auto-immunes.

Alors que des études précédentes ont montré que la consommation d’oméga-3 ADH prévient l’apparition spontanée du lupus chez des souris prédisposée génétiquement à la maladie, Melissa Bates de l’Université d’État du Michigan et ses collègues ont vérifié, chez des souris génétiquement prédisposées à la maladie, si l’ADH pouvait prévenir le déclenchement de celle-ci en cas d’exposition à la silice cristalline.

Deux semaines après l’initiation d’un régime comportant différentes concentrations d’ADH, les souris ont été exposées à la silice de façon intranasale une fois par semaine pendant 4 semaines. Leur régime s’est poursuivi pendant un total de 12 semaines après lesquelles les marqueurs d’inflammation et d’auto-immunité dans les poumons, le sang et les reins ont été évalués.

Les résultats, disent les chercheurs, ont été « extrêmement positifs ». La consommation d’ADH supprime le déclenchement de l’auto-immunité par le sillice chez ces souris prédisposées, concluent-ils.

Ces résultats ouvrent la possibilité de développer des stratégies préventives peu coûteuses pour réduire le risque de déclenchement ou de poussées subséquentes de maladies auto-immunes chez les personnes exposées à la silice, soulignent-ils.

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir les mécanismes par lesquels l’ADH supprime l’auto-immunité et vérifier les signatures uniques du lipidome prédictif d’une susceptibilité au déclenchement du lupus par la silice.

Psychomédia avec sources : PLOS ONE, Michigan State University.
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L’aloe vera pour prévenir le diabète de type 2 ?

Le 30 juin 2016.

Selon une étude publiée dans le Journal of Alternative and Complementary Medicine, l’aloe vera permettrait de diminuer les taux de sucre dans le sang. Un moyen pour les diabétiques d’améliorer leur tolérance au glucose ?

Stimuler la sécrétion d’insuline

De nombreuses études ont déjà été faites sur le sujet, mais cette dernière vient confirmer le résultat des précédentes. L’aloe vera, cette plante grasse venue d’Afrique, aurait de nombreuses vertus, dont celle de contribuer à l’abaissement des pics glycémiques. Selon cette étude américaine, la consommation d’aloe vera sous forme orale ferait baisser significativement le taux de glucose dans le sang (46,6 mg/dl).

Sa consommation permettrait en effet de stimuler la sécrétion d’insuline. Chez une personne non diabétique, l’insuline est sécrétée en petite quantité en continu. Les diabétiques, en revanche, ont besoin de s’injecter cette insuline pour réguler leur taux de glucose dans le sang. Consommer de l’aloe vera leur éviterait donc une piqûre.

Comment consommer de l’aloe vera ?

L’aloe vera peut se consommer de différentes manières. Le mieux est de consommer du jus frais de cette plante. Pour cela, il vous suffit d’extraire la pulpe de l’aloe vera et d’en consommer une cuillère à café par jour. Pour améliorer les effets, vous pourrez aller jusqu’à 3 cuillères quotidiennes, tout en sachant qu’on ne doit pas dépasser les 50 ml par jour. Pour conserver la plante, gardez-la au frigo, afin qu’elle reste bien fraîche.

On peut aussi en consommer sous forme de gélules. Dans ce cas-là, on recommande de ne pas dépasser les 200 à 300 mg par jour. Mais attention, l’automédication est un risque pour les personnes diabétiques. Avant tout changement alimentaire, prenez conseil avec votre médecin, car un suivi médical sera obligatoire.

Par voie orale, la plante est par ailleurs déconseillée chez l’enfant de moins de 6 ans et pour la femme enceinte.

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