Les enceintes intelligentes connectées avec assistant virtuel font leur arrivée sur le marché français. Google Home est lancé le 3 août (au prix de 149 euros) et Amazon Echo suivra de près.
Suivront ensuite Apple HomePod (basé sur Siri) et Microsoft Invoke (basé sur Cortana) qui seront lancés aux États-Unis en 2017, puis dans le reste du monde.
À quoi servent ces nouveaux assistants virtuels domestiques (« digital home assistants ») ? Comment les consommateurs les utilisent-ils ?
La firme de marketing Gfk a mené un sondage, publié en avril 2017, auprès de 1012 Américains dont 108 possédaient Google Home ou Amazon Echo.
Près de la moitié (46 %) de ces propriétaires disaient utiliser leur enceinte au moins régulièrement et un sur cinq (19 %), l’utiliser tout le temps.
L’écoute de musique était de loin l’utilisation la plus courante, citée par les deux tiers (63 %) des propriétaires.
Voici dans l’ordre les utilisations rapportées :
- Faire jouer de la musique en streaming ou téléchargée
- Poser des questions
- Consulter des nouvelles, la météo, la circulation
- Consulter les nouvelles des sports
- Contrôler lampes, thermostats, ventilateurs
- Vérifier et réviser des agendas, des listes de choses à faire
- Faire jouer des vidéos, la télévision et des films
- Rechercher et écouter des podcasts
- Lire et rédiger des courriels, des textes
- Commander des produits sur Amazon ou d’ailleurs
Certaines applications telles que de faire jouer des vidéos, que seuls 15 % des propriétaires utilisaient, seraient plus complexes à utiliser pour l’instant, souligne la firme.
12 % des consommateurs américains rapportent posséder une enceinte Amazon Echo/Dot (10 %) ou Google Home (2 %), rapporte Gfk. Parmi ceux qui n’en possèdent pas, 3 % auraient l’intention d’en acheter une dans la prochaine année.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : Gfk.
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