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Deux sérums anti-âge retirés de la vente

Deux sérums anti-âge retirés de la vente

Le 20 mars 2017.

L’Agence du médicament vient de retirer deux produits cosmétiques de la vente. En cause : deux substances utilisées dans leur composition sont considérés comme des médicaments, et le laboratoire fabricant les utilise donc en dehors de tout cadre légal.

Un médicament se cache dans un produit cosmétique

Deux sérums anti-âge, commercialisés par le laboratoire Promicea, viennent d’être retirés du marché par l’Agence du médicament (ANSM). En cause : deux substances qui feraient de ces crèmes non pas des produits cosmétiques, mais bel et bien des médicaments.

Dans une décision rendue officielle le 13 mars, l’ANSM a ainsi annoncé avoir suspendu « la fabrication, l’exportation, la distribution en gros et la mise sur le marché à titre gratuit ou onéreux, la détention en vue de la vente […] des produits dénommés Neostem Serum et Neostem Pocket Lift », ainsi que le retrait de ces produits.

L’association de deux substances alerte l’Agence du médicament

À l’origine de cette décision, l’ANSM s’est rendu compte que le laboratoire utilisait de l’alendronate de sodium et de la pravastatine, deux substances  qui jouent un rôle dans la synthèse de la progérine, une protéine impliquée dans le vieillissement de la peau. Or, c’est justement cette action qui a alerté l’organisme, puisque cette protéine est une molécule connue pour être à l’origine d’une maladie génétique rare, appelée Syndrome d’Hutchinson-Gilford, également connue sous le nom de progéria.

L’Agence du médicament a donc immédiatement conclu que « le potentiel pharmacologique » de ces deux substances était avéré et que les produits du laboratoire Promicea devenaient donc incompatibles avec le statut de produit cosmétique revendiqué.

Sybille Latour

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La vente de lunettes sur Internet : comment y voir plus clair ?

La vente de lunettes sur Internet : comment y voir plus clair ?

Depuis le 17 Mars 2014, la vente sur Internet de lunettes avec verres correcteurs est encadrée par la loi de la consommation appelée loi Hamon. Comment commander ses lunettes de vue sur Internet ? Quels sont les avantages et quel opticien en ligne choisir ? Un opticien diplômé d’état répond à toutes vos questions.

Comment acheter ses lunettes en ligne ?

Aujourd’hui, acheter des lunettes sur Internet est presque devenu un jeu d’enfant. Les sites d’optique en ligne se développent rapidement. Ils ont fait de gros progrès technologiques simplifiant le choix d’une monture adapté votre visage.

Grâce à votre webcam ou avec une simple photo de votre visage, vous avez maintenant la possibilité d’essayer des montures directement sur le site d’optique en ligne. Vous pouvez également demander l’avis de vos proches sur les réseaux sociaux afin de choisir la paire qui vous ira parfaitement. Vous pouvez tenter l’expérience par exemple chez l’opticien en ligne Visionet, l’un des leader Français de la vente de lunettes sur internet.

Si vous ne disposez pas de webcam, la plupart des sites d’optique en ligne proposent d’envoyer gratuitement plusieurs montures directement à votre domicile. Vous faites ainsi votre choix tranquillement chez vous. Une fois votre monture choisie, il vous faudra choisir vos verres et leurs options (traitements, amincissements et teintes) en fonction de votre correction et vos besoins visuels. Pour cela, il suffit d’avoir sa prescription sous la main et de se laisser guider par le site à chaque étape de la commande. Vous pouvez à tout moment contacter directement les opticiens conseils par téléphone ou par mail si vous avez des doutes concernant votre choix.

Pour un montage parfait des verres sur votre monture, votre opticien en ligne doit connaitre votre écart pupillaire, c’est-à-dire la distance située entre vos deux yeux, Depuis la loi Hamon, cet écart pupillaire doit être inscrit sur votre prescription délivrée par votre ophtalmologiste. N’hésitez pas à contacter l’opticien conseils du site pour toute question sur ce point. Pour information, une ordonnance médicale de moins de 3 ans est obligatoire pour commander des verres correcteurs.

Quels sont les avantages à commander ses lunettes sur Internet ?

Tout d’abord, le prix. En effet, le gouvernement a décidé de légiférer sur la vente en ligne de lunettes dans l’objectif de faire baisser les prix jugés trop élevés chez les opticiens traditionnels. D’après une enquête réalisée en 2013 par l’association de défense des consommateurs, UFC Que choisir, c’est l’opacité des tarifs appliqués dans le secteur qui font de la France le pays d’Europe où le prix moyen d’une monture avec verres correcteurs est le plus élevé.

Le choix est également un argument de taille car les sites e-commerces disposent d’un catalogue allant jusqu’à plus de 10 000 références pour environ 1 000 références chez les plus grands magasins en ville.

Un service « Satisfait ou remboursé » est proposé par la majorité des opticiens en ligne et permet de retourner ses lunettes si vous n’êtes pas satisfait dans les 30 jours (moyenne du secteur) suivant votre commande.

Pour choisir un site sur lequel acheter vos lunettes, vérifiez bien que l’entreprise est agrée sécurité sociale et mutuelles afin de vous faire rembourser lorsque vous leur enverrez votre facture et votre feuille de soins. Assurez-vous également d’opter pour un site travaillant avec des verriers de qualité tels que Essilor, Carl Zeiss Vision, Kodak Lens ou Hoya.

Publi-éditorial

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Vente de médicament en ligne, oui mais…

Vente de médicament en ligne, oui mais…

Les Français sont d'accord pour acheter des médicaments en ligne

Illicopharma, site Internet de vente en ligne d’une pharmacie lyonnaise a interrogé les Français afin de connaitre leur avis sur la vente de médicaments en ligne. Une enquête actuelle alors que la vente des traitements en ligne se démocratise peu à peu tout en restant très encadrée en France. Les avis sont bien tranchés.

Les Français bien au fait de la vente de médicaments en ligne

80 % des personnes interrogées savent qu’il est possible d’acheter des médicaments en ligne. Ces mêmes personnes se disent d’ailleurs intéressées par le fait de pouvoir faire ce type d’achat sur Internet.

Et les médicaments sur ordonnance en ligne ?

Alors que pour l’instant la législation autorise la vente de médicament sans ordonnance en ligne, la pharmacie en ligne à l’origine du questionnaire interroge les  Français sur leur intérêt à acheter des médicaments sur ordonnance en ligne. 56 % des personnes sondées se disent prêtes à acheter ces médicaments sur une pharmacie en ligne.

Mais les consommateurs de médicaments souhaitent également accéder à de nombreuses informations concernant l’origine et la provenance des médicaments.

22 % des répondants se disent totalement contre la vente de médicaments sur ordonnance en ligne.

En revanche, les places de marché n’ont pas le vent en poupe

Cdiscount, Amazon…les sites de place de marché ne sont quant à eux pas bien perçus pour vendre des médicaments e ligne. Les craintes concernent le manque de contrôle de ces produits, l’accès simplifié à de produits dangereux ? Cependant, 6 % des répondants se sont dits ouverts à l’idée d’une telle plateforme pour la vente de médicaments.

Et vous qu’en pensez-vous ? A défaut d’acheter des médicaments en ligne, vous pouvez toujours souscrire une bonne mutuelle santé !

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Maladie de Lyme : un test en vente libre au Canada pour détecter la bactérie

Un test de détection des bactéries borrelia, responsables de la maladie de Lyme, est maintenant disponible en vente libre au Canada, a annoncé, le 9 mai, l’entreprise néerlandaise Tropicare Canada Ltd.

Le test à tique Care PlusTM est conçu pour détecter, dans une tique, la présence de trois bactéries borrelia, incluant la borrelia burgdorferi (ou B.burgdorferi) qui est principalement responsable de la maladie de Lyme au Canada. Ces bactéries sont transmises à l’humain par piqûre de tiques infectées.

Une étude clinique menée en 2011, rapporte l’entreprise, a comparé la sensibilité et la spécificité du test dans la détection de la présence des trois bactéries Borrelia, comparativement à la réaction en chaîne par polymérase (test de laboratoire). L’étude a montré une précision de 95,8 %.

Avant d’utiliser le test, on doit premièrement retirer complètement la tique, qui s’est attachée au corps d’un individu, et désinfecter la région affectée.

La tique complète doit ensuite être introduite dans un tube et écrasée avec le bâtonnet fourni. On y dépose ensuite 10 gouttes de la solution de test avec la pipette fournie, puis on remue. On transfère ensuite de 4 à 5 gouttes dans la cassette de test. Dans un délai de 10 minutes, un résultat positif ou négatif indique s’il y a présence de bactéries borrelia dans la tique.

Le test n’indique pas s’il y a présence de maladie de Lyme et ne peut pas détecter une infection actuelle ou antérieure. Les tiques sont plus susceptibles de transmettre une infection si elles sont attachées pendant plus de 24 heures, car la bactérie a besoin de temps pour migrer de l’estomac de la tique jusqu’à ses glandes salivaires. La détection et le retrait rapides d’une tique sont l’une des principales façons de prévenir la maladie.

Le test, à usage unique, se détaille 19,99 $ et est offert en ligne et dans certaines pharmacies et boutiques spécialisées en sports et activités de plein air.

Le test, précise Radio-Canada, n’est pas régulé au Canada car, ne testant pas d’échantillons humains, il n’est pas considéré comme un dispositif médical. L’Agence de la santé publique du Canada indique dans un communiqué qu’elle « évalue actuellement les caractéristiques de performance » du test pour s’assurer qu’il procure une information juste et fiable. Elle affirme également que le test peut jouer un rôle complémentaire dans la prévention de la maladie s’il incite les gens à consulter un médecin.

Psychomédia avec sources : Care Plus, Radio-Canada.
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Des médicaments anti-nausées retirés de la vente libre

Le 31 mars 2016.

 

Des médicaments anti-nausées, utilisés pour soigner contre le mal des transports notamment, ont été retirés de la vente libre en pharmacie. En cause, l’usage « récréatif » que des adolescents ont pu en faire.

Utilisés pour droguer des personnes à leur insu

Ce ne sont que 59 cas, mais 59 cas de trop, d’usages détournés du Mercalm et du Nausicalm. Ces deux médicaments, proposés bien souvent sur les étagères en libre-accès, en pharmacie, servent à limiter les effets du mal des transports, à commencer par les nausées et les vomissements. Mais en contrepartie, ces médicaments induisent une somnolence. Ils sont d’ailleurs normalement interdits aux automobilistes, ou aux conducteurs d’engin de chantier, notamment. 

C’est cette somnolence qui est recherchée par certains. Plusieurs cas d’agressions sexuelles ont été recensés, sur des personnes qui avaient préalablement été droguées avec plusieurs cachets de ces médicaments anti-nausées, mélangés à leur boisson. 
 

Des médicaments qui provoquent des séquelles à haute dose

 

Outre cet usage délictueux, ces médicaments sont aussi parfois utilisés par des personnes souffrant de troubles psychiques. Là encore, c’est la somnolence qui est recherchée. Le problème, c’est que ces médicaments, pris à haute dose, provoquent des effets secondaires qui peuvent être très graves, notamment sur les systèmes nerveux et cardiaque. On soupçonne même que la mort d’un homme pourrait avoir été provoquée par la consommation de toute une boîte d’un anti-nauséeux. 

À lire aussi : des remèdes naturels contre le mal des transports

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28 médicaments en vente libre à éviter et 13 à privilégier selon « 60 millions de consommateurs »

Le magazine « 60 millions de consommateurs » de l’Institut national français de la consommation a publié une enquête portant sur les 61 médicaments sans ordonnance les plus vendus, selon les données de deux grandes pharmacies.

Ces médicaments ont été « passés au crible » sous le contrôle du professeur Jean-Paul Giroud, pharmacologue, auteur de plusieurs ouvrages sur les médicaments et l’automédication, et Hélène Berthelot, pharmacienne, experte auprès de la Haute Autorité de santé.

Les médicaments à éviter, indique le magazine, « comportent trop de contre-indications et des effets indésirables disproportionnés pour soigner des maux passagers, sans compter que certains contiennent des substances inefficaces ».

Le magazine met en garde sur les médicaments associant plusieurs substances (par exemple le paracétamol ou acétaminophène combiné à la pseudoéphédrine et la tripolidine) qui augmentent les risques d’accidents cardiovasculaires et neurologiques.

Les médicaments contenant des vasoconstricteurs augmentent le risque d’accident cardiovasculaire, indique Mme Berthelot. Il serait intéressant, note-t-elle, « de savoir, parmi les cas d’AVC qui arrivent aux urgences, combien de personnes ont pris un médicament contre le rhume contenant un vasoconstricteur ».

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ex. ibuprofène) sont ainsi à l’origine de nombreuses pathologies digestives et peuvent exposer à des AVC.

« Dans de nombreux cas », indique le Pr Giroud, « des médicaments d’automédication contiennent des principes actifs contradictoires, par exemple, un antitussif et un mucolytique pour traiter la toux grasse. C’est complètement incongru, vous fluidifiez les mucosités pour en faciliter leur expectoration et en même temps vous donnez un médicament qui empêche le patient de tousser ! »

(Pour vérifier si un médicament est mentionné dans cette page, vous pouvez utiliser les touches CTRL-F pour faire apparaître un champ de recherche.)

28 médicaments « à proscrire »

Leur « le rapport bénéfice/risque serait défavorable en automédication ».

Rhume
  • Actifed rhume jour et nuit ;
  • Nurofen rhume ;
  • Rhinadvil rhume ibuprofène et pseudoéphédrine ;
  • Actifed rhume ;
  • Dolirhume paracétamol et pseudoéphédrine ;
  • Humexlib paracétamol chlorphénamine.
Grippe
  • Actifed états grippaux ;
  • Doli état grippal ;
  • Fervex phéniramine adulte sans sucre.
Toux
  • Bronchokod toux grasse sans sucre adultes 5 % ;
  • Exomuc toux grasse orange ;
  • Fluimucil orange ;
  • Humex toux sèche oxomémazine caramel ;
  • Mucomyst toux grasse orange ;
  • Toplexil sans sucre ;
  • Néo-Codion.
Maux de gorge
  • Colludol ;
  • Drill miel rosat ;
  • Drill tétracaïne ;
  • Hexaspray ;
  • Humex mal de gorge ;
  • Maxilas maux de gorge ;
  • Strepsils lidocaïne ;
  • Sterne sans sucre orange.
Diarrhée
  • Ercéfuryl.
Constipation
  • Contalax ;
  • Dragées Fuca ;
  • Pursennide.
20 médicaments classés « faute de mieux »

Leur efficacité serait « faible ou non prouvée, mais ils n’auraient pas, peu ou très rarement d’effets indésirables ».

  • Coryzalia ;
  • Rhinotrophyl ;
  • Infludo ;
  • L52 ;
  • Oscillococcinum ;
  • Prospan sans sucre lierre grimpant ;
  • Vicks toux sèche miel ;
  • Euphon sans sucre ;
  • Lysopaïne ;
  • Solutricine maux de gorge ;
  • Citrate de bétaïne ;
  • Météospasmyl ;
  • Météoxane ;
  • Spasfon ;
  • Smecta ;
  • Gavisconell ;
  • Rennie sans sucre ;
  • Lubentyl à la magnésie ;
  • Microlax ;
  • Sorbitol Delalande.
13 médicaments « à privilégier »

Leur rapport bénéfice/risque serait favorable.

  • Calyptol inhalant ;
  • Perubore inhalation ;
  • Atuxane toux sèche ;
  • le sirop Clarix toux sèche ;
  • Humex adultes toux sèche dextrométhorphane ;
  • Vicks vaporub ;
  • Imodiumcaps ;
  • Gaviscon menthe ;
  • Maalox sans sucre ;
  • Tussidane ;
  • Immodiumcaps ;
  • Forlax 10g ;
  • Psyllium Langlebert.

En octobre, le magazine avait présenté une analyse des médicaments contre la toux sans ordonnance, selon laquelle plus de la moitié sont inutiles ou présentent plus de risques que de bénéfices.

Psychomédia avec sources : Doctissimo, <a href= »http://www.francetvinfo

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Médicaments : 25 génériques interdits à la vente

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L’ANSM vient de suspendre la commercialisation de 25 médicaments génériques distribués par huit laboratoires. A l’origine de cette interdiction, le constat de problèmes dans les essais de bioéquivalence observé au cours d’une enquête dans les locaux de la société indienne GVK Bio.

C’est au cours d’une enquête réalisée à Hyderabad en Inde auprès de la société GVK Bio chargée de réaliser des tests de médicaments génériques que l’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a constaté qu’il y avait des anomalies dans les essais cliniques de bioéquivalence. L’autorité du médicament a en effet remarqué des anomalies dans les procédures d’enregistrement électrocardiographiques réalisées entre 2008 et 2014.

Ces essais, qui démontrent qu’un médicament générique produit les mêmes effets que sa version originale ne sont donc pas fiables, raison pour laquelle les 25 médicaments indiens concernés ont été retirés de la vente. Les laboratoires concernés par cette mesure sont Abbott, Mylan, Biogaran (groupe Servier), Teva, Cristers, Gerda, Medipha Santé et Zydus.

Selon l’ANSM, si on ne peut remettre en cause la qualité des médicaments concernés, il y a un « manque de respect des bonnes pratiques cliniques ». L’agence tient cependant à souligner que les anomalies constatées ne mettent pas en danger la vie des patients et que les patients ne seront pas affectés par cette suspension puisque les médicaments concernés sont disponibles dans d’autres marques.

Ces médicaments seront retirés du marché le 18 décembre. En attendant, un nouveau rapport sur ces 25 médicaments génériques sera effectué par le Comité des médicaments à usage humain et rendu début 2015.
Cette mesure a été également prise « à titre de précaution par l’Allemagne, la Belgique et le Luxembourg.

25 génériques interdits par l'ANSM

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VIDEO. Le Colorado, l’Etat où le cannabis est en vente libre

Dans un bus-limousine, des touristes fument de la marijuana, en toute légalité. Ils sont au Colorado, venus visiter l’un des 200 dispensaires où cette drogue douce est vendue librement.

« Au moins ici, on n’est plus des criminels », rigole l’un d’entre eux.

Dans cet Etat des Rocheuses américaines, les adultes de plus de 21 ans peuvent acheter 28 grammes de cannabis légalement, 7 grammes seulement s’ils ne résident pas dans le Colorado.

« Ça a plus de valeur que l’or »

Pour Pete Williams, qui a créé une boutique de vente de cannabis, c’est une manne financière, qui lui rapporte pas moins de 6 millions d’euros de bénéfices par an.

Dans son hangar de 3 500 m2, il produit 60 kilos de cannabis par semaine. « C’est comme si on faisait pousser de l’or. Si on extrait juste le THC, la substance psychoactive, ça a plus de valeur que l’or », explique Pete Williams.

Mais ce commerce est contesté par des groupes de parents, qui dénoncent la commercialisation de bonbons et boissons au cannabis, et demandent que ces produits soient clairement identifiables pour protéger les enfants.

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La vente de médicaments à l’unité rentre en 1ère phase d’expérimentation

L’expérimentation annoncée par le ministère de la Santé il y a peu de temps concernant la vente de médicament à l’unité va rentrer dans sa première phase. Grâce à la publication d’un décret paru au Journal officiel ce mardi 16 septembre, les premières pharmacies participant à l’étude seront autorisées à vendre 14 antibiotiques à l’unité. Le but de cette mesure vise à éviter non seulement l’apparition de phénomènes de résistance, mais aussi à éviter le gaspillage et la surconsommation de médicaments.

Ce sont les pharmaciens volontaires d’Ile-de-France, de Lorraine, du Limousin et de la Provence-Alpes-Côte d’Azur qui pourront dans un premier temps tester ce dispositif. Pour mener à bien cette expérimentation, ils devront recueillir par écrit le consentement des patients qui participent à l’étude. A l’aide d’un formulaire spécifique, ils seront chargés de recueillir les nom et prénom du patient, le nom du médicament et son numéro de lot, mais aussi sa posologie, ainsi que la date limite d’utilisation.

Cet effort des pharmaciens aura sa contrepartie puisque les officines qui accepteront de vendre seulement le nombre de pilules nécessaires à la durée du traitement pourront percevoir jusqu’à 1500 euros par an. Quant aux « pharmacies » du groupe témoin qui rempliront également des formulaires mais continueront à vendre des boîtes entières, pourront percevoir jusqu’à 300 euros par ans.

Cette expérimentation est prévue sur trois ans, mais dès la première année, un premier bilan d’étape sera dressé par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).

La vente de médicament à l'unité rentre dans sa première phase d'expérimentation

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Marisol Touraine reste opposée à la vente de médicaments hors pharmacie

Crédit : Fotolia

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Comme vous le savez très certainement Marisol Touraine a autorisé  en 2013 les pharmaciens à vendre certains médicaments en ligne, une autorisation réservée toutefois aux pharmaciens « ayant obtenu une licence pour créer une officine de pharmacie physique » et ne concernant que les médicaments en libre accès et donc délivrés sans ordonnance.

Certains – on pense en premier lieu à la grande distribution et notamment au combat mené par Michel-Edouard Leclerc – aimeraient que la ministre aille un peu plus loin encore en autorisant la vente dans les grandes surfaces.

Malheureusement elle vient de leur adresser encore une fois une fin de non-recevoir.

Dans le cadre d’une interview accordée à LCI elle s’est montrée très claire à ce sujet. Elle reste opposée à une vente des médicaments en dehors des officines de pharmacie. L’argument selon lequel une vente dans les supermarchés permettrait de faire baisser les prix ne l’a pas vraiment convaincue. Selon la ministre il y a un risque de voir la consommation de médicaments repartir à la hausse alors que l’objectif est justement de maintenir et voir même d’accentuer la baisse déjà constatée ces dernières années.


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