Archives par mot-clé : vidéo

Jeux vidéo : l’addiction bientôt reconnue comme une maladie

Jeux vidéo : l’addiction bientôt reconnue comme une maladie

Le 3 janvier 2018.

Selon les informations du magazine Psychology Today, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait prochainement reconnaître l’addiction aux jeux vidéo comme une authentique maladie.

Une maladie comme les autres ?

L’addiction aux jeux vidéo pourrait être bien reconnue comme une maladie. C’est ce que révèlent nos confrères du magazine Psychology Today. Selon leurs informations, l’Organisation mondiale de la santé pourrait classer les troubles liés aux jeux dans la catégorie des « troubles liés aux comportements addictifs avec plusieurs caractéristiques de dépendance ». Mais pour cela, il faudrait qu’une réelle addiction soit constatée.

Selon l’OMS, on parle de syndrome de dépendance quand on constate « un ensemble de phénomènes comportementaux, cognitifs et physiologiques dans lesquels l’utilisation d’une substance entraîne un désinvestissement progressif des autres activités ». Dans le cas qui nous intéresse, il ne s’agirait pas d’une substance mais d’un jeu. Pour être considéré comme dépendant, le joueur devra présenter un certain nombre de symptômes.

Des cas rares d’addiction

Si le joueur perd le contrôle notamment en matière de temps de jeu ou si sa passion pour les jeux vidéo met en danger sa santé ou celle de son entourage, alors on pourra le considérer comme accro. En règle générale, quand l’addiction aux jeux vidéo entraîne une dégradation de la vie familiale, des relations sociales et de l’activité scolaire ou professionnelle, c’est qu’il y a un problème.

Ce ne sont pas les jeux vidéo en tant que tels qui sont pointés du doigt par l’OMS, mais la pratique abusive. En cas d’addiction, les médecins pourraient ainsi envisager un traitement et une prise en charge comme ils le font déjà pour la toxicomanie, le tabagisme ou l’alcoolisme. Pour minimiser les risques d’addiction, l’Institut fédératif des addictions comportementales (Ifac) recommande d’installer son ordinateur ou sa console de jeu dans un lieu de passage et de déterminer à l’avance un temps de jeu. 

Marine Rondot

À lire aussi : Mesurer votre niveau d’addiction avec Addict’Aide

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les jeux vidéo favoriseraient l’apprentissage de la lecture

Les jeux vidéo favoriseraient l’apprentissage de la lecture

Le 2 janvier 2018

Les jeux vidéo ne seraient pas si néfastes. Selon des chercheurs du CNRS, ils développeraient les capacités d’attention des enfants et favoriseraient leur apprentissage de la lecture.

Les effets positifs des jeux vidéo

De nombreuses études ont cherché à montrer que les jeux vidéo avaient des effets négatifs sur les joueurs : addiction, violence, exclusion sociale, troubles du sommeil, surpoids… Pourtant, ces dernières années, ils tendent à être réhabilités car ils auraient aussi des effets positifs. Ils amélioreraient le développement des facultés d’apprentissage, de mémorisation, de raisonnement. Ils permettraient également aux enfants d’évacuer leur agressivité et de retrouver leur confiance en eux.

Dernier effet positif en date : les jeux vidéo favoriseraient l’apprentissage de la lecture. Une étude publiée le 6 novembre 2017 dans la revue Nature Scientific Report, réalisée par des chercheurs du laboratoire de Psychologie et neurocognition du CNRS en collaboration avec des équipes espagnoles, montre que les joueurs de jeux vidéo d’action ont de meilleures performances en lecture.

Les joueurs de jeux vidéos sont plus attentifs que les non-joueurs

Les chercheurs ont comparé les performances en lecture de joueurs de jeux vidéo d’action et de non-joueurs. Les enfants devaient lire des mots inventés qui apparaissaient sous forme de flash à l’écran. Résultats : les joueurs de jeux vidéo lisent correctement un plus grand nombre de mots que les non-joueurs.

La raison se trouve dans un mécanisme commun à la lecture et aux jeux vidéo : l’empan visuo-attentionnel. Il correspond au nombre d’informations visuelles que l’on peut traiter simultanément en un seul regard. D’après les scientifiques cette expérience montre que les joueurs de jeux vidéo d’action ont des « capacités supérieures d’attention visuelle ».

Ainsi, selon l’étude, « La pratique des jeux vidéo d’action confère donc de meilleures capacités de lecture et de traitement visuel simultané aux joueurs. Ils sont alors capables d’identifier plus de lettres simultanément dans la séquence d’un mot et ainsi de le lire plus efficacement ». Mais pas question pour les chercheurs de prôner l’utilisation des jeux vidéo ! Leur objectif est plutôt « d’utiliser leurs propriétés pour la création de jeux à visée éducative ». Une expérimentation est actuellement en cours avec des élèves de l’académie de Grenoble, qui jouent régulièrement avec un jeu vidéo d’action conçu spécialement pour entraîner leur empan visuo-attentionnel. Les résultats sont attendus pour l’été 2018.

Perrine de Robien

À lire aussi : Jeux vidéo : et si les effets n’étaient pas si néfastes pour les enfants ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

L’addition aux jeux vidéo bientôt classée comme une maladie ?

addiction aux jeux vidéo

pixabay

Et si l’addiction aux jeux vidéo était classée comme une maladie à part entière ? Si pour l’instant rien n’est fait, tout pourrait changer en 2018. L’OMS (Organisation mondiale de la santé,ndrl) pourrait en effet inscrire l’addiction aux jeux vidéo dans sa prochaine Classification internationale des maladies.

Une simple rumeur ? Pas vraiment. Un document de travail circule actuellement à ce sujet et préfigure de cette inscription dans la prochaine classification internationale des maladies qui doit être rendue publique dans le courant de l’année 2018.

Pour les experts de l’OMS, le comportement de certains joueurs relève bien d’un trouble mental : perte de contrôle ou contrôle réduit face au jeu; priorité quasi absolue accordée au jeu par rapport à toute autre activité; poursuite ou escalade du jeu même s’il doit engendrer des conséquences négatives… etc

Pour toutes ces raisons, et selon LCI, l’addiction aux jeux vidéo pourrait être intégrée prochainement à la catégorie “Troubles liés aux aux comportements addictifs avec plusieurs caractéristiques de la dépendance”.

Pourquoi ? Parce qu’une telle dépendance, peut aussi aussi avoir de graves conséquences sur la vie sociale, familiale et même professionnelle de certains joueurs.

Addiction aux jeux vidéo : l’avis de l’Institut fédératif des addictions comportementales

Ce n’est pas la première fois que l’on se pose des questions à ce sujet. Il faut dire que le jeu vidéo est devenu un média incontournable dans tous les foyers français ou presque.

C’est pourquoi l’Institut fédératif des addictions comportementales (Ifad) a édité un petit guide du jeu vidéo afin de prévenir et d’informer sur l’usage des jeux vidéo à la maison.

Dans ce guide particulièrement intéressant – à télécharger gratuitement ICI – on apprend que le jeu vidéo reste dans l’ensemble un plaisir, une source d’amusement, de créativité et de divertissement.

Chez une faible proportion de joueurs, la perte de contrôle du temps passé à jouer est manifeste et les conséquences sur la vie quotidienne parfois importantes

La pratique excessive des jeux vidéo peut ensuite conduire à des difficultés scolaires et/ou professionnelles, ainsi qu’à un repli au domicile avec abandon des autres loisirs et diminution des relations sociales dans la vie réelle.

Comment savoir si votre enfant joue trop ?

Pour les parents dont les enfants jouent souvent, voici quelques conseils. Ces signes doivent vous alerter :

– l’enfant commence à jouer toute la nuit et perd la notion du temps
– Il se replie au domicile et abandonne ses autres loisirs
– Ses résultats scolaires connaissent une forte baisse
– Il a des troubles de l’humeur, semble triste, voire parfois agressif quand il ne peut pas jouer
– Ses relations sociales dans la vie réelle diminuent
– Il se détourne de sa famille et est au centre de conflits familiaux. …
– etc…

En cas de doute, sachez qu’il existe en France quelques centres spécialisés dans la prise en charge de la dépendance aux jeux vidéo. Renseignez-vous!

News Santé

L’addiction au jeu vidéo introduite dans la classification des troubles mentaux de la CIM-11 (OMS)

La CIM-11, la 11e édition de la « Classification internationale des maladies » (1) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui sera publiée en juin 2018, introduit un nouveau « trouble d’addiction au jeu vidéo » (« gaming disorder »), selon la version bêta (non définitive) disponible en ligne.

Le trouble est classé parmi les troubles dus à des comportements d’addiction (« disorders due to addictive behaviours ») qui inclut aussi le « trouble de jeu d’argent » (« gambling disorder ») déjà présent dans la CIM-10.

Voici les critères diagnostiques du trouble de jeu vidéo selon la version bêta de la CIM-11 :

« Le trouble de jeu vidéo est caractérisé par un mode de comportement de jeu (“jeu numérique” ou “jeu vidéo”), qui peut être en ligne ou hors-ligne, persistant ou récurrent, qui se manifeste par :

  1. un contrôle réduit sur le comportement de jeu (ex., initiation, fréquence, intensité, durée, fin, contexte) ;

  2. une priorité accrue accordée au jeu dans la mesure où celui-ci l’emporte sur les autres intérêts dans la vie et activités quotidiennes ;

  3. la poursuite ou l’escalade du jeu malgré des conséquences négatives.

Le mode de comportement est suffisamment sévère pour entraîner une altération importante du fonctionnement personnel, familial, social, éducatif, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

Le mode de comportement de jeu peut être continu ou épisodique et récurrent. Le comportement de jeu et d’autres caractéristiques sont normalement évidents sur une période d’au moins 12 mois pour qu’un diagnostic soit établi, bien que la durée requise puisse être raccourcie si toutes les exigences diagnostiques sont satisfaites et que les symptômes sont sévères. »

« Les troubles dus à des comportements d’addiction sont des syndromes reconnaissables et cliniquement significatifs associés à une détresse ou à l’interférence avec les fonctions personnelles qui se développent en conséquence de comportements gratifiants répétitifs autres que l’usage de substances qui produisent une dépendance. » Cette catégorie inclut les troubles de jeu vidéo et de jeu d’argent.

Jeux d’argent et de hasard en ligne : danger d’addiction

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : ICD-11 Beta Draft.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo)

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo). Il y a près d’un an, c’était déjà dans le magazine de TF1 “Sept à huit” son témoignage avait ému des millions de Français. Un an plus tard, les équipes du magazine sont allées prendre de ses nouvelles. Aujourd’hui, et même si son quotidien reste encore très compliqué, il nous offre une vraie leçon de vie face à la maladie.

Il y a un an, il faisait l’objet du portrait de la semaine. Alors âgé de 8 ans, on le découvrait dans l’attente d’une greffe de rein. Une greffe dont il bénéficiera quelques semaines plus tard, grâce au rein de son papa.

Quitter son pays, voyager, lutter contre la maladie, avoir peur de mourir… Dans un entretien très touchant, Imad avait raconté à sa manière les épreuves qu’il traversait.

Cette semaine, dans le numéro inédit de “Sept à huit” diffusé ce dimanche 24 décembre 2017, le petit Imad a donné de ses nouvelles. Et même si elles ne sont pas forcément très bonnes –  une infection s’est récemment déclarée – il a surtout retenu le meilleur de cette année passée.

“J’ai fait mes premières vacances. Je suis parti à Marseille et voilà c’était formidable. J’ai découvert la mer pour la première fois et j’ai même bu un peu d’eau salée c’était trop bien” s’est-il ainsi souvenu alors que les médecins pensent avoir découvert une tumeur.

Un mot qui ne lui fait absolument pas peur. “Il ne va pas me tuer le mot tumeur (…) Je combats, je combats. Chaque maladie que j’aurais, je combattrai, coûte que coûte. Je ne lâche pas, je lâche rien” a déclaré Imad devant les caméres

Toujours aussi optimiste, il a rajouté “il y a toujours une solution”. Quelle belle leçon de vie…

Plus courageux et battant que jamais, Imad veut maintenant découvrir l’Amérique et espère pouvoir devenir pompier car il n’a désormais qu’une envie : pouvoir sauver des vies.

“Sept à Huit”: le message bouleversant du petit Imad (vidéo)

Découvrez maintenant la vidéo replay de ce reportage


News Santé

Jeux vidéo : des effets néfastes sur le cerveau

Jeux vidéo : des effets néfastes sur le cerveau

Le 23 août 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Montréal, au Québec, certains jeux vidéo affecteraient les fonctions cognitives. Explications.

Attention aux jeux de guerre

Certains jeux de guerre, notamment les « first-person shooter » (jeux de tir à la première personne) comme Counter Strike, Call of Duty ou Battlefield, seraient mauvais pour le cerveau. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue scientifique Molecular Psychiatry. Selon ces travaux, jouer avec excès à ces jeux pourrait conduire à l’atrophie de certaines zones du cerveau.

Serait affecté en particulier l’hippocampe, une zone du cerveau responsable de la mémoire et du repérage dans l’espace. Selon les auteurs de cette étude, à long terme, ces jeux pourraient même conduire au développement de pathologies mentales graves comme la schizophrénie, le syndrome de stress post-traumatique ou encore la dépression. Un constat qui risque de pousser certains parents à interdire ces jeux à leurs enfants.

L’hippocampe n’est pas assez stimulé

Les chercheurs québécois ont en effet constaté que les grands joueurs présentaient moins de matière grise dans leur hippocampe. « Il est prouvé que les jeux vidéo sont bénéfiques pour certains systèmes cognitifs, principalement ceux liés à l’attention visuelle et à la mémoire à court terme », a fait savoir Gregory West, qui a dirigé les travaux. Mais certaines études « montrent aussi qu’il pourrait y avoir un coût à cela », a-t-il ajouté.

Et ce coût se vérifierait dans le temps. Cela serait dû au fait que lorsqu’on joue à un jeu de guerre, on a davantage tendance à utiliser une région du cerveau appelée le striatum qui nous permet d’acquérir de bons réflexes, ce qu’on appelle la « motricité automatique ». L’hippocampe étant moins stimulé, il finirait par s’atrophier. Les fabricants de jeux tiendront-ils compte de cette conclusion ? Rien n’est moins sûr. 

À lire aussi : Les geeks ne sont pas ceux que vous croyez 

Marine Rondot

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Quels oiseaux entendez-vous dans votre cour, votre parc ? (vidéo, 19 oiseaux)

Voici une vidéo, « Oiseaux du Québec – 19 chants et cris », permettant de reconnaître le chant d’oiseaux communs. 18 des 19 oiseaux présentés sont présents toute l’année au Québec.

Ces 19 oiseaux sont les suivants : chardonneret jaune, roselin familier, geai bleu, tourterelle triste, paruline flamboyante, paruline à flancs marron, sittelle à poitrine blanche, carouge à épaulettes, bruant à gorge blanche, bruant chanteur, merle d’Amérique, jaseur boréal, gros bec errant, plectrophane des neiges, tarin des pins, pluvier kildir, étourneau sansonnet, corneille d’Amérique, fou de bassan.

Mis en ligne par Annie G en mars 2017.

Les facteurs psychologiques de l’effet antistress d’une marche en forêt (ou « bain de forêt »)

Pour des informations sur la psychologie des oiseaux ainsi que sur les façons dont la nature peut aider à la relaxation, voyez les liens plus bas.

Psychomédia
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Les douleurs fantômes soulagées au moyen de la réalité virtuelle augmentée (vidéo)

La réalité augmentée pourrait aider à soulager les douleurs fantômes chez les personnes amputées, montre une étude publiée dans The Lancet. Aucun traitement efficace n’existe à ce jour pour cette condition qui touche une grande proportion des personnes subissant des amputations.

Les chercheurs ont fait l’hypothèse que « le réengagement des circuits centraux (cerveau et moelle épinière) et périphériques impliqués dans l’exécution motrice pouvait réduire la douleur de membre fantôme via la plasticité concurrentielle et l’inversion de la réorganisation corticale. »

Max Ortiz Catalan de l’université technologique Chalmers (Suède) et ses collègues ont développé une thérapie fondée sur la réalité virtuelle qu’ils ont évaluée avec 14 personnes amputées d’un bras depuis 2 à 36 ans et souffrant de douleurs fantômes depuis l’opération.

Des capteurs fixés au niveau de leur moignon enregistraient l’activité musculaire du bras absent. Ces signaux étaient décodés par l’ordinateur qui projetait à l’écran le membre amputé.

Lors de 12 sessions, les volontaires devaient bouger leur bras virtuel à l’écran, conduire une voiture de course avec leur bras absent et reproduire les gestes présentés à l’écran par un bras virtuel.

L’intensité des douleurs ainsi que leur fréquence ont diminué de moitié.Après six mois, les bénéfices étaient maintenus et la moitié des participants avait réduit de moitié leurs médicaments antalgiques.

Ces résultats suggèrent qu’il serait utile de « bouger » le membre fantôme, concluent les chercheurs qui souhaitent maintenant mener une étude de plus grande envergure contre placebo.

Psychomédia avec sources : Chalmers University of Technology, CUT, The Lancet.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Patch connecté : avancement vers un remplacement des prises de sang (Vidéo)

Des chercheurs américains ont développé un patch souple et flexible qui adhère facilement à la peau et mesure différents paramètres de santé présents dans la sueur, lesquels peuvent être lus par une application sur smartphone.

Le patch, développé par John A. Rogers de la Northwestern University et ses collègues, a été testé avec des athlètes pour mesurer comment leur corps répondait à l’exercice. Dans le futur, il pourra être utilisé plus largement pour le diagnostic de maladies.

La sueur contient plusieurs composés chimiques fournissant des informations sur la santé physiologique.

Ce dispositif permettra aux gens de surveiller leur santé sans avoir besoin d’échantillons de sang avec une électronique intégrée qui ne nécessite pas de batterie mais qui permet la connexion sans fil à un smartphone, expliquent les chercheurs.

La sueur coule à travers de minuscules canaux microscopiques jusqu’à de petits compartiments circulaires dans lesquels les réactions avec des produits chimiques entraînent des changements de couleur indiquant des changements de pH, de concentrations de glucose, de chlorure et de lactate.

L’application sur smartphone prend une photo du dispositif et analyse l’image pour obtenir les données sur les concentrations des biomarqueurs.

Ces travaux sont décrits dans la revue Science Translational Medicine.

Plusieurs équipes de recherche développent actuellement des patchs connectés mesurant différents paramètres de santé.

Psychomédia avec source : Northwestern University.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Vidéo : Josef Schovanec, autiste Asperger, auteur et voyageur, témoigne de son quotidien

« Docteur et chercheur en philosophie et sciences sociales, parlant sept langues », Josef Schovanec est autiste Asperger, résumait France TV Info à l’occasion de la parution de son troisième livre, « De l’Amour en Autistan ».

Son premier livre « Je suis à l’Est », en 2012, l’a fait connaître du grand public. Il a été suivi de l’« Éloge du voyage à l’usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez », toujours chez Plon.

Une équipe de France 2 a recueilli, en 2015, son témoignage.

Psychomédia avec sources : France TV Info, Youtube.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia