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Un impact du manque de sommeil sur le vieillissement

Le manque de sommeil est lié à une accélération du vieillissement biologique et un risque accru de maladies cardiovasculaires, selon une étude publiée dans la revue Communications Biology.

Patrick Tan et ses collègues de l’Université Duke (États-Unis) et du National Heart Centre Singapore ont analysé les habitudes de sommeil de 480 participants à l’aide de données recueillies pendant une semaine par un bracelet connecté (Fitbit).

Ces données ont été mises en relation avec des données sur leur mode de vie et sur des facteurs de risque de maladies cardiovasculaires tels que la tension artérielle, le cholestérol et la glycémie. Une analyse du génome a permis de déterminer la longueur des télomères, laquelle est un indicateur du vieillissement biologique.

Les télomères sont des structures, composées d’ADN à l’extrémité des chromosomes des cellules, dont la longueur diminue avec l’âge. Il est considéré qu’ils représentent l’âge biologique d’une personne, par opposition à l’âge chronologique.

Des études antérieures ont notamment établi un lien entre des télomères raccourcis et un risque accru de maladie cardiovasculaire.

L’équipe de recherche a constaté que les 7 % de volontaires qui dormaient moins de cinq heures par nuit étaient deux fois plus susceptibles d’avoir des télomères raccourcis que ceux qui dépassaient la durée de sommeil recommandée de sept heures. Ils présentaient également des facteurs de risque cardiovasculaire accrus, comme un indice de masse corporelle (Calcul rapide de votre IMC et votre poids idéal) et une circonférence de taille plus élevés.

« Il est temps de prendre le sommeil au sérieux », concluent les chercheurs. Cette étude s’inscrit dans le cadre d’un projet plus vaste, celui de l’étude SingHEART, qui examine comment le mode de vie et les facteurs génétiques des Singapouriens peuvent influer sur le développement de maladies. La popularité croissante des bracelets connectés représente une nouvelle opportunité de cueillette efficace de données de santé, soulignent notamment les chercheurs.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : SINGHEALTH, Communications Biology.
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L’effet d’un peu d’activité physique légère sur le vieillissement cérébral

Une légère augmentation de l’activité physique, même de faible intensité, est associée à un volume cérébral plus important et à un vieillissement cérébral en meilleure santé, selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Des données probantes suggèrent que la pratique régulière d’une activité physique peut prévenir le déclin cognitif et la démence. Cependant, les niveaux d’activité spécifiques optimaux pour la prévention de la démence ne sont pas encore clairement définis.

Les personnes actives physiquement présentent des facteurs de risque métaboliques et vasculaires plus faibles et ces facteurs de risque peuvent expliquer leur propension à un vieillissement cérébral plus sain.

Les nouvelles lignes directrices américaines de 2018 sur l’activité physique suggèrent qu’une certaine activité physique est préférable à aucune, mais elles recommandent de faire plus de 150 minutes d’activité d’intensité modérée à vigoureuse par semaine pour des bienfaits substantiels.

Nicole Spartano de l’Université de Boston et ses collègues ont analysé des données provenant de la cohorte Framingham Heart Study. Chaque heure supplémentaire par semaine passée à faire une activité physique d’intensité légère correspondait à environ 1,1 an de moins de vieillissement cérébral.

Ces résultats suggèrent que des bénéfices en lien avec le vieillissement du cerveau pourraient être obtenus avec des niveaux d’intensité ou des quantité d’exercice plus faibles et plus réalisables que les recommandations, soulignent les chercheurs.

Chaque heure supplémentaire d’activité physique d’intensité légère était associée à des volumes cérébraux plus élevés, même chez les personnes qui ne respectaient pas les lignes directrices actuelles en matière d’activité physique.

Pour plus d’informations sur l’activité physique et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Université de Boston.
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Cancer : les effets de la chimiothérapie sur la cognition liés à une accélération du vieillissement biologique

« Les traitements contre le cancer sont soupçonnés d’accélérer certains processus de vieillissement. »

Une étude, publiée dans la revue Cancer, montre que les indicateurs d’un tel vieillissement biologique sont corrélés à une diminution de la fonction cognitive chez les femmes ayant subi un traitement contre le cancer du sein à un stade précoce quelques années auparavant.

Les résultats montrent que les traitements contre le cancer ont un effet semblable au vieillissement et établissent un lien entre cet effet et le déclin cognitif.

Les traitements contre le cancer du sein augmentent les risques de toxicité à long terme, se manifestant par une fatigue persistante, la douleur et des dysfonctions cognitives. Certains traitements, dont la radiothérapie et certains médicaments de chimiothérapie agissent en endommageant l’ADN des cellules cancéreuses, mais ils peuvent aussi endommager l’ADN des cellules normales, ce qui peut contribuer à accélérer le vieillissement biologique.

Pour examiner si les indicateurs du vieillissement biologique sont liés à la fonction cognitive chez les survivantes du cancer du sein, Judith E. Carroll, de l’Université de Californie à Los Angeles et ses collègues ont mené cette étude avec 94 femmes qui avaient été traitées pour cancer du sein trois à six années auparavant.

Les indicateurs du vieillissement biologique incluaient des niveaux élevés de dommages à l’ADN, une activité enzymatique de la télomérase réduite et une longueur de télomère plus courte dans certaines cellules sanguines. (La télomérase est une enzyme importante pour maintenir la longueur des télomères, qui sont des séquences répétées d’ADN aux extrémités des chromosomes qui aident à maintenir la santé des cellules et servent de marqueur de l’âge cellulaire.)

Les femmes qui avaient été traitées pour un cancer du sein et qui présentaient à la fois les lésions d’ADN les plus importantes et l’activité de la télomérase la plus faible présentaient des scores inférieurs de fonctions cognitives dites exécutives. De plus, la baisse de l’activité de la télomérase était associée à une moins bonne attention et une vitesse motrice plus faible. La longueur des télomères n’était liée à aucun des domaines neurocognitifs.

« Ces résultats sont importants parce qu’ils fournissent de plus amples renseignements sur ce qui pourrait se produire après le traitement du cancer qui a une incidence sur le déclin cognitif chez certaines personnes. Cette information peut éclairer la recherche future et mener à de nouvelles interventions pour prévenir ces déclins cognitifs », souligne la chercheure.

Pour plus d’informations sur la chimiothérapie et sur le cancer du sein, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Wiley, Cancer.
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Comment le zinc, combiné à des aliments tels que chocolat, thé et café, contribuerait à ralentir le vieillissement

« Le vieillissement et une faible espérance de vie sont causés, au moins en partie, par le stress oxydatif. »

Ivana Ivanović-Burmazović de la Friedrich-Alexander-Universität (Allemagne) et Christian Goldsmith de l’Université Auburn (États-Unis) ont, avec leurs collègues, découvert que le zinc peut activer une molécule organique aidant à protéger contre le stress oxydatif.

Leurs résultats sont publiés dans la revue Nature Chemistry.

Le zinc est un oligo-élément nécessaire pour le fonctionnement du corps. Les chercheurs ont découvert qu’il peut protéger contre le superoxyde, un radical libre causant un stress oxydatif, lorsqu’il est combiné à un composant présent dans des aliments comme le vin, le café, le thé et le chocolat.

Ce composant est un groupe hydroquinone présent dans les polyphénols, des substances végétales responsables de l’odeur et du goût. Le zinc active les groupes hydroquinones, produisant une protection naturelle contre le superoxyde qui est un sous-produit de la respiration cellulaire humaine endommageant les biomolécules de l’organisme, par exemple les protéines ou les lipides, ainsi que le génome.

Il est considéré que le superoxyde joue un rôle dans le processus de vieillissement et dans un certain nombre de maladies telles que l’inflammation, le cancer ou les maladies neurodégénératives.

L’hydroquinone seule ne peut décomposer le superoxyde. Cependant, si le zinc et l’hydroquinone se combinent, un complexe métallique qui imite une enzyme, une superoxyde dismutase, est créé. Ces enzymes protègent l’organisme des processus de dégradation causés par l’oxydation et ont un effet antioxydant. De cette façon, le superoxyde peut être métabolisé et les dommages à l’organisme peuvent être prévenus ; le stress oxydatif est évité.

Ces résultats ouvrent la voie à la création de nouveaux médicaments ou compléments alimentaires, soulignent les chercheurs. Il serait également possible d’ajouter du zinc aux aliments qui contiennent naturellement de l’hydroquinone tels que le café, le thé ou le chocolat.

L’huître est l’aliment le plus riche en zinc, suivie par les viandes. Des graines (ex. de sésame et de citrouille), ainsi que les légumineuses, des céréales entières et les produits laitiers en contiennent également.

La dépression liée à de faibles niveaux sanguins de zinc

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Friedrich-Alexander-Universität, Nature Chemistry.
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La caféine agirait contre les maladies liées au vieillissement

La caféine agirait contre les maladies liées au vieillissement

Le 20 janvier 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Stanford, aux États-Unis, la consommation régulière de caféine permettrait de réduire les risques de maladies chroniques liées à l’âge.

Réduire l’inflammation et les risques cardiovasculaires

Vous buvez une tasse de café tous les jours. N’arrêtez pas, c’est excellent pour la santé ! C’est en tout cas que révèlent des chercheurs américains dans une étude publiée par la revue Nature Medicine. Selon ces travaux, la caféine, que l’on trouve aussi dans le thé ou le cacao, serait capable de réduire l’inflammation et les risques cardiovasculaires.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont examiné le suivi médical et analysé les habitudes alimentaires d’une centaine de personnes. Ils ont ainsi pu constater que le taux de protéines IL-1-bêta était plus faible chez les personnes qui consommaient régulièrement de la caféine. Or, ces protéines augmentent les risques d’inflammation. Quand le taux de IL-1-bêta est bas, le risque de durcissement des artères et d’hypertension est donc moins important.

Les maladies liées au vieillissement peuvent être évitées

« Plus de 90 % des maladies liées au vieillissement, y compris le cancer, la maladie d’Alzheimer, les maladies cardiovasculaires et même la dépression, sont dues à une inflammation chronique », a expliqué le Pr. David Furman, qui a participé aux travaux. Le mécanisme d’inflammation dépendrait donc en grande partie de notre consommation de caféine, mais attention aux abus.

Boire trop de café (plus de 4 tasses par jour) peut en effet être néfaste pour le cœur et entraîner des tachycardies. Ces accélérations du rythme cardiaque peuvent conduire à une perte de connaissance. Ce qui n’est pas anodin. L’excès de café peut aussi conduire à faire de l’hypertension. Alors comme toute bonne chose, consommez de la caféine avec modération. 

Pour en savoir plus : Pour ou contre le café ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Exploit historique : le vieillissement peut être réversible, montrent des chercheurs

Chez des souris porteuses d’une mutation génétique causant un vieillissement prématuré, la reprogrammation de « marques épigénétiques » dans le génome a réduit de nombreux signes de vieillissement et prolongé leur durée de vie en moyenne de 18 à 24 semaines, rapportent des chercheurs dans la revue Cell.

L’étude suggère que les changements épigénétiques sont à l’origine du vieillissement et qu’ils peuvent être malléables, explique Juan Carlos Izpisua Belmonte du Salk Institute (Californie), l’auteur principal.

Ces travaux, rapporte le New York Times, s’appuient sur ceux du biologiste japonais Shinya Yamanaka, prix Nobel 2012, qui a identifié quatre gènes permettant de reprogrammer le génome des cellules du corps telles que les cellules de la peau en cellules à l’état embryonnaire. Cette méthode est maintenant couramment utilisée pour changer les cellules de tissu adulte en cellules très semblables aux cellules souches embryonnaires produites dans les premières divisions d’un œuf fécondé (cellules souches pluripotentes induites, dites « iPS »).

Les efforts précédents pour produire un rajeunissement chez un animal en induisant l’expression des facteurs de Yamanaka dans toutes les cellules de l’organisme entraînaient la mort presque immédiate ou le développement de tumeurs.

Les chercheurs du Salk Institute ont utilisé une approche différente de reprogrammation partielle. La reprogrammation consiste à induire l’expression des quatre facteurs Yamanaka dans les cellules. Les facteurs doivent être exprimés pendant 2 à 3 semaines pour que les cellules atteignent la pluripotence.

La reprogrammation partielle consistait à induire l’expression des facteurs de Yamanaka pendant 2 à 4 jours seulement. Les cellules n’atteignent pas la pluripotence. Au contraire, une cellule qui commence comme une cellule de la peau reste une cellule de la peau. Mais les signes de dysfonctionnement associés à l’âge dans la cellule diminuent.

Les changements entraînés par cette reprogrammation sont le résultat d’un « remodelage épigénétique dans la cellule », explique Izpisua Belmonte. Les marques épigénétiques régulent et protègent le génome. Chaque cellule contient le génome entier et les marques épigénétiques activent les gènes pertinents pour chaque type de cellules (cellules cutanées, nerveuses, immunitaires…).

Une telle méthode ne peut être appliquée à l’humain mais il pourrait être possible, explique Juan Carlos Izpisua Belmonte, de développer de nouvelles stratégies de rajeunissement pour des tissus ou des organes spécifiques, comme la peau, les muscles ou le système cardio-vasculaire. Il imagine des crèmes ou des injections qui pourraient faire l’objet d’essais cliniques « d’ici une dizaine d’années ».

Le Français Jean-Marc Lemaître (Inserm) salue ces résultats « particulièrement intéressants », rapporte Le Monde. « En 2011, son équipe avait montré que les cellules de centenaires humains conservaient la capacité d’inverser les processus de sénescence, grâce à six facteurs, et non quatre comme chez Yamanaka. Mais là, “il y a un plus : on devient capable d’identifier les mécanismes mis en route » », lesquels pourraient « faire émerger “des cibles dans les cellules, qui pourraient être activées ou réprimées par de petites molécules”. »

Illustration: Courtesy of Juan Carlos Izpisua Belmonte Lab /Salk Institute.

Psychomédia avec sources : Cell Press, Le Monde, New York Times.
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La viande rouge entraînerait un vieillissement prématuré dans certaines conditions

Une alimentation incluant trop de viande rouge et pas assez de fruits et légumes pourrait causer un vieillissement prématuré et des problèmes de santé, selon une étude publiée dans la revue Aging.‌ Les phosphates contenus dans la viande rouge contribueraient à ce vieillissement prématuré.

Paul Shiels et ses collègues de l’Université de Glasgow (Écosse) et du Karolinska Institutet (Suède) ont étudié les régimes alimentaires et l’état de santé de 666 habitants parmi les plus aisés et les plus pauvres de la ville écossaise de Glasgow.

Glasgow est l’une des villes des pays industrialisés où la différence d’espérance de vie est la plus élevée entre les classes sociales. Elle est de 14 ans chez les hommes, et de 11 ans chez les femmes.

Le vieillissement biologique accéléré et les niveaux de phosphate provenant de l’alimentation chez les hommes les plus démunis étaient directement liés à la fréquence de consommation de viande rouge. L’excès de viande rouge affecterait particulièrement ce groupe en raison de leur mauvaise alimentation et de leur « apport sous-optimal de fruits et légumes », croient les chercheurs.

Les niveaux de phosphate élevés étaient en corrélation avec une fonction rénale réduite, une maladie rénale chronique légère à modérée et des marqueurs de l’âge biologique, incluant le contenu de l’ADN et la longueur des télomères.

« Nous pensons que dans ce groupe, les effets d’un fort apport de phosphate peuvent être exacerbés. En effet, il est notable que ces effets ne soient pas apparents chez les hommes plus favorisés économiquement, ou chez les femmes, en particulier dans le contexte d’un régime alimentaire plus équilibré ».

Le phosphate est naturellement présent dans les viandes, les poissons, les œufs, les produits laitiers et les légumes. Des études ont déjà montré des liens entre des niveaux élevés de phosphate d’origine alimentaire et une mortalité de toutes causes confondues et cardiovasculaire accrue, un vieillissement vasculaire prématuré et la maladie rénale.

Psychomédia avec sources : University of Glasgow, Aging.
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Urban Keratin lutte contre le vieillissement capillaire

Spécialiste du lissage brésilien en France, Urban Keratin a été fondée il y a trois ans par Mélanie Audouin et Bernard Bigiaoui afin d’apporter des produits performants aux femmes adeptes de ce type de lissage avec sa ligne Urban Keratin.

D’autres lignes ont ensuite vu le jour comme Urban Express qui permet de réaliser un lissage brésilien en une heure et Urban Diamant, des soins luxueux à base de poudre de diamant.

A présent, la marque lance Urban Color avec notamment Anti-Âge Color, la première coloration jeunesse et soin qui lutte contre le vieillissement du cheveu grâce à l’association d’une coloration d’oxydation sans ammoniaque à l’action stimulante d’une technologie 3.0.

Cette technologie novatrice repose sur la combinaison de particules d’acide hyaluronique de micro taille se fixant au cœur de la fibre pour l’hydrater intensément et durablement, de nanoparticules de kératine qui renforcent l’élasticité du cheveu et lisse la surface de sa fibre, et enfin de poudre de diamant pour amplifier la luminosité et la brillance de la couleur.

Exempte également de parabène, Anti-Âge Color se décline en 55 nuances et optimise la pigmentation des cheveux en assurant une couverture parfaite des cheveux blancs ainsi qu’une brillance extrême.

En renouvelant chaque mois cette coloration, les cheveux se renforcent et gagnent en épaisseur, en élasticité et en brillance notamment grâce à l’Oxydant Anti-Âge à mélanger à la crème colorante pour une action renforcée du soin.

Et pour optimiser et faire durer ses effets restructurants, il est conseillé d’utiliser en entretien le Shampooing et le Masque Anti-Âge Post Color de la même gamme.

Autre nouveauté capillaire qui arrive chez Urban Keratin, le soin Anti-Âge Lift Hair, un véritable lifting du cheveu qui apporte jeunesse, douceur, luminosité, hydratation et volume aux cheveux sensibilisés ou abîmés et ce pendant plus de cinq semaines.

Son secret ? Un complexe Céramide3-Vitamine PP qui pénètre au cœur de la fibre pour réparer en profondeur le cheveu endommagé et lui redonner solidité et un aspect lisse.

(Ligne Urban Color et Anti-Âge Lift Hair, Urban Keratin. Disponibles dans les salons de coiffure agréés. En savoir plus sur www.urbankeratin.fr. Anti-Âge Color, tube de 100ml ; ppi : 8,50 €. Anti-Âge Lift Hair, une ampoule ; ppi : 35 €)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

L’effet de la cigarette sur le vieillissement de la peau…

Les méfaits du tabac sur notre santé ne sont plus à démontrer. Aujourd’hui des scientifiques veulent aussi retenir l’attention des consommateurs sur l’effet que peut avoir la cigarette sur le vieillissement de la peau, et plus particulièrement sur celle du visage.

Ainsi une équipe de chercheurs américains veut prouver, photos à l’appui, que la cigarette accélère le vieillissement du visage. Ils ont présenté les résultats de cette étude lors du Twins Days Festival (Ohio), le plus grand rassemblement annuel de jumeaux du monde.

Pour cela un jury composé de chirurgiens plasticiens a étudié les cas ou plutôt les photos des visages de 79 paires de jumeaux. A chaque fois, l’un fumait, l’autre non ou avait arrêté depuis plus de 5 ans. Pour information les chirurgiens sollicités ne savaient pas qui était fumeur ou ne l’était pas.

Et le verdict est sans appel : ceux qui fument paraissent plus vieux, ont davantage de rides notamment autour de la bouche et de poches sous les yeux.

Les scientifiques ont également observé un relâchement global de la peau qui chez les fumeurs perd de son élasticité, une hyper-pigmentation au niveau des paupières supérieures mais aussi la présence plus importante de bajoues.

© American Society of Plastin Surgeons

© American Society of Plastin Surgeons

Cette étude inédite montre que les effets du tabagisme sur le vieillissement de la peau du visage affectent principalement le milieu et le tiers inférieur du visage sans conséquence visible au niveau des pattes d’oie mais aussi des rides du front.

Pour le chirurgien qui a dirigé cette étude, le docteur Bahman Guyuron, ce vieillissement est la conséquence d’une réduction de l’oxygénation de la peau due au tabagisme qui entraîne un ralentissement de la circulation sanguine.

La « bonne » nouvelle c’est qu’en arrêtant les fumeurs peuvent stopper et même inverser le processus. C’est ainsi que Bahman Guyuron a déclaré « Nous disons aux fumeurs que, dès qu’ils arrêtent de fumer, leur peau, leurs poumons, leurs vaisseaux cardiaque commencent à se réparer d’eux-mêmes ».


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