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Voici pourquoi certaines personnes ronflent plus que d'autres

Voici pourquoi certaines personnes ronflent plus que d'autres

Le 25 mars 2019.

De nombreux critères déterminent la capacité de ronflement d’un individu. Une société d’objets connectés vient d’en faire l’inventaire à l’occasion de la Journée mondiale du sommeil.

L’âge détermine, en grande partie, la capacité à ronfler

Votre mode de vie détermine votre capacité à ronfler la nuit. Cette conclusion est le fruit de l’étude du sommeil de 25.500 personnes, toutes utilisatrices d’appareils de santé connectés conçus par la société Withing. Et selon cette étude, qui a été révélée à l’occasion de la Journée mondiale du sommeil qui s’est déroulée le 22 mars dernier, tous les Français ne sont pas égaux devant le ronflement, tant leur mode de vie influence leur capacité à ronfler.

Le sexe est un premier critère déterminant. Les hommes ronflent en effet davantage que les femmes, en tout cas lorsqu’ils sont jeunes puisque cette tendance s’inversent au cours de la vie. À 25 ans, les hommes ronflent en moyenne 2 minutes par heure, contre 1 minute pour les femmes tandis qu’à 75 ans, les femmes ronflent 7 minutes par heure contre 6 minutes pour les hommes.

On ronfle davantage à la campagne qu’en ville

Le lieu de vie paraît également être un critère déterminant et selon cette étude, les ronfleurs ne vivraient pas en ville. « La probabilité d’être un gros ronfleur augmente de 17% lorsque l’on vit dans une zone de moins de 200.000 habitants », explique ainsi l’étude.

Le mode d’alimentation et les activités physiques sont également déterminantes et se révèle dans l’indice de masse corporel du ronfleur. Withing estime ainsi que la probabilité d’être un gros ronfleur est multipliée par 2,5 voire par trois dès lors que l’IMC est supérieur à 25, soit l’IMC d’une personne considérée comme étant en surpoids. Bien que les ronflements soient en général sans conséquence, si ce n’est sur le sommeil de son conjoint, celui-ci peut s’accompagner d’apnée du sommeil, un trouble respiratoire qu’il est recommandé de traiter puisqu’il peut se traduire par une fatigue persistante et handicapante.

Gaëlle Latour

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Voici comment vous devez boire un chocolat pour l’apprécier

Voici comment vous devez boire un chocolat pour l’apprécier

Le 4 février 2019.

Si vous trouvez que votre café a un goût étrange aujourd’hui, peut-être faut-il changer de tasse ! De nombreuses études ont été réalisées sur le lien entre la couleur de notre vaisselle et la saveur de nos aliments. Toutes parviennent à cette même conclusion, notre cerveau est très sensible aux couleurs.

Un chocolat chaud serait meilleur dans une tasse orange

De quelle couleur est votre tasse ? Et appréciez-vous réellement votre boisson au petit-déjeuner ? Ces deux questions n’ont, semblent-ils aucun lien, et pourtant, l’étude d’une équipe de chercheurs de l’université polytechnique de Valence, en Espagne, et de l’université d’Oxford, au Royaume-Uni, datée de 2012 et exhumée par nos confrères de Futura Sciences, a prouvé que la couleur d’un contenant pouvait altérer, ou améliorer la saveur d’une boisson.

Pour parvenir à ce résultat, ces chercheurs ont invité 57 personnes à boire un chocolat chaud, ou plutôt 4, dans des tasses de couleur différente. Toutes avaient un intérieur blanc, mais l’extérieur était blanc, crème, orange ou rouge. Les buveurs étaient ensuite invités à noter leurs impressions sur la boisson qu’ils venaient de consommer.

Couleur et goût sont intimement liés dans notre cerveau

Au terme de cette expérience, les auteurs de l’étude ont recoupé les informations réunies et ont réalisé que les chocolats chauds servis dans des tasses, de couleur orange ou crème, avaient globalement été considérés comme meilleurs que dans les deux autres tasses.

Ce n’est pas la première fois qu’une étude établit un lien entre couleur et goût. Toujours d’après une recherche scientifique menée à Oxford, la couleur de nos couverts aurait un impact non-négligeable sur la façon dont nous apprécions notre nourriture. « Avant même que la nourriture soit dans notre bouche, notre cerveau a déjà formé un jugement sur elle, ce qui affecte l’ensemble de notre expérience alimentaire », expliquaient alors les auteurs de cette étude. Parmi leurs conclusions, l’une évoquait la manière de manger du fromage. Celui-ci serait notamment plus salé s’il est consommé piqué sur un couteau, plutôt qu’avec une fourchette. À vous de faire le test !

Gaëlle Latour

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Livre : après le succès de « Happycratie », voici « Les marchandises émotionnelles » (Eva Illouz)

Après le succès de « Happycratie » (Premier Parallèle, 2018), la sociologue israélienne Eva Illouz lance un ouvrage collectif, « Les Marchandises émotionnelles : L’authenticité au temps du capitalisme » (Premier Parallèle, 7 février 2019).

L’ouvrage montre comment les nouvelles « marchandises émotionnelles » (« emodity »), produites par des industries aussi diverses que celles du tourisme, de la musique, du cinéma ou des psychothérapies, visent à transformer et améliorer le moi.

« Il met ainsi le doigt sur une caractéristique majeure de nos sociétés, interrogeant avec profondeur – en se gardant de tout jugement – l’authenticité de l’individu moderne », décrit la 4e de couverture.

« Exemples à l’appui », Illouz « décrit les processus par lesquels les émotions ont été non seulement associées à des produits de consommation mais fusionnées avec eux au point de devenir elles-mêmes des marchandises et que nous ne sachions plus distinguer nos sentiments authentiques de ceux qui sont simulés », rapporte BibliObs.

« Les éléments empiriques ici collectés pourraient s’intégrer à merveille dans les effrayants tableaux d’un Michel Houellebecq », estime le philosophe Axel Honneth qui signe l’interface.

« Happycratie : Comment l’industrie du bonheur a pris le contrôle de nos vies », écrit en collaboration avec le psychologue Edgar Cabanas, fustigeait notamment le courant de la psychologie positive (dont le psychologue Martin Seligman est considéré l’initiateur) qui aurait pour conséquence (voire pour objectif) de culpabiliser les individus et conforter le néolibéralisme.

« Et si la dite science du bonheur élargissait le champ de la consommation à notre intériorité, faisant des émotions des marchandises comme les autres ? », pouvait-on lire en 4e de couverture.

Son précédent livre publié en France était « Pourquoi l’amour fait mal » (2012, Seuil). La culpabilisation et la responsabilisation individuelle à outrance seraient aussi à l’œuvre dans le domaine amoureux, résumait Libération en août 2018.

Dans une entrevue, rapportait le journal, Eva Illouz expliquait que son fil directeur, à travers ses travaux, a été de « mettre de la sociologie là où domine la psychologie. »

« Les émotions reflètent les normes, les hiérarchies, les codes moraux. J’essaie de m’opposer au fait de ne se penser, soi, qu’en termes psychologiques. Ce que l’on appelle la psyché et les émotions sont faites de bric-à-brac social. »

Psychomédia avec sources : Premier Parralèle, BibliObs, Libération.
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Voici les meilleures façons d’améliorer sa santé en 2019

Voici les meilleures façons d’améliorer sa santé en 2019

7 janvier 2019

Qui dit début d’année dit aussi bonnes résolutions. Ces dernières concernent souvent la santé : voici les meilleures façons de l’améliorer en 2019.

Plus d’eau, de fruits et de légumes

L’eau est la seule boisson indispensable à notre organisme. Et visiblement, nous n’en buvons pas assez. Sachez qu’une déshydratation, même très faible (1%) peut nuire à votre cerveau, notamment ses capacités de compréhension.

Plus les années passent, plus la consommation de viande diminue. Cette dernière se fait au profit du poisson mais surtout des fruits et des légumes. Et vive le végétalisme ! Selon les scientifiques, ce mode de vie, de plus en plus en vogue, est excellent pour la santé. En 2018 une étude démontrait que consommer 100g de fruits par jours réduisait le risque de dépression de 3%, 200 g de 6%, et ainsi de suite.

Pour votre santé, bougez et dormez !

On ne le répètera jamais assez, pour rester en bonne santé, il est nécessaire de pratiquer une activité physique régulière. Le sport permet non seulement d’entretenir son corps mais aide aussi à réduire certains cancers. Alors, pour 2019, bougez !

Nous ne dormons pas suffisamment et cela peut s’avérer très mauvais pour la santé : risque de dépression, fatigue intense, diabète et même obésité. Pour les éviter, dormez minimum 6h par nuit. Vous pouvez pousser jusqu’à 9h mais pas plus : au-delà, cela serait néfaste.

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Voici pourquoi le sport fait maigrir du ventre

Voici pourquoi le sport fait maigrir du ventre

4 janvier 2019.

Vous en avez assez de ces petits bourrelets sur le ventre ? Bonne nouvelle : en vous mettant sérieusement au sport, vous allez les faire disparaître, c’est désormais prouvé scientifiquement.

Le sport fait maigrir, c’est désormais prouvé scientifiquement

Des chercheurs danois ont découvert qu’une molécule appelée « IL-6 » contribuait à faire fondre la graisse abdominale, lorsque l’on fait du sport régulièrement pendant plusieurs semaines d’affilée. Cette molécule était déjà connue pour son rôle de régulation du métabolisme. Mais les chercheurs danois sont allés plus loin. 

En utilisant une autre molécule, connue pour son rôle inhibiteur de l’IL-6, ils ont en effet prouvé que sa neutralisation avait un effet incontestable sur la réduction de la masse de graisse abdominale. En faisait faire du sport à deux groupes de volontaires, dont l’un absorbant une molécule neutralisant l’IL-6, ils ont prouvé son effet.

225 grammes perdus grâce à l’effet combiné du sport et de l’IL-6

Le groupe témoin a perdu en moyenne 225 grammes de masse abdominale, quand le groupe dont l’IL-6 a été neutralisé n’avait rien perdu du tout ! Les chercheurs ont même constaté que la neutralisation de l’IL-6 faisait grimper le mauvais cholésterol dans le sang.

Cette nouvelle preuve scientifique des bienfaits du sport et du rôle de l’IL-6, devrait permettre d’imaginer dans les prochaines années de nouvelles thérapies, tant pour traiter le surpoids que pour réguler le cholésterol. 

À lire aussi : Comprendre la graisse abdominale chez la femme

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Voici pourquoi votre paupière tremble parfois

Voici pourquoi votre paupière tremble parfois

Le 26 février 2018.

Vous avez la paupière qui tremble ? Cela arrive souvent et, rassurez-vous, dans la plupart des cas, c’est totalement anodin.

Une fatigue passagère ou une carence en magnésium

C’est une sensation très étrange qui ne vous est sans doute pas inconnue. Soudainement, votre paupière se met à trembler, de manière presque imperceptible, comme si elle vibrait à toute vitesse. Puis, tout aussi soudainement, ce tremblement disparaît, parfois après quelques secondes, parfois après plusieurs minutes.

En termes médicaux, ces tremblements portent le nom de « fasciculation ». Ces tressautements musculaires sont quasiment tout le temps bénins et apparaissent lorsqu’une personne présente une forte anxiété, une carence en certains nutriments, notamment en magnésium, ou consomme simplement trop de caféine. Cela peut également survenir après un exercice physique intense.

Les tremblements de la paupière peuvent-ils être graves ?

Si ces tremblements anodins persistent, ils peuvent être traités facilement par un peu de repos, du calme ou une cure de magnésium. Cependant parfois, ils sont symptomatiques de pathologies beaucoup plus lourdes et en cas de doute, des examens approfondis doivent être envisagés.

Ainsi, les tremblements de la paupière peuvent, dans des cas beaucoup plus rares, être associés à certaines maladies auto-immunes comme le syndrome d’Isaac, ou certaines affections du système nerveux comme une sclérose latérale amyotrophique, une myopathie, une amyotrophie spinale ou encore la maladie de Creutzfeld-Jakob.

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Fatigué ? Voici comment récupérer

Vendredi 2 septembre 2016.

La rentrée à peine passée, vous vous sentez déjà fatigué ? Voici quelques conseils pour récupérer un peu d’énergie.

Des mouvements simples permettent de chasser la fatigue 

D’abord, Si vous êtes fatigué, avec les chaleurs qui règnent en ce moment, c’est peut-être parce ce que vous êtes déshydraté. Pensez donc à boire beaucoup. Mais un peu, régulièrement, et pas beaucoup d’un seul coup, ce qui serait un signe que vous avez trop attendu pour boire. L’objectif, c’est minimum deux litres par jour.

Ensuite, re-spi-rez ! Oui, bien s’oxygéner, c’est un excellent moyen pour réveiller les cellules de son corps, en les aidant à se purger. On conseille de respirer à fond en gonflant le torse, soit dos au mur, soit dos à sa chaise, puis d’expirer la bouche ouverte en faisant des vocalises.

Des petits tapotements sur la tête chassent la fatigue

On peut aussi chasser la fatigue en…. se tapant la tête ! Bien sûr, il ne s’agit pas de la taper contre un mur, mais plus simplement de donner des petites tapes avec le bout des doigts un peu partout sur le cuir chevelu, comme si vous marquiez la cadence. Puis, de se passer les doigts dans les cheveux, jusqu’à la nuque, lentement, comme si vous vous coiffiez, plusieurs fois de suite. 

Enfin, on chasse aussi la fatigue en se tapotant, ou se faisant tapoter sur les épaules, tout autour de l’articulation du bras.

À lire aussi : Fatigue au réveil : causes et remèdes

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Voici pourquoi la musique influence nos émotions

Le 23 août 2016.

La musique adoucit les moeurs, l’adage est vieux comme le monde. Cependant, pendant longtemps, les chercheurs ont pensé que les musiques douces et agréables apportaient joie et détente, et que les musiques tristes, au contraire, rendaient mélancolique. 

Même la musique triste peut faire du bien

Or, une étude conjointe réalisée récemment par les universités de Durham (Royaume-Uni) et de Jyväskylä (Finlande) démontre tout le contraire. En faisant écouter des musiques tristes à 2 400 cobayes, et en recueillant leurs impressions après l’écoute, une majorité a déclaré pourtant avoir apprécié la musique, là où les chercheurs pensaient qu’ils en ressortiraient affectés ! 

L’hypothèse formée, déjà évoquée par d’autres études, serait que la musique triste apporte une compensation à ceux qui ont, par exemple, perdu un être cher ou aimé, un peu comme si la musique pouvait « comprendre » ce qu’ils ressentent. 

L’impact émotionnel de la musique prouvé

À l’inverse, certains cobayes ont détesté écouter des musiques tristes, car elles provoquaient chez eux un mal-être.

Les auteurs de l’étude en concluent qu’il est rationnel de ne pas vouloir écouter certaines musiques, de peur d’être affectés émotionnellement par elles, et à l’inverse, qu’il est rationnel aussi de vouloir écouter des musiques tristes ou mélancoliques, si l’on en retire un bénéfice sur le plan émotionnel. 

Pour en savoir plus : La musique : une large gamme de bienfaits pour la santé

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Voici pourquoi certaines personnnes sont « sensibles » au Gluten

Le 1er août 2016.

Les personnes qui se disent « sensibles » au gluten ont aujourd’hui une explication aux nombreux symptômes qui peuvent se manifester lorsqu’ils en consomment. Une étude américaine vient de prouver l’existence d’un marqueur cellulaire spécifique lié à cette affection.

Le marqueur FABP2 responsable de la sensibilité au gluten

Une récente étude pourrait avoir trouvé une explication à la sensibilité au gluten. Cette affection, à ne pas confondre avec la maladie cœliaque (intolérance au gluten), se caractérise chez les personnes qui affirment en souffrir par divers symptômes, qui vont des troubles gastro-intestinaux aux maux de têtes, en passant par des dérèglements de l’humeur. Jusqu’ici, seuls les marqueurs de l’intolérance au gluten avaient été découverts et expliqués.

Cette dernière étude, parue dans la revue Gut, pourrait bien apporter une explication à cette sensibilité et ouvrir la voie à de nouveaux traitements, puisqu’elle met en lumière le rôle d’un marqueur de dommages dans les cellules épithéliales intestinales. Ce marqueur, baptisé FABP2, a été détecté à la suite d’une vaste étude menée sur 40 personnes intolérantes, 80 personnes dites « sensibles » et 40 personne ne souffrant d’aucun trouble digestif.

2 % d’intolérants et de sensibles au gluten

Chez les intolérants au gluten, les cellules T cytotoxiques agissent uniquement dans l’intestin grêle et les symptômes ne se manifestent alors que dans cette partie du corps. Chez les personnes souffrant d’une sensibilité au gluten, l’affaiblissement de la barrière intestinale faciliterait le passage de composés microbiens de l’intestin vers le sang et expliquerait alors la grande variété de symptômes.

Les chercheurs qui ont mené cette étude affirment qu’au terme de six mois sans consommation de produits contenant du gluten, la concentration de FABP2 chez les sujets sensibles avait retrouvé un niveau normal et les participants ont retrouvé un équilibre digestif sain. On estime aujourd’hui à 1 % le nombre d’intolérants au gluten et à 1 % supplémentaire le nombre de personnes qui souffriraient d’une sensibilité au gluten.

À lire aussi : L’intolérance au gluten : ce qu’il faut savoir

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Voici ce qui se passe lorsque vous écoutez de la musique en travaillant !

Le 22/07/2016.

Il a été démontré que la musique, qui enrichit notre vie personnelle depuis la nuit des temps, peut également être bénéfique dans notre vie professionnelle. Ce qu’elle peut faire à notre cerveau est assez impressionnant.

Un meilleur apprentissage

Lorsque vous êtes au bureau, il est bon de se soulager avec un peu de musique. Elle a un effet assez impressionnant sur notre cerveau, mais doit être écoutée pendant des moments stratégiques. Lorsque nous effectuons diverses tâches en même temps, le cerveau doit analyser et se concentrer pour permettre l’apprentissage. Quand vous écoutez de la musique, il doit en plus traiter des informations auditives.

Le cerveau va très souvent associer les instructions de façon étrange ou même faire des erreurs, provoquant ainsi un mauvais apprentissage. Il est donc préférable, si vous apprenez verbalement ou visuellement, d’arrêter votre musique.

Dans un espace de travail bruyant, le cerveau va puiser de l’énergie pour gérer toutes les données qui arrivent. Cela augmente votre niveau de cortisol, de stress et diminue votre dopamine. Ces changements hormonaux entravent la fonction exécutive et votre productivité peut baisser. Dans ce cas, écouter de la musique peut s’avérer bénéfique, car elle va bloquer l’entrée excessive de données dans le cerveau et ainsi, vous permettra de rester calme.

Une productivité qui s’améliore

D’après diverses études, il a été prouvé qu’une personne qui écoute de la musique tout en effectuant des tâches répétitives, les effectue plus rapidement et avec moins d’erreurs. Cela est dû au fait que la musique libère vos neurotransmetteurs de bien-être (dopamine, sérotonine ou noradrénaline) et vous rend détendu et heureux. Ainsi, vous êtes plus productif et mieux concentré. La musique joue également un rôle dans vos relations sociales, car si vous vous sentez mieux, vous serez plus respectueux, plus patient et plus coopératif.

Le fait d’écouter une nouvelle musique libère de la dopamine et vous fera ressentir du plaisir. La musique peut donc impacter votre travail de manière significative. Elle impacte également votre vie personnelle et peut vous aider à changer d’humeur, juste avant de vous lancer dans un apprentissage.

À lire aussi : La musique : une large gamme de bienfaits pour la santé

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