Elle est décédée de s’être masturbée. Ou plus exactement, l’augmentation trop rapide de la pression artérielle consécutive à l’orgasme a provoqué une rupture d’anévrisme. C’estl’American Journal of Forensic Medicine and Pathology relayé par Sciences et Avenir quia révélé l’info cette semaine. L’histoire date en fait de 2012.
À ses côtés, un vibromasseur..
La jeune femme de 24 ans, après s’être enfermée dans sa salle de bains pour s’adonner à un plaisir solitaire, s’est sentie mal. C’est son compagnon qui, inquiet, a défoncé la porte de la salle de bains et trouvé sa compagne inconsciente, ayant vomi abondamment, et, à ses côtés, un vibromasseur.
Pas d’inquiétude pour autant : ce cas clinique reste, heureusement, exceptionnel. La masturbation ne tue pas, en général !